par Pour JOBIC :
N'ayant pas posé de question précise à ce sujet, c'est moi seul qui ai suggéré le fait que la dernière diminution de budget ait eu lieu durant l'été. Certes, le rabotage des crédits et les diminutions de personnel (plus de 800 par an jusqu'en ?) est dans l'air du temps depuis plusieurs mois, pourtant, je me réfère à un arbitrage gouvernemental durant cette période, ce qui a entrainé l'utilisation plus courante par nos ministres du mot «rigueur» qui était tabou jusque-là.
De toutes manières, ces décisions sont prises au plus haut niveau de l'Etat dans l'intention de ramener le déficit à un pourcentage qui donnera satisfaction et à l'Europe et aux agences de notation qui pourraient dégrader cette dernière et sérieusement augmenter les intérêts de notre dette qui représente déjà plus de 75 % du PIB. Quant au déficit, cette année il représentera plus de 8 % du PIB alors que les critères de Maastricht sont de 3 %. Il ne faut pas se leurrer, nous sommes dans la mouise, pour rester poli.
Cependant, compte tenu de l'étendue de notre domaine maritime (zone de souveraineté) dans le Monde, où la France vient juste derrière les Etats-Unis, le besoin d'une Marine forte est primordial. Comme par hasard, en période de conflits les états trouvent toujours de l'argent.
N'ayant pas posé de question précise à ce sujet, c'est moi seul qui ai suggéré le fait que la dernière diminution de budget ait eu lieu durant l'été. Certes, le rabotage des crédits et les diminutions de personnel (plus de 800 par an jusqu'en ?) est dans l'air du temps depuis plusieurs mois, pourtant, je me réfère à un arbitrage gouvernemental durant cette période, ce qui a entrainé l'utilisation plus courante par nos ministres du mot «rigueur» qui était tabou jusque-là.
De toutes manières, ces décisions sont prises au plus haut niveau de l'Etat dans l'intention de ramener le déficit à un pourcentage qui donnera satisfaction et à l'Europe et aux agences de notation qui pourraient dégrader cette dernière et sérieusement augmenter les intérêts de notre dette qui représente déjà plus de 75 % du PIB. Quant au déficit, cette année il représentera plus de 8 % du PIB alors que les critères de Maastricht sont de 3 %. Il ne faut pas se leurrer, nous sommes dans la mouise, pour rester poli.
Cependant, compte tenu de l'étendue de notre domaine maritime (zone de souveraineté) dans le Monde, où la France vient juste derrière les Etats-Unis, le besoin d'une Marine forte est primordial. Comme par hasard, en période de conflits les états trouvent toujours de l'argent.
