Je cherche anciens ZEBULONS de toutes armes

C 'est quoi SMSR et ZEBULON ?

serv mixte de securité radiologique

les zebulons sont caches derriere le pea Denise

Donc un ancien de Muru ! ! !

Pas très explicite tout ça :(

voili voilou ....

bonjour collo j'etais au SMSR HAO73/ 74

bsoir JM tu aurais peut etre connu SERGE MOLLET
(aéro) puis il a fait TR1 ensuite

Collo :cyclops:

OH ! les anciens du SMSR

bien le bonjour

Quelqu'un parmi vous pourrait peut-être m'aider à retrouver André GAMBIER
Il était avec moi à Reao en 1967 alors que j'étais chef de la station météo ?

A cette époque il était sergent de l'armée de l'air
et, je crois, dépendant de la base aérienne de Luxeuil.

amicalement à tous

André Pilon

Le problème Pilon c'est que parmi nos amis les aviateurs qui ont servit au SMSR à partir de 67/68 et ce jusqu'aux environs de 74(année de fin des essais aériens) tel Gambier(que j'ai eu comme élève à Querqueville lorsqu'il a fait son cours de TR en 1967) n'y sont pas restés longtemps. Et une fois leur Base Aérienne réintégrée les contacts étaient rompus. Il te reste de trouver un site spécial Armée de l'Air ou si tu connaissais sa région d'origine d'essayer les pages jaunes.
Amitiés
PS: Je t'envoie un MP j'en ai trouvé un dans les Landes à St Sever

Bonjour aux anciens du SMSR et SMCB. Suite aux bon conseil de Joël, je vous laisse ce message que j'avais mis initialement sur le forum de l'EMES :
Je viens juste d'embarquer et de voir vos messages concernant le SMSR. J'ai embarqué au SMSR MAHINA puis HAO le 16 avril 72. J'ai bien connu Bernard GOUJON, sergent chef de l'Armée de l'Air puisque je l'ai remplacé quelque temps. Très brave type avec une famille extra. C'est quelqu'un que j'aimerai bien revoir. Je me rappelle d'Henry Paul mais je n'arrive pas à mettre un visage. Mon nom est Jean-Luc BERTRAND et dès que je pourrai, je ferai passer quelques photos. A HAO, je travaillais à la buanderie chaude et j'ai remplacé par la suite le responsable qui était un civil grognon et dont je ne me rappelles plus le nom. J'avais deux biffins qui travaillaient avec moi, des gars du Train dont un s'appellait Belben. Quant au SMCB, j'avais un très bon collègue, un bosco du nom de Mulot que je n'ai jamais revu.
A plus les gars, je vous souhaite de bonnes fêtes de Noël et une bonne année 2010 et j'essaye de faire travailler ma mémoire pour pouvoir me rappeller d'autres noms et de qq anecdotes

Je ne me rappelais plus que j'avais conservé cette "relique" elle a 30 ans Cela devait être de la bonne qualité cet imper car le plastique ne s'est pas altéré avec le temps tout juste la couleur........ il s'est un peu jauni.

Je n'ai connu que les marins su SMSR qui étaient en mission à bord du De Grasse pour les campagnes 1970 et 1971, et en particulier BODENAN, PM secrétaire à l'époque et qui était au SMSR depuis l'époque du Sahara. Je crois me souvenir que, entre les campagnes au pacifique, ce service était basé sur la base de Montlhéry dans le sud de Paris. J'ai revu Bodenan quand il était affecté à la DPMM, mais il est décédé quelques années plus tard "d'une longue maladie"...

Et oui Noël, Bodénan c'était mon ami; Je lui envoie mon salut
Quant à la base métropolitaine du SMSR c'était bien Monthléry. SMSR Service Mixte donc Monthléry base mixte ou toutes les armes étaient représentées.

Bonjour à tous, je n'ai pas connu ce collègue puisque je suis arrivé au SMSR à Monthléry en 1972. Je lui envoie mon salut aussi

Je fais remonter

Le 9 mars 2011 Noël et moi échangions sur une connaissance commune du nom de Bodénan. J'ai reçu aujourd'hui cette photo que m'a envoyé mon vieux pote EMSEC Daniel Menn. Cette photo est celle de l'équipe de foot du SMSR Monthléry ou figure justement Jean Paul Bodénan (2ème accroupi a partir de la gauche) A coté de lui un autre "pote" de mon BS EMSEC Louis Jean et a côté de lui autre "pote" de mon BS Guy Le Manac'h hélas lui aussi DCD
Si en parcourant ce sujet vous reconnaissez ces "anciens" du SMSR Monthléry faite le savoir





Epoque estimée de prise de la photo 1973/1974

merci Joël pour cette photo.

Salut Joël, je ne reconnais personne peut être celui qui est accroupi à droite. Quand je suis arrivé à Montlhéry en mars 1972, j'étais le seul mataf au milieu de biffins des Armes Spéciales et de quelques gonfleurs d'hélices. De plus, j'y suis resté peut de temps puisque le 17 avril, j'ai décollé pour Mahina. Je vois que par la suite, l'équipe Marine a grandi

A+ Joêl

Jean Luc
Le "barbu" 4ème accroupis a partir de la gauche c'est Guy Le Manac'h il venait en renfort à Hao lors des campagnes de tir du temps ou j'étais responsable de fevrier à Octobre 1971 des transports spéciaux entre autre. Je crois qu'en 1972 il venait encore en renfort à Hao dans ces cas tu l'as connu il devait être Premier Maitre.
Quand tu es arrivé en Polynésie affecté laverie Hao en avril 72 et que tu as transité par le SMSR Mahina j'étais la bas responsable radioprotection de la base de Fare Ute notamment lors des IE ou IPER et passage sur Dock des bâtiments en provenance de Muru on s'est donc surement croisé.

Pour le Manac'h, j'ai du le rencontrer sur Hao.

Pour s'être croisé, c'est sur, j'étais jeune chiouf et je travaillais au début avec le S/C GOUJON de l'AA que tu connais. Effectivement sur les photos que tu postes sur les différents forum, tu ne m'es pas inconnu, mais la vieillerie commence à faire son effet, pour ma mémoire bien entendu.

A plus Joël.

Voilà une autre nouvelle qui devrait contenter à la fois les anciens du SMSR et tous les autres vétérans.
Outre l'élargissement géographique et l'allongement de la liste des maladies radio induites reconnues la création d'une médaille commémorative me satisfait d'autant que j'en avais émis le souhait il y a plus de deux ans...


Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, a présidé mardi à l’Hôtel de Brienne, la deuxième réunion de la Commission consultative de suivi des conséquences des essais nucléaires afin de présenter aux associations, conformément à la demande du Président de la République, le nouveau projet de décret d’application de la loi du 5 janvier 2010.
Il est en effet apparu nécessaire, dans un esprit de rigueur et de justice, d’étendre le périmètre géographique des zones de l’atoll de Hao et de celles de l’île de Tahiti, dans lesquelles le demandeur doit avoir résidé ou séjourné pour pouvoir bénéficier d’une indemnisation.
Se fondant sur les données scientifiques les plus récentes et en prenant en compte les remarques du Comité d’indemnisation des victimes des essais nucléaires (CIVEN), les travaux ont validé l’élargissement de la liste des maladies radio-induites figurant en annexe du décret du 11 juin 2010. Par ailleurs les démarches administratives des demandeurs sont simplifiées. Enfin, toutes les demandes d’indemnisation, y compris celles qui ont fait l’objet d’un rejet par le CIVEN, vont être réexaminées, sans que les demandeurs n’aient besoin de déposer un nouveau dossier. Ce nouveau décret pourra être signé dans les plus brefs délais dès que le conseil d’Etat aura rendu son avis.
Par ailleurs, sensible au besoin de reconnaissance légitime exprimé par les vétérans qui ont œuvré à la construction de l’outil de dissuasion, fondement de la stratégie de défense de la France, le ministre veut matérialiser cet engagement unique et particulier par l’attribution d’une médaille commémorative.

La loi du 5 janvier 2010 est le fruit d’un long travail méthodique, collectif et transparent qui repose sur l’état le plus avancé des connaissances scientifiques. Associations, parlementaires de toutes sensibilités, médecins spécialistes, industriels du nucléaire : tous ont apporté leur pierre à la construction de cet édifice juridique. Elle procède de la volonté de l’Etat, et du ministère de la Défense en particulier, de reconnaître les conséquences sanitaires de ses essais nucléaires en Polynésie française, d’assumer ses responsabilités vis-à-vis des victimes civiles et militaires.

Un dispositif complet de reconnaissance et d’indemnisation des victimes est en place depuis août 2010. Présidé par une conseillère d’État honoraire et composé notamment d’experts médicaux nommés conjointement par les ministres chargés de la défense et de la santé, sur proposition du Haut Conseil de la santé publique, un CIVEN instruit, de manière indépendante, scrupuleusement chacun des dossiers de demande d’indemnisation qui lui est adressé. Ce dispositif est juste et rigoureux. Juste, parce que prenant en compte toutes les victimes, militaires, travailleurs civils et les populations. Rigoureux, parce qu’intégrant la présomption de causalité entre l’ensemble des zones identifiées comme ayant connu des retombées significatives et une liste de maladies, strictement conforme à celle reconnue au plan international.
Ce dispositif est, enfin, équilibré, grâce à la participation des représentants des associations et des élus au sein de la Commission consultative de suivi des conséquences des essais nucléaires, qui, comme la loi le stipule, est réunie deux fois par an, afin d’évaluer le dispositif et d’en proposer les aménagements nécessaires.
Par ces avancées majeures que constitue le nouveau décret et l’attribution d’une décoration spécifique et honorifique, le Gouvernement, continue de prêter la plus grande attention au suivi des conséquences sanitaires des essais nucléaires français, et à l’indemnisation des personnes atteintes de maladies radio-induites provoquées par les essais nucléaires réalisés par la France, entre 1960 et 1996, et manifeste sa reconnaissance à l’engagement des vétérans pour la construction de notre outil de dissuasion.

va falloir en frapper un paquet de medaille

Une médaille commémorative ? Pour tous ceux qui ont participé aux essais nucléaires ? En tout cas, en ce qui me concerne, et si par hasard j'y avais droit, je n'en ferais certainement pas la demande !