Salut Joèl,
Il me semblait bien, mais pas sûr !!
Je me souviens par contre de ses survols de Kln en avion.....
J'étais en comm avec lui entre la Régine et Paris, mais si je me souviens bien, il ne s'occupait pas directement de nous.
Je vois que vous ne manquez pas d'eau dans le Finistèrre, pas comme ici où les soucis se préparent pour cet été.
Amicalement Joël - au plaisir
Gg

Bonjour Keran, j'ai oublié si cet officier "STAEMI" existait toujours dans les années 96-99.
Toujours est-il que durant toute la durée de mon affectation à Kerlouan, au niveau du STIR Atlantique, je n'ai toujours eu que deux interlocuteurs à Brest, le CSD pour les affaires courantes et le pacha pour les sujets plus importants.
Sur le plan purement opérationnel, je n'avais qu'un seul et unique interlocuteur, l'officier Trans d' ALFOST.
Je n'ai jamais eu le moindre petit problème avec ces trois autorités (ce n'est pas toujours le cas !).

La Régine, comme Kerlouan, n'était pas directement sous les ordres d' ALFOST mais faisait partie intégrante du CTM France Sud qui lui-même dépendait de Toulon.
C'est typiquement français : pourquoi faire simple ...
Pour Kerlouan, c'est réglé : KLN est aujourd'hui directement sous les ordres d' ALFOST.
Et pour La Régine LF ?
Cette station d'émission qui travaille pour la FOST est-elle toujours rattachée au CTM France Sud ... ou pas ?
Je l'ignore.

Bonjour à vous,
Max, effectivement ce poste de STAEMI ,ainsi que son pendant STAREC pour les stations réception, Gonio et le Crax non organique, ont disparu ;par la suite un poste de MAT/TRANS ayant été créé au STIA puis STIR , tenu notamment à une époque par le CC Jobert.
Gerard, tu as dû avoir affaire au LV puis CC Giraudeau à la Régine car il devait être Trans 3 à la Fost. Au temps ou nous étions à KLN c'était l EV Prigent (présent sur ce forum) qui était STAEMI. Pour le survol de la station en ULM ce n'était pas eux mais un EV du Groufus de Brest qui agissait ainsi (alors que c'était interdit) pour "tester" la réaction du détachement Fus à KLN.
Bonne journée à tous

Bonjour à tous,
Tu as raison Joel, merci de remettre à jour mes rows-datas.

Tu me parles de Prigent, je me souviens d'une anecdote alors que j'étais officier de garde un dimanche à Kln, un sm fusil s'était fait éclater une grenade (piégée) dans la main et la goupille lui avait endommagé gravement un oeil, je l'ai perdu de vue (sans jeu de mots) et ne sais ce qu'il est devenu ? et donc Prigent CC je crois, était 'monté' à Kerlouan.
Il y avait dans son bureau du STIR (décidément, je ne me souviens plus des noms) un LV, ancien trafi de Kln et originaire de l'ile de Sein, tu te souviens de lui ? Peut-être Gouéré ?

Pour Max, comme je le disais dans un précédent msg, la télécommande de l'émetteur depuis Paname était en cours d'élaboration en 2002. Ou en est l'évolution aujourd'hui ? No se ! Mais il y a peut-être une relation..

Je pense que tu es au courant que Henrotel, que j'avais connu en 74 alors que je me trouvais à Rivière Salée, atteint de la maladie du siècle, Alzm, est décédé depuis au moins 5 ans. Il habitait un petit village en-dessous Lezignan. Discussions sympas au début et puis il ne me reconnaissait plus, jusqu'à ce que j'aprenne son décès par son épouse..
73 à tous.

Bonsoir Gerard,
Prigent était EV1 STAEMI quand nous étions à Kerlouan. Jen Paul Gouere (Trafi);originaire d'Ouessant) était Mp puis Major à Kerlouan ou il avait remplacé René Dornemain (sur ACB), je l'ai retrouvé au STIR en 1995 ou 96 , LV.
Bonne soirée.

Bjr Joel,
C'est tout à fait cela ! Je me souviens bien de Dornemain aussi.
Tu habitais déjà sur place lors de cet incident 'à la grenade' ?

Bonne journée, le devoir 'gdes surfaces & Co' m'appelle.
73.

Je rebondis sur le dernier message de babar11 dans le sujet Blog visiteurs / La Régine.
Les grands travaux, c'est bien ... quand tout est terminé. Ouf !
Communication du pacha du CTM France Sud deux jours après l'inauguration de SOLFERINO à La Régine :

Merci commandant ...
... mais dès le lendemain matin, sans attendre le pacha, j'avais fait diffuser ce papier à la Régine (déjà posté mais pas la com du CC Launay) :

C'était la moindre des choses.
Retour 24 heures en arrière :

Photo prise au pied du pylône, devant l'entrée de la cabine antenne.
Je suis le 3ème à partir de la gauche.
Sur la carte postale, le pylône LF, ce n'est pas le plus visible, celui de gauche, mais celui de droite.

Aujourd'hui 18 juin, commémoration de l'appel du général de Gaulle du 18 juin 1940.
Souvenirs, souvenirs ...
Que ce soit à la Pointe-des-Sables, à La Régine ou à Kerlouan, ces commémorations du 18 juin, je les ai toutes faites.
Parfois (très rarement), le commandant en personne se déplaçait pour présider cette petite cérémonie. Sinon, c'est ma pomme qui s'y collais.
"La France a perdu une bataille
mais la France n'a pas perdu la guerre !"
Le texte, je le connaissais par cœur mais j'avais quand même le document officiel entre les mains.

C'était le même texte ... mais écrit un peu plus grand.
(lettre écrite à mes parents en 1964 quand j'étais embarqué sur le TCD Ouragan).
Mais revenons à La Régine, un 18 juin évidemment :

La cérémonie est terminée. Une p'tite photo souvenir avant de changer de tenue.
Photo très partielle, les fusiliers sont déjà partis et même au niveau SG, il en manque.

En haut à gauche, Créquis alias Craquette, chef de salle LF.
A droite, derrière le matelot décoré de la DEFNAT, Mallet, mon adjoint, chef de salle HF et président du carré OM/OMS.
Au-dessus de lui, avec décorations, Daux, adjudant de compagnie.
A gauche de Mallet, avec des Ray-Ban, Plard, notre sécuritar. Marié à une jeune et superbe Seychelloise, il quittera la Marine pour faire chef sécurité dans une brasserie aux Seychelles. Petit veinard.
Les deux miss sont Miss Caille (à gauche) et Miss Billac (à droite), toutes les deux radios.
BS mais pas encore OMS, Valérie Caille participera pourtant au tour de service d'officier de garde, fonction normalement réservée aux OMS du Service G.
Au-dessus de Miss Billac, tout sourire, Chaunier, mécanicien.
Chaunier et Créquis habitaient Revel et venaient à la station en vélo. 657 mètres d'altitude quand même.
Je suis en bas à gauche.
Entre Valérie Caille et moi, Panattoni, un appelé radec exceptionnel par ses compétences et sa motivation. Il sera rapidement promu QM2 puis QM1. Une des miss chef de quart LF étant en congé de maternité (sans remplacement), gros gros problème pour assurer le service en période de perm dans la station SOLFERINO. Exceptionnellement et avec l'accord du pacha du CTM France Sud, Panattoni sera promu chef de quart LF.

Miss Caille, second-maître, officier de garde d'un site militaire très sensible renfermant deux stations d'émission dont l'une au service des sous-marins nucléaires en plongée,
Panattoni, simple pompon rouge appelé, chef de quart d'une station d'émission LF, "un des trois piliers de la dissuasion nucléaire" (dixit ALFOST) :
il n'y a que dans la Marine Nationale que l'on pouvait avoir de telles responsabilités.
Absolument inimaginable dans l' Armée de Terre ou l' Armée de l'Air.

Après la cérémonie proprement dite et avant la photo souvenir, il y avait eu une remise de DEFNAT pour deux matelots de la station :

Les deux récipiendaires du 18 juin à La Régine
Pour la photo, celui de gauche se met au garde-à-vous.
Repos, matelot !
A noter le joyeux bord.l qui règne dans la station. Normal, il y a plein de grands travaux en cours.
Hé oui ! nous avions un camion pompiers.
Des exercices incendie à La Régine, pendant et en dehors des heures ouvrables, nous en faisions trois fois par semaine, y compris en période de perm.
Dans la Marine, on nous l'a appris depuis le BE et surtout depuis notre premier embarquement : la sécurité, du matelot au commandant, c'est l'affaire de tous.
Un jour, le gradé d'aubette a signalé un départ de feu à l'extérieur de la station.
Face à l'urgence et de notre propre initiative, nous sommes immédiatement intervenus avec ce camion et une équipe sécu avant que le feu ne se propage davantage (environnement très boisé et très sec). Le lendemain matin, nous avons eu les félicitations de la presse locale (deux journaux).
Commandant CTM très content.

Un détail vestimentaire m'interpelle :
tout le monde est en tenue de sortie avec veste ou vareuse, sauf les deux récipiendaires de la DEFNAT qui sont en tenue panachée, pantalon bleu et chemisette blanche.
Pourquoi ?
La vareuse Equipage blanche est-elle incompatible avec une remise de décoration ?

Question annexe, quel insigne de spécialité avaient les RADEC ?

L'insigne de spé des RADEC ?
Ayant eu des radec à La Régine et à Kerlouan (stations d'émission), je devrais connaitre la réponse mais j'ai oublié.
Insigne Equipage ou pas d'insigne du tout ?
En tout cas, autant que je m'en souvienne, pas d'insigne particulier.
Dans les années 60, il me semble que les instituteurs effectuant leur service militaire étaient d'office seconds maîtres ... mais sans aucun insigne de spécialité.

La Régine 1993-1995
Parmi ces quatre matelots que je décore de la DEFNAT, il y a au moins un ou deux radec de la station d'émission HF ou de la station d'émission LF. Dommage, la photo a été prise du mauvais côté.
Petite cérémonie "entre nous", sans aucune autorité extérieure, effectuée au moment de l'appel du matin.
Derrière moi, Laborde, officier de garde.
Je viens de regarder des photos de Kerlouan : il y a des matelots avec un galon mais sans insigne de spé. Des radec ?

Hello,
Je crois que l'insigne des Radecs était une sorte arobase @
mais pas certain ; et ZUE pour les appelés instituteurs second maître d'office.
Bonne soirée à tous.

Max
en 66/68 à Dakar et en 70 au BS il y avait des instits, je suis toujours en relation avec celui de Dakar, il me semble les avoir toujours vu en " Popeyes"

En 67, au CPER, nous en avions un et il était bel et bien avé la casquette... et il était bien fierrot le bougre avec ses cosinus qui se faisaient la tangente !

Merci de vous "creuser la tête" pour vous rappeler de l'insigne de spé des RADEC, j'avais un copain RADEC à Toulon, mais il portait la tenue blanche donc pas d'insigne.
Moi même, Trafi pour avoir fait une formation accélérée à LA CRAU, il me semble avoir gardé l'insigne équipage sur la tenue bleue pendant tout mon service militaire et pas de chance, les quelques photos de moi en escale ne montre jamais le coté "insigne"
désolé pas du tout dans le sujet "la Régine"

Les appelés radecs ou radios de La Régine et d'ailleurs
Comme les instituteurs des années 60, les radecs mlots/QM2/QM1 des années 90 n'avaient peut-être aucun insigne ?
Lors des inspections à La Régine ou à Kerlouan avec tenue de sortie bleue, dans les spécialités transmissions, je ne me souviens que des insignes TSF (beaucoup) et transfiliste (seulement un ou deux par station). Rien d'autre.

Dans ces mêmes années 60, les officiers radio de la marine marchande qui effectuaient leur service militaire dans la Marine Nationale étaient d'office QM1 avec l'insigne de spé TSF. Normal, contrairement aux radecs, ils savaient transmettre ou recevoir des messages en morse ti-ti-ta-ta. Seul truc à apprendre pour eux, le code Z.
Au début des années 80, j'avais affiché au Contrôle TER Lorient un article de Ouest-France sur l'équivalence des diplômes civils / militaires. A cette époque, le Brevet Supérieur radio de la Marine Nationale était officiellement reconnu comme "équivalent' au diplôme d'officier radio de 2ème classe de la marine marchande (délivré par le ministère des PTT).

J'ai vu il y a quelques jours un insigne des radecs (style équipage) Où ?? Constitué de l'arobase @ et j'ai été un peu étonné qu'il se rapproche de celui des programmeurs, mais bon...?

Etant moi-même issu de l'école des rdotélégraphistes de la mar-mar -Ecole st Joseph à pléneuf-Val-André dirigée par un curé-a-la-main-leste Cyril et comme prof d'électronique E. Chauvin, en 67 et un ancien de la mar-mar qui nous faisait les cours de morse à la main ! Je suis sorti avec le deuxième classe et pourtant, je suis resté dans la Royale....
Le cours se déroulait en deux ans, 32/35 élèves par classe, les cinq ou dix premiers pouvaient se présenter au 1ère classe, les 15 derniers au certificat spécial. On ne pouvait pas choisir, c'est le big boss qui désignait chacun -avec menace de préparer l'oral hors de l'école si refus !
Le dirlo nous faisait toute l'administration-reglementation et tout ce qui tournait autour, ainsi que l'anglais (avec Assimil entre autre, svp !). Nous avions un prof de maths, point.
Personnellement, je peux dire que j'ai eu plus de difficultés au BS radio qu'au 2ème classe -si je me souviens bien, j'ai dû effleurer les intégrales aux cours de maths, mais pas certain, je suis un peu désingégré là !.
Donc trois profs, et les cours identiques pour tous, étaient centrés sur la spécialité et l'examen in fine.
Cette école était celle qui obtenait les meilleurs résultats pour ces examens -bien meilleure que celle de "La Lune" à Paris. Maintenant tout à bien changé, j'y retourne pour la fête de l'école de temps en temps, mais les anciens se font plus rares. Depuis plusieurs années l'école prépare à des niveaux très différents et bcp plus élevés.
Pendant cette préparation, j'ai obtenu ma licence de radio amateur en F6 et j'exerce toujours, mais si à l'époque, il fallait construire sa station voire même ses antennes, une quad avec des tiges de bambou à Tahiti par ex, maintenant un chèque fait la différence, ce qui est bien dommage.
A ce propos, je suis toujours donneur d'un tas de pièces détachées et appareils fait maison. Si cela vous intéresse...
Voilç un peu en vrac mes souvenirs du jour.
Bonne soirée à tous.

Juste une petite précision :
Je dis un curé-à-la-main-leste : Bien comprendre "pour les baffes en cas de bêtises ou de mauvaises notes".
Personnellement, j'ai eu droit à cinq bouquets de phalanges parce que je n'avais pas effectué une traduction de texte angl/francais... débordé de devoirs à la maison... "T'es un cossard..."
Je l'avais tout de mm invité à visiter le Duguay-Trouin à Brest, ainsi qu'au resto quelque temps plus tard.
Cette école m'a inculqué le virus de la radio et je ne le regrette pas... comme dit ma fem, les antennes poussaient plus vite que l'herbe dans le jardin....

Erreur sur j'aime ou j'aime pas, mais comme c'est le mien...

Un dessin sur les Trans et les Radecs qui peut pointer ce que je suggérai dernièrement concernant les radecs, mais sans aucune confirmation.

Et tout à fait entre nous et la tour Eiffel, je ne suis pas certain de la parution de ce dessin sur ce tw.
Cela me semble compliqué.

Bonnes vacances à tous -ici 44° hier devant la maison !!

Ces derniers jours, toutes les chaînes de télé en ont parlé : 
errant sur une route en pleine nuit, à proximité de Revel, un ado anglais de dix-sept ans demandait de l'aide après s'être enfui de ce qui ressemble beaucoup à une secte.
Revel, c'est la banlieue de La Régine. 
Plusieurs officiers mariniers de la station y habitaient. Entre autres, Créquis, le responsable de Solférino, Chaunier, SM mécan et Henrotel, l'ancien chef de station de La Régine. C'est également à Revel que je faisais mes courses.
Cette histoire d'ado en perdition non loin de La Régine m'en rappelle une autre :

Scouts en perdition : SOS La Régine !

Ce jour-là, j'étais dans mon bureau. Le quartier maître fusilier gradé d'aubette me téléphone. Un groupe de jeunes scouts venait de se présenter devant le portail d'entrée de la station et nous demandait de l'aide. Etonnant. Deux minutes trente plus tard, j'étais à l'aubette. Une douzaine de tout jeunes adolescents erraient depuis deux ou trois jours dans la Montagne Noire, sans aucun accompagnateur adulte ou tout au moins majeur. Epuisés et stressés, ils n'avaient plus de nourriture. Leur "stage" - de survie ? - n'était pourtant pas terminé mais nombre d'entre eux étaient incapables de faire un seul kilomètre supplémentaire. D'un commun accord, ils avaient donc décidé de tout arrêter et de demander de l'aide. Sage décision.

Je les fis entrer dans la station et accompagner jusqu'à la cafétéria équipage. Le commis et les cuistots leur donnèrent à manger et leur servirent des boissons chaudes. Le plus "vieux" des gamins me donna le nom et le numéro de téléphone de LA personne responsable de ce mouvement scout très particulier. Je la contactais. Une ou deux heures plus tard, un gros 4x4 Mercedes se présentait à l'aubette. En sortait une belle dame très BCBG. Elle ne comprenait pas :
"Ils exagèrent ...  Ils n'auraient jamais dû venir chez vous".
Pour que personne ne soit au courant ?
Ou en attendant qu'il y ait un blessé ou un mort ?

Avec le recul, cette histoire me rappelle le décès de quatre jeunes scouts en 1998, partis en mer sur une petite embarcation, sans formation et sans encadrement. "Pour en faire des hommes" soi-disant. L'abbé Cottard était le responsable de ce mouvement scout catholique pur et dur, d'obédience intégriste. Le pire, c'est que trois familles sur quatre refusèrent de porter plainte contre lui.
Hé oui, ça existe !
Même parfois à deux pas de chez nous.

je me souviens bien de l'histoire de l'abbé Cottard et parfois quand je voyais des scouts marins en short dans le froid breton j'avais pitié pour eux

je commence à m'inquiéter, mon petit fils participe aussi à des stages de survit. Jusqu'à présent il s'en est bien sorti. Je vais reprendre la conversation avec lui sur ces moments de "promenages".

Par curiosité, je viens d'aller voir sur internet : l'abbé Cottard a été condamné à de la prison ferme.
Pour en revenir à La Régine, havre de paix et de réconfort pour des scouts en perdition  :
J'ai rendu compte de cette histoire au commandant du CTM France Sud. 
Par contre, je n'en ai informé ni le maire de Villemagne (notre adresse était Villemagne-par-Seissac), ni la Gendarmerie de Seissac (dont dépend la station pour sa sécurité extérieure), ni les représentants de la presse locale ... et je pense que j'ai eu tort.
Villemagne est une toute petite commune mais monsieur le maire de Villemagne était un homme politique très important. Il m'a souvent invité pour des manifestations communales.
la "belle dame très BCBG" qui s'est présentée à moi était froide et n'a manifesté aucune compassion pour ces gamins en détresse et livrés à eux-mêmes. C'est tout juste si elle ne les a pas engueulés !

Elle ne l'a pas fait devant toi, Max, mais rien dit qu'ils n'y ont pas eu droit à leur retour à leur camp de base. Dans beaucoup de cas, on ne perd rien pour attendre.

C'est également ce que je pense, Michel.