La ville est sale, sur le port des hommes vives dans des buses en béton, impossible de les photographier sinon ce serait une émeute. Pas ou peu de femme, les magasins d'articles de pêches, de matériel photographique, de soieries sont légion.
J'achète un pied photographique et une maquette de boutre.

Pas facile de photographier la vie locale, tous se cachent dès que l'on sort l'appareil...

Rencontre après le Lac AMER.


En mer, édition du n° 5 daté 18 décembre 1963 de "A l’écoute du FOC'H"








Particularité de cette mission ; il faisait chaud voir très chaud quand on était "au trou ou à la mine".
Pendant les quarts, un matelot montait avec une gamelle la remplissait d'eau à la fontaine, on y ajoutait une pastille de sel et on buvait ce breuvage pendant le quart.
Ces pastilles étaient distribuées par l'infirmerie dans le but d'éviter la déshydratation.
En effet au cours de cette tournée, on devait tester le comportement de l'équipage en zone chaude et sous stade "0", c'est ce qui se disait...
Toutes les arrivées d'air extérieur sont coupées et on fonctionne en recyclage. Dès les premiers poste de combat suivi d' un stade 0, il y avait toujours un ou plusieurs mécanos qui terminaient à l'infirmerie.
De plus, par exemple on est de quart de 8 à 12 h.
Le déjeuner pris on pouvait espérer un peu de repos, et bien non, car poste de combat en début d'après midi on retourne à la "mine" ou au "trou" pour au minimum 1 h.
Puis le 18 à 20 h pour terminer la journée.
Avec son lot de gars qui terminent à l'infirmerie.
Après avoir franchi le canal direction Toulon, le Cdt en second et le chef du service énergie font une inspection du personnel énergie.
Ils sont accompagnés du médecin qui en fonction de la mine des gars, les désigne afin qu'ils aillent passer une visite médicale.
Pour ma part, j'avais maigri d'environ 3 ou 5 kg (annotation sur mon agenda, mais difficile à lire car le coin est écorné) j'ai eu le droit à divers remontants. et tous les jours je devais me rendre à l'infirmerie afin de vérifier le poids, la tension...
Suite à cette tournée ou mission, les "stade 0" furent limités à 15 min.

21 décembre 63 arrivée à Toulon.

FRANCISCO ANTUNES GUIMARAES Guimaraes
14:55 (Il y a 40 minutes)

Mes amis français navigateurs.
Ces nouvelles I a été divulgué hier par le service de communication de la Marine brésilienne.
Pardonnez les problèmes de traduction et de mon petit français encore.
"Démobilisation du porte-avions São Paulo.
Après plusieurs tentatives pour récupérer la capacité opérationnelle du porte-avions "São Paulo", l'Amirauté a conclu que le programme de modernisation nécessiterait un investissement financier élevé, contenir des incertitudes techniques et nécessitent une longue période d'achèvement et a décidé la démobilisation du milieu à mener à au cours des trois prochaines années.
Un programme d'obtenir une nouvelle série de navires x aérodrome aéronef occupera la troisième priorité des acquisitions de la Marine, peu après ProSub Programme / nucléaire et le programme de construction de corvettes classe Tamandaré. Le coût de cette nouvelle binomiale sera sensiblement inférieure à la modernisation du porte-avions "São Paulo" et l'acquisition de nouveaux appareils compatibles avec le porte-avions, alors que l'avion AF-1 devrait être à la fin de sa vie lorsque le "St. Paul "a terminé sa modernisation.
Le "São Paulo" a été incorporé dans la marine en 2000, de la possibilité d'acheter la marine française, avec precípuos fins pour remplacer l'ancien navire-Aérodrome Light "Minas Gerais" en fin de vie, et de fournir l'évolution des opérations aériennes livrées avec l'utilisation d'aéronefs à voilure fixe et propulsion à réaction a-4 Skyhawk.
Bien que compter sur 37 années de service actif au moment de l'acquisition, le navire a rempli sa mission et dans les premières années d'activité par l'équipe brésilienne, permettant à la Marine d'acquérir les compétences nécessaires pour fonctionner à haute performance des avions embarqués.
Malheureusement, les études de faisabilité du programme indiquent une longue période pour son achèvement, une dizaine d'années, en plus des incertitudes des coûts techniques et élevés.
Jusqu'à ce que la Marine reçoit un nouveau porte-avions, la capacité de mener des opérations de guerre navales avec des emplois de l'aviation à voilure fixe obtenus au prix de grands investissements et la formation intense de nos pilotes dans le pays et à l'étranger, se tiendra du Naval Air station et d'autres installations au sol, et aussi grâce à la formation avec les marines amies."
COMMUNICATION CENTRE SOCIAL NAVY
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Desmobilização do NAe “São Paulo”
Após diversas tentativas de recuperar a capacidade operativa do NAe “São Paulo”, o Almirantado concluiu que o Programa de Modernização exigiria alto investimento financeiro, conteria incertezas técnicas e necessitaria de um longo período de conclusão e decidiu pela desmobilização do meio, a ser conduzida ao longo dos próximos três anos.
Um programa de obtenção de um novo conjunto Navio-Aeródromo x aeronaves, ocupará a terceira prioridade de aquisições da Marinha, logo após o PROSUB/Programa Nuclear e o Programa de Construção das Corvetas Classe Tamandaré. O custo de aquisição desse novo binômio será substancialmente menor que o de modernização do NAe “São Paulo” e de obtenção de novas aeronaves compatíveis com o NAe, já que as aeronaves AF-1 deverão estar no final de sua vida útil quando o “São Paulo” terminasse sua modernização.
O “São Paulo” foi incorporado à Marinha em 2000, a partir de uma compra de oportunidade da Marinha Nacional da França, com os propósitos precípuos de substituir o antigo Navio-Aeródromo Ligeiro “Minas Gerais”, em término de vida útil, e proporcionar a evolução das operações aéreas embarcadas com o emprego dos aviões de asa fixa e propulsão a jato A-4 Skyhawk.
Apesar de já contar com 37 anos de serviço ativo no momento da aquisição, o Navio cumpriu bem sua missão nos primeiros anos em atividade pela Esquadra brasileira, possibilitando à Marinha adquirir a capacitação para operar aeronaves de alta performance embarcadas.
Lamentavelmente, os estudos de exequibilidade do referido Programa indicam um longo período para sua conclusão, aproximadamente dez anos, além de incertezas técnicas e elevados custos.
Até que a Marinha receba um novo Navio-Aeródromo, a capacidade de conduzir operações de guerra naval com emprego de aviação de asa fixa, obtida às custas de grandes investimentos e intensos treinamentos dos nossos pilotos no país e no exterior, será mantida a partir da Base Aérea Naval e de outras instalações de terra, e também por meio de treinamentos com marinhas amigas.