salut , respect à eux qui sont dignes de ce nom et de leur capacité

Je connaissais un médecin, qui doit être en retraite maintenant, qui était sorti du rang. Lorsque je l'ai connu, Il était second-maitre navigateur aérien et avait présenté, et réussi, santé navale à Bordeaux.

Il était medecin PN et avait fait son cours de volant à Pensacola en Floride, comme tous les médecins PN à l'époque (années 70). Je ne pense qu'il en existe beaucoup dans son cas.

Je l'avais revu à Nouméa où il était affecté (j'étais en retraite) et m'avait manifesté son désir de s'installer en Bretagne comme spécialiste.

J'avais aussi une bonne copine, médecin sur le Clemenceau pendant l'opération prométhée. Elle était 3 galons à l'époque, son prénom Eliane. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue. Il existe maintenant beaucoup de médecins féminins, comme dans le privé d'ailleurs.

Et oui cmbil22 ,c'est comme partout,les filles gagnent du terrain :la promotion de ma petite-fille qui est en 3 ème année de médecine militaire à Lyon était moitié garçons et moitié filles ( 70 pour 72).
Cette année c'est 40°/° garçons et 60 °/° filles .
Comme quoi la gente féminine gagne du terrain!!!

Moi j ai un très grand respect pour eux.
C'est un Médecin Militaire Chirurgien (CF) qui m'a évité que on me coupe la jambe en  83 à l'HIA Roberg Piqué de Bordeaux puis suivit par Médecin Chef Fontan, alors respect.

Les femmes Médecins au CFM Hourtin en 86/87 Madame Rolant super Médecin.

bonjour a tous.

  daniel durand ouvrier d"état a santé navale 40ans de 1971. a 2011 fermeture!

    a collement  Samson promot 69 .

  a cmbil 22  des noms !

  a kerneve des noms et promot .       rolland promot 74.

      pour  des renseignements je détiend toutes les photos de promots  depuis la création de l"école a la

      fermeture élèves et cadres.     a votre service .

                            amitiée marine            
                                   daniel

bonjour a tous      a kerneve.

     le nom du chirurgien qui a sauvé ta jambe a robert picqué  en 83!

    fontan  je les connue élève .   mercie d"avance.


                                           a cmbil 22
 

     j"attend toujour le nom de ton aviateur !     pour rechercher sa promot .!

   a cette époque c"etait  courant  .jai de bon copain  sortie du rang !

    un colon dans la légion    l"autre général des pompiers de paris !   pa mal!

                      amitié marine de brest les vraies  marins
                                                                                                    daniel

Merci Daniel de tes réponses par MP.

Hutin est le nom de mon copain médecin PN qui est maintenant spécialiste civil dans le Morbihan. Je crois que sa dernière affectation fut Nouméa dans les années 94/95.

Voici la devise de Santé navale Bordeaux : Sur mer et au-delà des mers, toujours au service des Hommes

et leur insigne :

rebonjour cmbil22

le seul hutin que jai sur mon listing et de la promot 1973 ! donc cela ne se peut"pas !

maintenant que je pense c"est peut"etre un medecin de lyon !

amitié marine
daniel

Je crois quand même que c'est mon ami Hutin, navigateur aérien en 70 et qui a passé le concours en 71 ou 72. Je suis certain qu'il a fait Bordeaux puisqu'il me disait les traditions de l'école et, en particulier, une qui le faisait sourire car il était plus ancien dans la Marine que ses ainés.
Au repas, les nouveaux qui étaient surnommés les "fœtus" devaient faire une haie d'honneur à leurs anciens et dire à leur passage : "Bon appétit Messieurs les anciens" en faisant des courbettes.

Mais peut être que notre ami Bernard Samson qui a demandé l'ouverture de ce sujet pourra le confirmer (je parle de cette tradition).

re bonjour cmbil22. on ne va plus ce quitté!

affirmatif , l"ancien parain matriculaire d"un fœtus. au self le fœtus porté le plateau de

l"ancien jusqu"a la table, il lui préparé sa salade! bon appétit monsieur l"ancien ,et

passer sous la table pendant tout le repas! coups de piets brimades et j"en passe

secret défence oblige. je ne sais pas posté les photos sur le site,tu aura la photos de

promot par mell . dessus il y a mon copain breton retraité a brest pierre le gall ancien

chef de service de l"infirmerie de l"école navale. sur le site infirmerie de lécole navale.

a tout a l"heure ! ou demain avec plaisir.


amitié marine
daniel

affirmatif , l"ancien parain matriculaire d"un fœtus. au self le fœtus porté le plateau de

l"ancien jusqu"a la table, il lui préparé sa salade! bon appétit monsieur l"ancien ,et

passer sous la table pendant tout le repas! coups de piets brimades et j"en passe

secret défence oblige

  voila un bel exemple, je précise cela m'a couté 5 j au trou pas pour avoir subi mais pour acte de mauvais réflexe envers un OM

N'ayant trouvé aucun sujet pour l’hôpital militaire du Val-de-Grâce je le pose ici pour ne pas rajouter un sujet que pour une info

Paris: Le gouvernement envisagerait de fermer l’hôpital militaire du Val-de-Grâce
SOCIETE - L'hôpital serait jugé trop coûteux et trop inutile...

Le gouvernement envisagerait de fermer l’hôpital militaire du Val-de-Grâce, selon des informations du Monde. Si l’Elysée explique que le projet n’est pas à l’ordre du jour, il serait en réalité dans les tiroirs du gouvernement depuis déjà plusieurs mois. Des décisions sont attendues avant la fin du mois, quand les arbitrages présidentiels seront rendus.

Le site parisien devrait être transformé et changer de fonction. De quoi susciter l’inquiétude du personnel. «Nous aimerions en savoir plus», explique au quotidien Arnaud de Cooman, délégué FO, le syndicat majoritaire. L’hôpital, fondé en 1796, serait jugé trop cher et trop peu utile, ne soignant plus depuis quelques années que des personnalités et chefs d’Etats.

1.500 agents en danger?

Avec la réduction des effectifs engagée au ministère de la Défense, les 1.500 postes d'agents (militaires, fonctionnaires civils, médecins, etc.) travaillant au Val-de-Grâce pourraient être menacés.

Trois hypothèses seraient envisagées: une fermeture complète, une fermeture partielle ou une cession à l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Les deuxième et troisième solutions nécessiteraient un investissement de l’ordre de 250 millions d’euros afin de lancer des rénovations.

Le secteur public hospitalier, déjà très endetté, n’est pas preneur. «Aucune capacité de soins ne sera supprimée», promet la Défense, au Monde. Mais des activités pourraient être réparties vers d’autres établissements. Les services de neurochirurgie et de chirurgie viscérale du Val-de-Grâce ont d’ores et déjà commencé à rejoindre l’hôpital d’instruction des armées Percy-Clamart.

J-M
—

Un sujet sur les médecins de la marine ? Pourquoi pas ?
Mais n'est-ce pas ouvrir la boite de Pandore ?

On peut rire de tout mais pas avec n 'importe qui. De même, on peut parler des toubibs mais pas n'importe où, pas sur la place publique.

Dans la marine nous allions chez le toubib plus souvent qu'à confesse. On ne pouvait bouger le petit doigt sans un certificat d'aptitude. Vous débarquez d'une unité, visite de débarquement, vous embarquez 24 heures plus tard ailleurs, visite d'embarquement. Vous voulez devenir soudeur à l'arc ou jouer au foot, etc, visite, revisite... Je ne vous apprends rien.

Les toubibs étaient-ils bons ?
Tant que les relations se limitent à des visites de routine difficile de juger.
Quand je dis visite de routine, c'est vraiment de routine.
Au début de ma carrière la visite annuelle c'était analyse d'urine, prise de sang, auscultation, palpations, radio pulmonaire, et dans mon cas (plongeur) examen des articulations, électrocardiogramme, électroencéphalogramme.
Et puis la folie des gamma Gt étant passée, plus de prise de sang (peur de trouver des zébulons ?), plus de radio pulmonaire (peur de trouver de l'amiante ?), en fait plus rien. Ça va ? Ça va. Parfait.

Et puis, en fin de carrière, nous sommes passés à ce que j'appelle sans doute un peu outrageusement sûrement (mais pas sans raisons)  : la période "sévices sexuels".

Chargé de bureau militaire, j'adressais tous les jours plusieurs de mes administrés au(x) médecin(s) major(s). Je devais parfois insister car faute de certificat médical mon dossier était incomplet et donc ne pouvait être transmis. En retour j'avais le droit de la part du camarade au compte-rendu de la visite, du moins des circonstances, des conditions de cette visite.

Parfois, à la maison, avec des copains marins ce sujet arrivait dans la conversation. Nos femmes disaient : pourquoi vous vous laissez-faire, pourquoi ne vous plaignez vous pas ?
Se plaindre à qui ? Le toubib aurait beau jeu de répondre qu'il ne fait que son travail.

Je suis un vieux marin, pas plus prude qu'un autre, pas plus niais qu'un autre non plus mais parfois je me posais des questions (et je n'étais pas le seul).

Enfin le toubib doit savoir ce qu'il cherche, lorsqu'il demande à un maître principal (qui ne buvait pas) de sautiller, nu, sur un pied le long de la ligne de carrelage qui traverse son bureau et de revenir en sautillant sur l'autre pied (sans même des chaussettes aux pieds).

Comme me disait ce premier-maître électricien, lorsque le toubib m'a demandé de venir près de la fenêtre, de me pencher en avant, de prendre mes chevilles avec mes mains et de monter mon postérieur le plus haut possible, lorsqu'il a écarté mes fesses, moi j'ai regardé entre mes jambe, s'il n'écartait pas les pans de sa blouse blanche.

Et ça c'est juste des histoires "gentilles". Arrêtes toubib, je t'aime déjà !

Pour Durand Daniel :(et les autres) : j'ai été opéré (bénin) du coude par un chirurgien de Saint-Anne, il faisait du rugby et il était taillé pour cela. Il s'appelle Cameli et il est maintenant adjoint au maire de Toulon.

Au fait comment appeliez-vous les médecins ? En ce qui me concerne je lui disais Monsieur qui est, je crois la règle dans la marine (Monsieur le médecin que j'avais raccourci). Pour ma copine du Clemenceau je l'appelais par son prénom Ils ne m'ont jamais rien dit. Dans les trois autres armes, on leur donne leur grade mon capitaine, mon colonel, etc. Je trouve cela bizarre.

Six mois avant de partir dans la Marine, je me fait soigné les dents.
Et oui tout le monde me signalait que c'était des bouchers.
Donc le dernier jour, avant mon départ, je le signale à ma dentiste.
Pause d'un plombage, qui deux mois plus tard dans le train direction Toulon c'était déjà fait la malle.
De peur d'être charcuté, je vais de suite chez le dentiste sur le Jean Bart.
Celui ci n'en revenait pas qu'un plombage avait été fait sur une dent dans l'état où elle était.
Il me signale qu'il vaut mieux la couronner. Le prix, ( bin oui, douze francs par mois).
Je ne payerais que le prix de la couronne, qui était insignifiant .
Pas de problème. Retour au poste, tout le monde me signalait qu'elle ne tiendrait pas.
Très content du résultat, dès que j'avais un problème, direction le dentiste.
Huit dents couronnées par les dentistes de la marine et toujours à poste depuis 64

Le bonsoir à toutes et tous.

Petite anecdote concernent un médecin de la marine.
Affecté au C.E.P. ayant demandé mon admission au Cadre de Maistrance, la visite médicale devait être faite par un toubib marine je suis dirigé vers Faré Ute base de la marine en Polynésie.
Je suis reçu par un médecin qui devait avoir une dent contre le personnel du service des vivres, et qui au bout de cinq minutes me dit qu'il mettait un veto à mon admission pour cause d'alcoolisme.
Dans la foulée il me donne une ordonnance pour l'hôpital Jean Prince ou je doit faire une cure de dératisation.
Arrivé à Jean Prince, je tombe sur un autre toubib, que j'avais connu lors de mon premier séjour à Mururoa, avec qui je faisais du sport, et qui me connaissait très bien.
Il ne fut pas surpris et me dit qu'il se charge de l'affaire par l'intermédiaire de l'Amiral.
Je n'ai jamais su qui a signé le certificat médical, mais j'ai été admis au Cadre quelque temps après.

Moralité : il y a de très bon médecins, des autres bons et certains . . . . .
Pour la petite histoire, je n'ai jamais bu la moindre goutte de boisson alcoolisée. Et je ne m'en porte pas plus mal.

Michel.

J'ai un bon souvenir du médecin de l'UM Fort de France en 93/94, le Dr Duval, mais pour une tout autre raison que médicale (quoique !). Il était le fils d'un major et nous avions sympathisé car il préférait la compagnie des OMS à celle des officiers "navalais" (ils étaient deux, le Comar et le chef du Service TVL), qui affichaient un mépris souverain pour tous ceux qui n'étaient pas comme eux passé par l'école navale. Quand je passais au Fort St Louis, j'allais toujours lui faire une petite visite, sauf quand le Comar l'avait désigné d'office pour être le médecin des gens de mer de la Martinique, ce qui lui avait valu un énorme surcroit de travail au détriment des marins des unités de la marine aux Antilles.

Les "navalais" sont les médecins qui ont fait santé navale. Les officiers de Marine sont, quant à eux, appelés les "bordaches".

Le coupable c'est moi! Le toubib avait raison!
Lors de mes périodes de réserve a Toulon, à chaque fois que je passais la visite médicale au dépôt, les infirmiers détectaient toujours une tension artérielle élevée, le médecin me mettait en garde : il faut traiter cette hypertension! ok Mr!
L'avant dernière période il m'a signifié que la prochaine fois il me mettrait inapte.
Lors de ma dernière période, au bout de 3h d'attente devant l'infirmerie,(j'avais copieusement critiqué cette attente sous les fenêtres du médecin major) hypertension non traitée, le médecin m'a déclaré inapte.
J'étais arrivé a Toulon a 08h00, a midi j'étais dans le train du retour!
J'ai décidé de consulter mon généraliste qui m'a immédiatement ordonné un traitement que j'observe depuis 1999.
Merci toubib de m'avoir ouvert les yeux et certainement sauvé la vie!

voilà qui répond à la question des appellations.

Merci Roger une bonne piqure de rappel

cameli équipe de rugby santé-navale- pour combil 22

Ce tableau est plus complet en ce qui concerne les médecins

C'est vrai Francis pour les galons, mais ne répond pas à la question que posait cmbil : comment appeliez vous les médecins de la marine ?

Ces fameux médecins, je les classe en deux catégories :
- les médecin d'unités, médecins majors et leurs adjoints qui portent l'uniforme d'officiers de marine (avec parement rouge comme le montre le tableau) lors des inspections générales, événements, ce qui les identifie sans erreur comme médecins de la marine,
- les médecins hospitaliers, que nous sommes déjà beaucoup moins à avoir fréquenter, dont la seule caractéristique est d'avoir des pantalons kakis qui dépassent de leur blouse blanche, qui fait dire que ce sont des médecin militaires, sans plus.

A l'hôpital maritime de Rochefort, un médecin militaire avait pris en charge, avec brio, ma fille lors d'un accident domestique. L'hôpital était dit maritime, mais le médecin était-il de la marine ?
Il en va de même de l'hôpital maritime de Brest. A qui avait-on réellement à faire ?

On parle de dentistes plus haut. Les dentistes étaient essentiellement des appelés. Existait-il une spécialité de dentiste chez les médecins de carrière ?