Bonjour, pour Pilon,tu as une sacrée mémoire.Oui je suis un fan de Brassens.Une anecdote, pendant mon séjour à Rapa un soir j'ai chanté " le temps ne fait rien à l'affaire".Jai eu des problémes avec l'adjudant trans qui voulait me mettre un motif pour insulte envers un supérieur.Il n'avait pas compris que je ne faisais qu' interpréter une chanson.Moi je n'ai pas une trés bonne mémoire je n'ai souvenir(visuel) que du chef de station ,un adjudant de la coloniale, d'un maitre météo et d'un second maitre radar (cotal). pour Krausse, je suis de la 20ieme promo de Chalons/Marne j'ai intégré le matériél en 71.j'ai fait mon echelle 4 avec Camillong à Pontoise en 1966.Je suis passé officier rang en 1982,j'ai quitté le service actif en 1992.Pour les photos , ce sont surtout des diapos, je pense qu'il faut les passer en photos avant de pouvoir les mettre sur le net .Cordialement, Delva.

lu ce matin dans la dépêche de Tahiti

Les dernières ruches de Rapa
LA CHRONIQUE DE LILI OOP - Le centre météo regorge de souvenirs
Tous les matins, à 7h15 précises, le ballon sonde sort de la station de gonflage du centre
météo de Rapa (Australes), avec son petit capteur au bout de sa laisse. Gonflé à l’hélium,
l’engin s’envole, et disparaît très vite parmi les nuages bas qu’accrochent les sombres sommets de l’île. Sur son parcours, la station collecte les informations qui permettront d’établir les prévisions que nous livre chaque jour Météo France.
La première observation, un simple relevé des précipitations, s’est déroulée le 16 février 1938,par René des Champs de Verneix, le fameux Vicomte, qui cultivait la vigne, et était apiculteur à Tukou, au fond de la baie de Ahurei, où il avait choisi le lieu de son exil, parmi ses ruches. On raconte que quand il sortait de son refuge, avec les bottes en caoutchouc que lui avait offert un chef météo, dans les années 60, ses abeilles le suivaient. Les mauvaises langues corrigent aujourd’hui en prétendant que c’étaient des mouches. Le Vicomte de Verneix y est mort en 1974. Le centre météo de Rapa a toujours eu une grande importance parce que sa situation géographique en fait la base la plus au sud du territoire de la Polynésie française, à 1 420 km de Tahiti. Et lorsque la France envisagera d’effectuer ses essais nucléaires, elle développera ses activités, devenues stratégiques, en installant, sur une crête, audessus du village, au sommet de l’ancien fort Te Vaitau, à 262 m d’altitude, une station haute qui accueillait le radiothéolite Bendix, une sorte de radar pour suivre la course des nuages. L’ascension épique du sommet de l’ancien fort Te Vaitau Pour se rendre au travail, le personnel météo, à cette époque, avait 950 marches à escalader pour grimper au sommet de la colline. Ce n’était pas rien de grimper ce grand escalier à flan de montagne. Chacun devait emporter avec lui quelques matériels, quelques objets, des vivres et de la boisson, pour subsister là haut. L’ascension était donc lente et pénible. Par temps sec,
c’était assez agréable, mais le temps sec, à Rapa, tous ceux qui y ont séjourné savent que
c’est plutôt rare, aussi rare que la pluie dans le Sahara ; on a pu voir 28 jours pluvieux par mois pendant l’hiver austral. Alors, ça glissait, et certains sont même tombés quelquefois dans le ravin, heureusement sur un tapis de fougères. En général, les gens de service y passaient 24 heures, certains même y restaient deux jours. Ils redescendaient ensuite à la “base”, le poste militaire installé en bordure du village. Les jeunes ménagères chargées, comme auxiliaires de cantonnement, de faire l’entretien des locaux, et aussi un peu la cuisine, aimaient aussi passer une partie de leur temps à la station haute…
À la recherche du père inconnu:
L’employé chargé d’envoyer la sonde, le sait bien. Il cherche son père, depuis que sa mère lui a donné le nom du militaire qu’elle avait fréquenté à la station météo, et, aux dernières nouvelles, il ne serait pas le seul… Ceux-là adressent leurs demandes aux archives de l’armée, mais comme la grande muette ne répond pas souvent, alors ils surfent sur Internet, et fréquentent le site des “anciens cols bleus” pour glaner une information improbable. Au passage, en parlant de cuisine, nous y trouvons ce dialogue en ligne entre deux anciens des installations de Rapa. “J’y étais aussi ; ça devait être en 65. On faisait la cuisine à tour de rôle, sur un réchaud à pétrole. On dormait tous dans la même baraque ; on avait un seul bac à eau, et quand on demandait de cette eau, on se faisait enguirlander. Te souviens-tu des WC sur le lagon ? Une caisse posée sur des cornières ! Oui, et pendant ma semaine de cuisine, j’avais empoisonné toute la station avec un capitaine (poisson) qui avait dû brouter du corail qu’il ne fallait pas ! On s’est tous retrouvés à l’infirmerie de la base.” Comme quoi, la ciguatera, à Rapa, ce n’est pas une nouveauté…

Aujourd’hui, quand on en parle à Jacques Morris, il hausse les épaules. C’est le chef météo du centre de Rapa depuis 1983. Une sorte de solitaire, né à Tahiti, où il ne rentre pas souvent. Il aime Rapa, mais ne fréquente personne. Il reçoit bien les invitations à participer aux quelques manifestations annuelles organisées par la communauté, mais il n’y va pas. Il préfère ses animaux, Sarah et Eros, ses deux chiens. Et puis surtout la Marguerite. Elle est jolie la Marguerite, en plein milieu de la pelouse du centre météo. Et ça n’avait pas été facile de la décider à s’y rendre, ce matin-là. Elle refusait de traverser le jardin de la mairie, bloquée au milieu de la route parce qu’un peu effrayée par le bruit des préparatifs des fêtes de fin d’année. Mais la chienne avait su, en lui mordillant les fesses, la convaincre d’avancer, surtout que Jacques avait fait semblant de la laisser là, en plan, et elle s’était mise à meugler en les voyant l’abandonner. Ça fait quatre ans que dure le manège, depuis que Jacques avait recueilli ce petit veau trouvé dans la montagne, orphelin de mère, tuée par des chiens, qui doit bien peser sa tonne aujourd’hui. Marguerite broute toute la journée, mais ne donnera jamais de lait, parce que Marguerite deviendra un vrai taureau. Ce qui fait rire tout le monde.

Jacques n’en a cure. Il hausse encore les épaules. Il raconte peu sur sa vie de chef météo à Rapa. Il observe les dépressions, mais lui, il ne déprime pas. Pour nous faire une idée, et nous faire une faveur, il va chercher dans le fond d’une armoire, un vieux livre, “les notes personnelles et confidentielles des agents météo de Rapa”. Un vrai grimoire, inauguré par le chef d’Assignies, dans les années 40, pour 60 années de confidences. Comme celle-ci, datée du 26 novembre 1968, signée de la plume même du Vicomte des Champs de Verneix, et accompagnée d’un petit sac sous cellophane, directement collé sur la page : “Ci-inclus le cadavre de la dernière abeille du rucher de Tukou, massacrée en plein travail par les retombées de la bombe du 3 juillet 1967. Abeille chérie, tu es vengée. Le spécialiste des tirs tous azimuts a déjà payé… Charles de Gaulle au reposoir de Colombey. Plus de stratium sur Rapa”. “Il accusait le CEP de lui avoir empoisonné ses abeilles avec les retombées radioactives”, liton sur le site des anciens colsbleus, ancien personnel du centre météo. “Moi qui suis apiculteur, les visitant mortes, j’ai pu constater qu’elles étaient mortes de faim, cela se connaît, et se voit”.
Ce qui ne se voit pas, ni se conteste, même oublié par le rapport de la commission de 2006, c’est qu’il y aurait bien eu des retombées radioactives sur Rapa, lors de l’essai baptisé Arctarus. Et que sont mortes les abeilles des ruches de Tukou.

Texte lili Oop

Photographies Paskua
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

bien le bonjour Delva

Je peux te rappeler le nom de quelques personnes de notre entourage à Rapa à cette époque.
Je me rappelle que tu avais chanté du Brassens dans la salle à manger le soir du réveillon de 68. Mais ton différent avec le trans, je ne m’en souvenais plus et je ne sais pas s’il s’est produit ce soir-là ; il n’y avait pas bien longtemps que tu étais à Rapa, je crois.
Voici quelques noms, je ne me souviens pas de tout le monde, ne l’ayant pas écrit.
Le chef du poste, adjudant de la colo, c’était Bouchard ; il fut remplacé au début de 69 par l’adjudant chef le Quillec, un peu avaint mon départ.
Du personnl trans, soit trois ou quatre personnes, je ne me rappelle que de l’adjudant Bègue.
L’adjudant Peres était chargé des groupes.
A la météo, il y avait moi-même comme chef de la station
Et puis le SM Begoc, le maître Magin, le SM Degeraud, le SM Bourdon, le sergent air Minguez, les QM Makoviak et Donadio, le MDL Poirier. Et puis aussi le QM Maubert, le SM Leblond, le soldat D’Espous ? Mais ces trois derniers peut-être étaient-ils déjà partis de ton temps ?

A l’opp il y avait le soldat Lacour

Bien cordialement

A Pilon

Pour lili Oop

Kia orana Koe

trouvé en fouinant un peu

la photo ci-dessus des convoyeurs morane, René des Champs de Verneix et son camarade, en vente sur ebay / NEUF Dollars.

Texte de E BAY :

Viscount Rene de Champs de Verneix Photo 8"x10"

Item condition: --

Price: US $9.00 Buy It NowBuy It Now
Watch this item
Now watching in My eBay Now watching in My eBay

Shipping: $2.50US Postal Service First Class MailSee more services See discounts | See all details Estimated delivery within 12-15 business days.

Returns: No Returns Accepted


André Pilon

Bonjour, concernant Rapa j'ai eu la chance faire plusieurs voyage avec le Dumont d'Urville vers les Australes et en particulier Rapa? pour diverses missions de présence, débarquement d'une compagnie de la légion et du Rima de Taravao, pour aider à la remise en état de l'école et de divers bâtiments de l'île.
Les bâtiments météo n'existaient plus ou avaient subi des transformations.
Lors d'un périple nous avons eu la joie de transporter vers ce bout du monde le directeur de la météo en Poynésie, avec un peu plus de 50 noeuds de vent en continu, sans que météo Papeete n'enregistre et ne répercute les bulletins que nous leur envoyions toutes les 4 heures. J'ai aperçu ce monsieur au départ de Papeete, je l'ai revu trois jours plus tard au mouillage à Rapa car nous n'avions pas pu accosté.
Il s'est empressé d'aller au local météo de Rapa et de souffler dans les bronches de ceux de Papeete. J'ai posté sur le site du Dumont les photos d'un résultat de pêche à la langouste. Mais effectivement les habitants de Rapa allaient pécher sur un haut fond qu'ils considéraient comme leur garde manger, suivant l'autorisation de la mairie, et c'était toujours une pêche communautaire.

salut les gars je ne vous connais sinon de nom je devais etre a Rapa juste avant vous de juillet 69 ajanvier 70 avec Bouchard comme chef de station et Huguen comme chef meteo j'etais responsable du R.S. que de souvenirs moi qui ne suis pas specialement photo je suis tres heureux de voir les votres (un grand remerciement) de revoir Dede ,ce fabuleux cuistot Xavier qui faisait aussi l'hydrogene je crois et cerise sur le gateau les machines a laver qui paefois m'ont bien rince a plus je continue ma lecture.

desole pour Miguel je l'avais connu lors de mon sejour a Mangareva c'est toujours triste de perdre des copains

je voudrais dire a Jean Claude que je deviens un phenomene d'internet grace a tes conseils judicieux et a ta grande patience mais je ne suis toujours pas sur le forum meteo je cherche des photos amicalement

salut Pierrot
je suis très content de te retrouver ici, bienvenue sur ce forum
en souvenir de notre cours de QM avec notre ami regretté Mimi.
georges dit tataio

salut tataio merci de tetre souvenu de moi et de l'avoir indique a JeanClaude ca fait chaud au coeur de retrouver tout ce monde et d'echanger les souvenirs tu as pris ma releve en tant qu'instructeur R.S. on etait egalement a hao en 73-74
je voulais precise dans mon premier message que c'etait avant Marechal et Krausse que j'etais a Rapa

je n'en suis qu'a la page 18 donc je debute les souvenirs de Rapa je voulais demander a tataio si c'est bien Gueguen dit gegene qui jouait aux courses et qui etudait ca de pres j'avais gagne 180 balles qu'on s'est empresse d'aller depense a Parly 2(chopes de trois litres ) l'arrosage m'ayant coute 300 balles je m'en souviens toujours d'ailleurs Gilg devait etre dans le coup aussi.
quant a Alain Lelay je pense qu'on a fait un stage de R.S. ensemble en 69 avant de repartir au Pacifique en juin il devait y avoir toi' Beraud Jean Francois Patinet(eleveur de vaches) moi et ???? responsable l'ami Degereaud dont j'aimerais avoir des nouvelles
excusez-moi pour les prenoms je ne m'en rappeles plus pour la plupart

j'en ai connu 2 qui jouaient aux courses gégène effectivement et plus tard René Ledallour a la BAN de ST Raphaël. Oui je me rappelle de ce cours avec JF Patinet qui avait une Jaguar assez ancienne, il l'avait dejà pendant notre cours de QM, il as quitté la Marine pour être embauché dans une société Offshore qui s'appelait DORIS.
Dégereaud bernard dit le Bosco est inscrit sur ce forum, tu peux le joindre par Message Privé (MP) tu cliques sur MEMBRE et tu fait une recherche avec pseudo: DEGERAUD DIT LE BOSCO

a Degeraud dit le bosco content de te re revoir j'avais demande de tes nouvelles dans un message precedent je n'etais qu'aux premieres pages tu n'as guere change on te reconnait assez facilement
que fais-tu maintenant? en retraite je suppose .
quand a Rapa, tout le monde a ete envoute quelle chaleur quel amour pour en parler moi meme j'en reve encore d'ailleurs un jour a la tele j'ai vu un grand reportage d'une heure avec Alfred Popoti sa plus jeune soeur (pas Tiyeye) et puis Dede Xavier et d'autres ca m'a fait un drole d'effet Bon j'en reste la je finis ma lecture

a tataio je te rappele que j'etais instructeur R.S. de fin 74 a decembre 77 tu as du arriver debut 78 effectivement il y avait Collado et Lahaye (peut-etre bien Labaye) .
un grand bonjour a Wolf je me souviens tres bien de toi tu avais du etre evacue tellement tu souffrais de calculs renaux et pour ce qui est de Hennequin il etait sergent meteo et non instituteur .a plus au fur et mesure de ma lecture

je suis faché avec les dates
merci Pierrot de me rafraichir la mémoire
avec ce forum, je suis en train de reconstruire mon itinéraire marine

un salut de bienvenue à pierre cimpello. On n'a jamais travaillé ensemble il me semble, mais on s'est rencontré à l'école de la météo à Bois D'arcy à l'occasion de je ne sais plus quel cours, mais pas le même l’un et l’autre. Quand j'étais au BS en 64 peut-être ?

On attend que tu nous mettes beaucoup de photos et de texte de Rapa, et d'ailleurs bien sûr.

Dans ton message nr 412, il est vrai que c’est si loin, tu fais une erreur de date. Je me permets de te donner quelques repères rectificatifs :
Bouchard, adjudant de la colo, était chef de poste en 1968, jusqu’à fin 68 ou début 69, il fut remplacé par l’adjudant-chef Lequillec, biffin, lui aussi. (Avec celui -là à son arrivée, on avait bien rigolé, il avait prévu faire faire un tour de garde, la nuit, « dans le camp ». Mais je ne sais pas si Bouchard y est arrivé en 67 ou 68, c’est en 67 que les postes sont passés à coloniale, avant d’être à la Légion.
Donc, quand j’arrivai à Rapa pendant le second semestre, après les tirs de 68, Bouchard m’a reçu.

En 1968, Hennequin, était instituteur à Rapa. Il y est resté ou revenu après avoir quitté la météo.

André Pilon

Effectivement Pierre, je t'ai remplacé début 70 comme responsable RS. Laurent

merci a tous pour vos mots d'accueil .A Andre effectivement je me trompe de sejour puisque j'etais a Rapa les quatres premiers mois de 68 on ne se connait pas de vue ou alors unbref apercu mais Mimi et Cecile qui etaient de grands copains me parlaient souvent de toi (je suis toujours en relation avec Cecile)
Quant a Laurent je ne te connais pas mais comme le bouche a oreilles fonctionnait dans cette petite famille
de la meteo on se connait presque tous et toi Tataio ne t'en fais pas les trous de memoire ca me connait aussi
je suis incapable de me souvenir de quels sites j'ai fait apres Rapa c'est a dire de janvier 70 a septembre
70 peut etre Tureia au debut et apres??? ,alors si
quelqu'un peut me renseigner merci d'avance

photo André Pilon 1968

Référence carte du service Hydrographique N° 4232- Ile Rapa

Photo André Pilon 1968

Réponse à message 420

Salut Pierre,
Tu m'as remplacé à Rapa en décembre 67. Tu es arrivé à bord du remorqueur "Hippopotame", en début de dépression tropicale. J'étais "un peu" saoul lors de mon départ et je pense que c'est toi que j'ai poussé à la mer depuis le wharf! Le wharf était submergé par la surélévation du niveau de la mer...

Cette introduction pour me situer dans ta mémoire.

Dans ton message tu nommes Lahaye et Labaye.
En 1974, Lahaye travaillait comme prévisionniste à Aberdeen (Ecosse). Son employeur était la Société SESAM qui le "louait" à TOTAL.
En 1978, j'ai embauché Maurice Labaye (décédé) chez CG DORIS. Il fut envoyé sur notre chantier de Kishorn (Highlands) en tant que prévisionniste.
Bien cordialement.

bonjour,

je viens de lire les 43 page de ce post.

Je suis aussi passé à RAPA 68/69! Quand exactement, je ne souvient plus.
Je ne suis pas descendu à terre, car étant "officier de chargement" il fallait s'occuper justement du déchargement.
J'était embarqué sur le transport ravitailleur GUYENNE dont la mission était de ravitailler les station OPP .
Je me souvient que le commandant était allé rendre visite à ce MR le comte et que celui ci avait donné l'autorisation d'aller à la chasse aux chévres. la chasse a été effectué au fusil mas 49 depuis la mer en embarcation, et nos baleiniers de récifs allaient chercher les pauvres bêtes blessées;et les achevaient
Nous avons aussi ramener une chévre vivante à notre bord.Elle est devenue notre "mascotte" jusqu'au jour où, papeete elle est partie toute seule,hélas pour elle.
je me souvient également d'une grande difficulté à quitter notre mouillage,car il y avait tempête et le courant entrant était si important que nous avons eut du mal à quitter.

voilà c'est tout pour RAPA.

la guyenne était ravittailleur en nourriture, piéces de rechange et nous avions un dépanneur à bord pour les transmissions.
c'était un adjudant chef de l'armée de terre service trans, qui avait reçu a bord le grade de QM d'honneur. Il avait un schelter dans la cale avec tout son matos et était toujours un des premiers à débarquer.

Bonne journée

jean

Salut jean 5954



merci de ton mot sur Rapa, mais toutefois il appelle une petite remarque : ce n’est pas René de Verneix, le vicomte apiculteur, aviateur, qui a autorisé la chasse aux chèvres, il n’avait aucun, mais vraiment aucun pouvoir dans l’île, c’est probablement le Tavana, et je pense avec l’avis de son conseil (maintenant Rapa est commune, et il y a un maire et son conseil municipal) qui a permis cette chasse.

En 1968, des chèvres il y en avait partout, on disait 6 à 700 dans l’île.

Je n’en ai pas la preuve, mais je pense que les commandants de bateaux du CEP avaient pour mission de le contacter et de le sonder car il était anti CEP.

Quand tu es passé par là, j’avais quitté l’île depuis peu.


André Pilon

Bonjour
J'ai un correspondant Polynésien (sur un autre "canal" que celui d'ACB) dont je ne sais s'il est popaa ou polynésien du nom de Pierre Patira qui cherche un détecteur ou météo ayant fait Réao (mais aussi Rapa) en 1971 et 1972. Me contacter si ça vous dit quelque chose.....je mets le même "post" sur le sujet Réao