par † Maxi Mar 7 Mai 2013 - 10:40
Salut, les tous !
Ca y est, je sais maintenant quand nous avons passé le canal de Panama !
Je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi, SMpacha.
Surtout, ne perds pas la boule !
Qu'elle soit en Baccara ou en plastique.
Mais dis donc, c'était la guerre, là-bas ?
Si j'ai bien compté, cela ferait 15817 projectiles.
En argot, on dit 15817 Bastos, du coup, ça nous ramène à Doumeng et à sa coopé.
Je me demande, comme toi, si ces cartouches étaient emplies de poudre noire ou de tabac ?
Pour la petite, tu as peut-être raison, mais je ne l'avais pas ressenti comme ça. De toute façon, elle et moi nous sommes bornés à des bisous et quelques papouilles ; ce qui était tout de même bien agréable.
Du coup, ça me rappelle un truc que m'avait raconté un détecteur du bord.
Avant l'appareillage de Norfolk, il avait été ramené à bord dans une somptueuse voiture par un couple de vieux (à l'époque, pour nous, vieux, ça commençait à 40 ans).
Il m'avait confié alors qu'il s'agissait d'un commodore ricain et de son épouse, qui l'avaient invité au restau et baladé dans la région, en tout bien tout honneur, et qu'il avait trouvés très sympathiques (je ne me souviens plus des circonstances de leur rencontre).
La bienséance n'a pas eu à souffrir de leur relation, mais il s'est quand même passé un truc un peu coquin le dernier jour, quand au moment de se quitter ; sur le quai, donc au pied de la coupée; l'amirale lui a dit : "Please, fot the last day, give me a french kiss".
Il était sur la banquette arrière avec elle, et le mari était devant, au volant.
Un peu interloqué, il regarde le commodore, qui se retourne et lui dit en clignant de l'oeil :
- "OK !".
Alors il s'est exécuté, a roulé un palot à cette dame accueillante, et a quitté la voiture pour monter à bord et rentrer en France.
Étonnant, non ?