Bonjour, pour KRAUSSE , nous étions à Mulheim à la même période.J'étais dépanneur radar à la BCAD du 32 rald.
voici une photo de la baie vue de l'arrière du bâtiment d'exploitation. si mes souvenirs sont bons elle se nomme la baie d'iri (par sur de l'ortographe).




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Oui, une petite erreur, mais sans aucune gravité, bien sûr, c’est la baie de Hiri, avec un H, que nous contemplions du haut de la crête où se trouvaient le GMD/2 et ses installations et comme indiqué dans le fragment de ma vieille carte marine, passablement annotée.
A droite, c’est le mont Motu ; ceux qui ont fait le tout de l’île en baleinière se rappelleront, comme la falaise est matérialisée sur la carte, qu’il tombe quasi à pic de plus de quatre cents mètres de hauteur dans l’océan.

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fragment de la carte marine du service hydrographique n°4232.

André Pilon

C'est dans cette fameuse baie que Xavier nous préparait après une bonne pêche quelques thon et saumon cuit sur les roches volcaniques . Un délice et de merveilleux souvenirs . ( Voir photos dans les premières pages )

OK Delva pour ton boulot au 32 . On s'est certainement rencontré . Mais la mémoire actuelle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Merci à André pour la carte .

Bonne nuit à tous

Eh oui, Jean, des saumons d'un mètre de longueur, pêchés à la traine ; et un kilo de saumon dans la bedaine un peu plus tard ; ça c'est quelque chose que l'on ne reverra plus... Mais quels souvenirs merveilleux comme tu dis.
A. Pilon,

C’est bien vrai, ton évacuation sanitaire de Rapa a été une péripétie, je l’ai lue et relue, je n’en avais pas connaissance ; c’est une aventure, dirait-on, et que l’on ne peut rencontrer de nos jours pratiquement que dans les océans, là où se trouvent des archipels où tout se fait encore par bateau, mais de moins en moins puisqu’en Polynésie Française par exemple pour 110 îles on a une cinquantaine d’aérodrome, ce qui contribue à sauver des vies humaines. A Rapa, il n’y a toujours pas de piste d’atterrissage. Comme tu sais c’est un problème de vent irrégulier, changement brusque et fort, avec cisaillement, qui l’empêche.
On a beaucoup d’exemple de personnes qui ont péri dans le passé, sur les îles, parce qu’il était impossible de les transférer sur Tahiti ; là où l’on aurait pu traiter leur cas, en un mot les soigner. Pour ton affaire à Rapa, tout s’en mêlait, le dragueur ne pouvait pas rentrer dans la baie, c’est bien connu, surtout par houle d’ouest ; les Rapas sont des marins nés, aucun souci à se faire pour se rendre à couple du bâtiment, mais le moteur tombe en panne et immanquablement la baleinière se fiche en travers et aurait pu chavirer. On passe mais on joue dangeureusement de l’ascenseur le long du bord. Ils ont pris un risque.
Il y avait une autre solution, la meilleure selon moi : c’était te brancarder par les collines et descendre derrière le GMD/2 vers la baie Anarua sur la côte ouest ; cette baie de bon mouillage constitue un refuge d’attente pour les bateaux venant à Rapa er ne pouvant pas entrer dans la baie. J’aurais été le commandant du dragueur c’est la solution que j’aurais choisie et ordonnée ; mais dis-tu, il arrivait de France, peut-être n’était-il pas assez documenté sur Rapa ? Je crois que dans les Instructions Nautiques c’est précisé et l’hydrographie de la baie Anarua est parfaite.
Qui nous dit qu’il n’y a plus d’aventure au XX ème siècle ? Je pense que tu en as fait un beau récit pour tes petits enfants ?

La piste recouverte de roches de cailloux et de graviers à Hao, c’est suite au passage d’un cyclone, j’ai connu cela à Mururoa à deux reprises en 1982 /83. 500 personnes avec balai, pelles et camions citernes pour arroser, afin de déblayer et laver le tout et pas qplus de premier maître que de matelot ou de deuxième classe ; tout est à grande echelle dans cet océan illimité. Tu sais sans doute que un cyclone les eaux montent. Elles peuvent monter de deux mètres à la verticale de l’œil, pas étonnant si la passe de Hao était invisible, tout était recouvert par les eaux, par la marée de tempête.

Monsieur de Verneix n’était pas à Rapa pendant la guerre, il est arrivé à Tahiti venant de Rapa le 8 mai 1940. Il s’est retrouvé en Indochine ; c’est feu le RP Patrick O’reilly, qui était un historien, qui l’écrit. Chacun sait que les troupes japonaises, ne sont pas venues en Polynésie française. Un japonais vivait à Rapa, marié à une polynésienne, presque française et au nom bien Français et que normalement tu as connue en 1969, ce Japonais s’appelait Watanabé. Même si les japonais ont fait de l’espionnage sur Rapa, je me demande bien ce qu’ils auraient fait de cette île quasiment impraticable tant sur le plan maritime que sur le plan aéronautique.
Mais monsieur De Verneix avait un tempérament galéjeur, et puis en 1968 quand je l’ai connu, il était déjà malade. Il devait ressasser tous les épisodes de sa vie et broder dessus.

Quand à ton copain Morville, il est dans son pays, la Réunion.

Amicalement

André Pilon

Bonjour, je suis le petit jeune que vous venez d'accueillir à bord.Je me nomme Jean-Louis HERKENS, Météo Air en poste à Rapa de septembre 1969 à février 1970 (période presque précise) La vidéo mise ci-dessous ( voir le lien), vue il y a quelques jours, a réveillé un petit peu ma mémoire. Et c'est en voulant envoyer l'envoyer ainsi que le récit ci-dessous, à mes amis et en cherchant un lien pour leur montrer Rapa que je suis également arivé chez vous. Cela m'a donné envie de partager mes souvenirs avec d'autre rapanais. J'ai donc envoyé mon message au contact ACB qui a fait suivre. J'ai par la suite demandé l'autorisation de monter à bord.
J'espére que vous allez pouvoir visionner la vidéo, autrement il faudra me dire comment faire pour que vous puissiez vous régaler .......
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Voici le texte ci-dessous envoyé à Fanch puis commenté par André PILON.
Cette vidéo me fait remonter en mémoire deux moments de ma vie lors de mon séjour 1969/1970 dans le Pacifique.
Lors du transfert deTahiti (Îles sous le vent) à Rapa (Îles Australes) du personnel Météo et des transmissions sur le bateau "l'oiseau des îles II", nous avons subit exactement cela pendant plusieurs heures.
Comme vous devez vous en douter ce "très fort" tangage était hyper stressant.
Mise à part la peur, avec le ventre plein à craquer pas de problème de mal de mer.
Moi le "gonfleur d'hélices", j'ai fait l'étonnement des "chie dans l'eau" qui étaient quasiment tous malades.
Plus tard, pour couronner le tout, lors de notre rapatriement sanitaire, un transmissionniste et moi avons eu droit au même traitement au retour de Rapa vers Hao. Lui coliques néphrétiques et moi paralysie faciale.
Tout d'abord le bateau, un dragueur de mines qui venait France pour aller à Hao a été dérouté pour venir nous récupérer.
Ce dernier n'a pu pénétrer dans la baie pour cause de forte houle due à un cyclone en approche.
Nous sommes donc allés le retrouver au large, emmenés par une baleinière pilotée par deux rapanais.
Sortis de la passe, la houle avait des creux de 4 à 5 mètres.
Tout se passe bien jusqu'à mi-chemin, nous fendions les vagues comme sur les montagnes russes (tangage).
Tout d'un coup le moteur tombe en panne ce qui de façon naturelle a conduit la baleinière à se positionner parallèlement à la vague. Petit coup de stress de par le roulis accentué.
Au bout de quelques instants , trop longs, le moteur est remis en route.
Nous arrivons au bateau, nous nous retrouvons à côté de lui, une échelle de corde à été accrochée au bastingage.
Compte tenu de la houle, l'échelle de corde est une fois à portée de main une fois hors de portée.
Lorsque l'échelle n'est plus atteignable, l'arrière du bateau est hors de l'eau, l'hélice devient visible et émet des flop, flop, flop, pas très engageants.
Je suis debout sur un banc de la baleinière, au bord de son bastingage. ........ Deux gars me tiennent....... L'échelle arrive à ma hauteur........ Je m'y agrippe......... Je n'ai pas le temps d'y placer mes pieds, la baleinière est déjà descendue quelques mètres plus bas........ Je pendouille comme une andouille...... Dans le même instant, j'entends hurler "crochez dedans !" ........... Je ne sais combien de mains m'agrippent et me soulèvent....... Je ne retrouve projeté sur le pont du bateau....... Heureusement pour moi, le Bosco avait jugé rapidement la situation.
Les matafs m'ont sauvé la vie.
Quelques secondes de plus, accroché à cette échelle de corde et je finissais dans les eaux du Pacifique avec le bassin fracassé par le choc du retour de la baleinière contre le bateau et peut être en prime happé par l'hélice qui n'était pas très loin, dixit mon collègue des transmissons qui est monté après moi.
Puis se fut le départ vers Hao.
Le voyage fut "agrémenté" de roulis et de tangages assez marqués.
Mon collègue et moi avons été logés sur des lits de camps "'ficellé" aux banettes pour ne pas qu'ils nous fassent voyager dans la piaule.
Face à mon lit, il y avait un rideaux qui fermait la chambre de l'équipage. Ce rideau suivait bien entendu les mouvement de la houle donc du bateau. Tant et si bien qu'il était possible, lors du roulis, d'avoir l'angle d'inclinaison du bateau qui me semblait approcher les 45 ° (je ne sais si j'exagère mais c'était très impressionnant, j'avais même l'impression qu'il atteignait les 90°).
Pour couronner le tout, le bateau a tourné autour de Hao quasiment toute la nuit, la passe n'était pas visible sur le scope du radar parce que les vagues passaient par dessus l'atoll. De fait, à notre descente du bateau nous avons vu la piste d'atterrissage couverte de morceaux de corail.
Mon Adjudant de Discipline personnel me demande pour aller faire quelques courses, juré promis je vous donne la suite de mon échange demain et après je vous dirai d'autres souvenirs. Il y a aussi dans ce groupe quelques noms que j'ai connu.
Amicalement

Bienvenue à Jean-Louis "homme de mer" à "l'insu de son plein gré"
Des expériences comme çà c'est pire que le passage de la Ligne
Je n'ai pas pu lire ta video. Le lien demande des comptes et des codes...
En tous les cas on attend quelques un de tes récits (moins mouvementés) en tant que MTO sur ces îles du bout du monde

Non, la video ne passe pas, il faut donner des codes

A.P

Je suis désolé pour vous cela vaut le détour. Je lis le fichier avec windows média player. Le fichier est au format WMV. Si je fais parvenir le fichier au modérateur, a-t-il la possibilité de faire en sorte qu'elle soit visible par tout le monde ? Vous qui connaisez bien votre site dites moi ce qui est possible.
Pour la suite à demain, c'est l'heure de fermer les écoutilles pour aller casser une croûte chez des amis.
@+

Merci Jean-Louis.:
J'avais déjà vu ce clip il y a quelques mois...
Mais ça ne concerne pas ni Rapa, ni le CEP et Tahiti

Suite de mon échange avec André PILON :
MOI : Bonjour et merci pour ton message en retour.

Tu écris ceci :
ANDRE : Même si les japonais ont fait de l’espionnage sur Rapa, je me demande bien ce qu’ils auraient fait de cette île quasiment impraticable tant sur le plan maritime que sur le plan aéronautique.
Il semble que le seul intérêt que Rapa avait pour eux, au moins à ce moment là, était le ravitaillement.

Ce que j'ai oublié d'écrire dans le récit de mon evasan c'est le bruit infernal provoqué par les coups de boutoirs dû à la rencontre brutale des vagues et de l'étrave du bateau associé au bruit non moins infernal des vibrations de la structure métallique. Nous avions l'impression que les rivets ou les soudures allaient finir par lâcher. Je peux t'assurer que par contre pour ce qui était des hommes, il n'y avait pas beaucoup de bruit. Nous nous attendions au pire à chaque instant. Mais je n'ai pas été malade parce que je me suis contraint à me remplir l'estomac. C'était mon remède contre le mal de mer.

Tu as aussi écrit ceci :
Il y avait une autre solution, la meilleure selon moi : c’était te brancarder par les collines et descendre derrière le GMD/2 vers la baie Anarua sur la côte ouest ; cette baie de bon mouillage

Je n'ai pas été brancardé, je tenais bien sur mes jambes. J'avais une paralysie faciale que l'infirmier polynésien a essayé de soigner avec les conseils que les toubibs lui donnaient par BLU mais cela n'était pas suffisant et mon collègue transmissionniste de la coloniale avait des coliques néphrétiques qui nécessitaient l'injection de morphine par l'infirmier polynésien afin de le calmer.
Ces deux "cas" ont donc nécessité le détournement de ce bateau qui arrivait de France et devait aller à Hao.
Ensuite il a fallu attendre que la piste soit nettoyée pour avoir un vol sur Tahiti-Faa'a et être admis à l'hôpital.
Lui est sorti le lendemain, son problème rapidement réglé par contre j'y suis resté trois semaines pour des injections multiples de vitamines, ponction lombaire, etc. Très bien soigné, je n'ai eu aucunes séquelles. En même temps que moi il y avait un jeune dentiste aspi de la Marine qui avait le côté gauche du visage paralysé et moi le côté droit.

Il est vrai que l'autre côté de l'île avait une configuration plus douce que celle où nous étions installés, il s'y trouvait même quelques jardins potagers.
Je me souviens aussi de belles pêches à la traîne de saumons autour de l'île.
Il y avait aussi la pêche aux thons, qui étaient peut être des grosses bonites. Pêche très difficile et très compliquée, demandant beaucoup de patience et comme pour la pêche à la traîne, au fil sans canne à pêche avec un tissus pour protéger les mains.
Les deux rapanais avec qui nous allions pêcher le thon, nous donnaient de quoi attirer les petits requins, pas plus de un mètre de long, pour eux être tranquille afin de pouvoir pêcher des petits poissons qu'ils broyaient avec des langoustes, que nous allions ramasser sur une plate forme qui se trouvait sur la droite après la passe. Cette mixture servait à appâter les thons.
Un jour, ils en ont attrapé deux. Certainement un couple parce qu'ils étaient ensemble et lorsque le premier a été pris, le second n'a pas cessé de lui tourner autour même après qu'il ait été chargé sur la baleinière. Restant à proximité, le second a aussi fini sur le sol de la baleinière.
Pour ce qui est des petits requins que nous attrapions, dès que nous en avions un , il fallait le remonter et eux 'les rapanais) mutilaient la bête soit en lui crevant les yeux, soit en lui coupant la gueule ou autre, mais sans jamais le tuer, puis le rejetait à la mer.
Voilà pour ce que j'ai déjà raconté.
De ce j'ai lu dans vos récits, il semble que mon compagnon de misère lors de l'Evasan était Wolf. Selon ce qu'a écrit Pierre Cimpello.
Pour ne par faire trop long, je vous en dirai d'autres dans un autre message.
Bon dimanche

Bonjour Marsouin, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tu as entièrement raison, cette vidéo ne concerne ni Rapa ni le CEP mais c'est cette elle, étrangère à ma vie mais tellement ressemblante à ce que j'ai vécu, qui à fait ressurgir dans ma mépoire les souvenirs de mes péripéties maritimes au CEP et rapanesques.

Un bonjour à tous quand même et principalement à mon ami Delva, le nouveau embarqué.

Le bateau qui nous a récupérés était le SCORPION, petit bateau, poseur de mines, de câbles
A deux bras à l’avant, pour plus de renseignements, voir les marins du bord !

Salut Jean-Louis, c’est loin tout ça, février 70.
C’est Wolf, on était derrière toi sur la baleinière et tu as croché le cordage du Navire, Baleinière en position basse, si le personnel de bord ne t’avait pas tiré en urgence, tu étais écrasé contre la coque à sa remonté.
Dans mes souvenirs, on a trainé en mer deux ou trois jours avec panne moteur, plus de radio,
Plus de 10cm d’eau dans les cabines, dans une tempête tropicale.
Deux avisos, l’Orage ou l’Ouragan avaient déjà quitté Muru à notre recherche, où nous allions, bien plus près que Hao.
Là à l’entrée de la passe, la vedette de la gendarmerie maritime nous attendaient pour EVASAN d’urgence vers aéroport et Jean Prince.
Mais pour moi le plus dur n’a pas était l’épisode MARINE, n’étant pas sujet au mal de mer.
Mes calculs rénaux ont eu le temps de fondre à ce régime, c’est le trajet en ambulance Renault militaire de FAAA à Jean Prince, toute sirène hurlante à fond la caisse, le lendemain j’étais déjà viré de l’hôpital pour le centre de repos en face d’Arue, que du bonheur.

L'ami Wolf est un miraculé.
Un sacré souvenir de vrai "loup" de mer, à l'insu de son plein gré.

Bonsoir Wolf. Quelle émotion pour moi de te lire et de constater que tu n'as pas oublié cette aventure de mer à laquelle à priori nous n'étions pas destinés. Je n'ai plus le souvenir de l'infirmier polynésien qui s'est si bien occupé de nous et surtout de toi, avant que l'on embarque. J'ai en tête Damiani, mais depuis le temps....... Il m'avait aussi "recollé" le gros orteil droit bléssé suite à un accident de tondeuse et oui, nous avions une tondeuse pour la pelouse de l'abrit météo. Lorsque j'ai voulu mettre en marche la tondeuse, j'ai tiré un peu trop fort sur le cable, le moteur a bien démarré mais la tondeuse est aussi venue à moi. Résultat l'orteil à été taillé et baillait comme un vieille semelle. Heureusement la taille était franche et il a réussi à me le recoller. Régime sulfamides entre les deux tranches et pansement pour maintenir le tout. Merci pour tes photos. J'ai des diapos mais pas de scanner pour les transferrer sur le site. Comme c'est bientôt Noël, je pense que dans ma liste je vais demander un scanner de diapos afin de voir ce que je peux vous proposer.
Bonne soirée et à très bientôt.

Bonjour,
Un amical salut à Wolf.

L'allée centrale du village, sur la droite fixée au mur de l'école l'écran de cinéma et la casemate pour protéger le projecteur.
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On voit bien les deux villages, sur la gauche la station de gonflage des ballons et le Cotal.
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Tiens ! tu vois, Jean-Louis, j'ai une photo de la tondeuse de Rapa en action.
Celui qui la manœuvre, c'est un jeune biffin dont je n'ai pas gardé le nom, à droite, c'est Francis Thulliez dit Tutu, maitre météo à l'époque.
Et puis, près du pilier, notre amie Popoti.
En arrière plan dans l'herbe, le gros chien noir, Tarzan.

Merci André, belle trouvaille !
Voici ce que j'ai retrouvé, comme photo dans mes archives en attendant (peut être) mieux lorsque j'aurai pu visionner mes diapos.

Salut les Rapatouilles - Ça fait très plaisir de voir de nouveaux arrivés sur ce post. Ce sont de nouvelles expériences et de nouvelles photos qui sont les bienvenues. Je rappel que j'étais à Rapa de février/mars à novembre 1970. Laurent

La sonde de Jean-Louis on dirait un parachute

he oui Laurent et nous étions ensemble, de plus j"avais dejà fait un séjour en 67
Ce n'est pas une sonde mais un ballon gonflé à l'hydrogène que nous frabriquoins nous mêmes, la toile dessus c"est juste une protection que nous faisions glisser lors du laché, nous accrochions sous le ballon une radiosonde et/ou un réflecteur radar.

Maururuu Tataio pour la précision. Cette fabrication MTO rappelle les parachutes ascensionnels de plongée....

J'ai pas oublié mon cher Tataïo que nous formions la meilleurs équipe de radio-sondeurs de tout le Pacifique !...
Bisous à Madame.
Laurent