"Il était président et membre d'une chorale" .
Lors de la fête de l'école, la St Yves, les BS secrétaires nous montrent leur talent de "maîtres chanteurs".

En matière de gestion du personnel, les secrétaires obéissent au textes, aux arrêtés, décrets… Pour une candidature, on réunit les conditions ou pas, on est dans la bonne affectation ou pas (exemples pour les certificats de cyno ou parachutiste). Un dossier comprend des pièces listées par les textes. Cela ne relève pas du bon vouloir du secrétaire. Par contre si la décision finale est du ressort du commandant on peut, peut-être, s’arranger. Il faut parfois faire preuve de flexibilité. TUR2 nous parle d’autorisation de mariage qui, elle, relève du commandant d’unité. Le dossier comportait une enquête de moralité. Elle n’est pas toujours facile à obtenir (épouse étrangère ou résident à l’étranger, par exemple...). Cette attestation n’arrivant pas, le mariage prévu imminent, il m’est arrivé de passer outre (après appel tout de même au consul dans le pays ou à la gendarmerie en France pour comprendre pourquoi je ne recevais pas le "papier"). L’église, le restaurant, la mairie, la salle de bal, sont retenus, les invités attendus. Je ne peux pas laisser mon administré dans la détresse pour un bout de papier. Cette autorisation doit figurer sur l’acte de mariage (et le livret de famille), à défaut le futur marié se trouve dans l’embarras.
Les premiers-maîtres de l’ancienne école étaient durs en affaire comme j’ai pu le dire plus haut. Celui que j’ai connu en arrivant au CEP portait une fourragère personnelle à l’épaule attribuée en Indo . On ne lui marchait pas sur les pieds quel que soit le grade de l’intervenant. Sortant du cours de Chouf, j’arrive à la Bofost Brest. Le chargé du bureau miliaire était un vieux brigand de Kerlouan, un premier-maître au-dessus de 25 ans de services. Il ne se laissait pas conter non plus. Je l’ai vu renvoyer dans ses buts le capitaine de vaisseau commandant l’Ile longue sans ménagement. Maintenant, chez les secrétaires, comme dans toutes les spécialités, toutes les corporations, il y a des gentils et d’autres qui le sont moins.

Merci Roger pour ces infos comme celle ci " Cette attestation n’arrivant pas, le mariage prévu imminent, il m’est arrivé de passer outre" Quand je me suis marié une 1ere fois en avril 67 affecté à l'EMES je ne savais pas que mon dossier d'enquête de moralité arrivait sur le bureau du Secrétaire Militaire mais avec le recul c'est logique. Je dois avouer qu'à part mes affectations à la mer sur petites unités (2 AE et un BSL) je ne côtoyais pas le Bureau Miltaire laissant les spécialistes gérer ce dont pourquoi c'était leur fonction. A part les passages obligés des mouvements d'embarquement ou de débarquement dans mes autres affectations aucun contact particulier peut être conscient que dans secrétaire le préfixe est "secret" Les anciens m'avaient dit "A bord les 1er amis que tu dois te faire sont le"Commis" et le "Fourrier" allez savoir pourquoi

Felicitations Roger pour tes recits captivants et bien ecrits, bientot c'est notre anniversaire à tous les deux (19 mars) et je vais entrer dans la grande famille (sur ACB) des septuagenaires !
Je m'invites parmi vos discussions mais sur la pointe des pieds !
Je vois que vous parlez mariage,mon epouse etant d'origine italienne j'ai eu droit a une enquete de moralité donc un gendarme (pas maritime) s'est presenté.
Ma femme etant issue d'une famille nombreuse le gendarme lui demanda la date et le lieu de naissance de chacun de ses freres et soeurs.
Elle y parvint presque mais au dernier elle eut un trou de memoire.
Le gendarme bon enfant la voyant reflechir sans reponse lui proposa de mettre sa propre date de naissance (jour et mois seulement !)
Le mariage devait avoir lieu,la date etant fixée, mais une serie de deuils dans la famille nous empecha de celebrer celui-ci à la date prevue , pourtant robe de mariage, salle de restaurant,liste d'invités etc... etait prevus mais mon epouse etant enceinte en reculant la date elle aurait du se marier presque à terme et cela ne fait pas chez les calabrais.
Donc malgré la bonne volonté du gendarme le mariage n'eut lieu qu'apres la naissance de mon fils !

N'oublions pas non plus que souvent le SECRE avait la fonction de vaguemestre, à terre il partait donc avec sa sacoche marron chercher le courrier. Il m'est arrivé à plusieurs reprises d'emmener dans la voiture de service la QM1 secrétaire du 1er GPD, le feeling passait bien entre nous et à Cherbourg il lui fallait souvent faire tout le tour des bassins.

Sur Vénus, juste après l'armement, il était prévu d'embarquer un membre d'équipage avec un patronyme à consonance slave. Le gars en question attend toujours une réponse ...

Il y a le tour des bassins mais aussi des points d’eau clandestins. Je disais plus haut que j’avais permuté avec un camarade pour me retrouver à Lann Bihoué. Le bureau militaire était dirigé par un vieux maître BST "ancien modèle" (aujourd’hui, il doit bien y avoir un major). Il me dit : je vais te faire visiter la base. De flottilles en ateliers, cela nous a pris toute l’après-midi. J’étais complètement "fumé" lors du retour au bureau. Dès le premier jour je ne pouvais pas me montrer impoli, dire non aux gens, n’est-ce pas. Plus tard, les copains m’ont dit, ce jour-là nous nous sommes dit : là, on a touché un bon !
Plus haut, Joël nous montrait quelques antiquités notamment une machine à reproduction gestetner. Vous souvenez vous quand vous avez vu votre première photocopieuse. Voilà un outil qui nous paraît bien banal aujourd’hui et même dépassé (scanner). Lorsque j’étais matelot au CEP pour avoir une "photocopie" il fallait se rendre au secrétariat central, seul endroit de tout l’état-major où l’on pouvait la réaliser. C’était presque l’usine à gaz, un atelier de photographe. Il fallait introduire le document à photocopier entre deux feuilles spéciales, comme dans une chemise, introduire le "sandwich" dans la machine pour quasiment le faire "cuire". On obtenait une copie (de qualité médiocre) sur une sorte de papier cellophane rose.

J'ai dû l'avoir au Sec. du Dépôt à Toulon vers 82. C'était là aussi l'une des premières et toute la journée c'était un va-et-vient. Petit à petit, elle a remplacé l'usage de la gestetner. C'est aussi à cette époque que l'on nous a livré une machine électrique (IBM) avec une boule... Quelques stencils sont passés à la poubelle...

Et oui ! 1982, c'était encore une "curiosité". En noir et blanc bien sûr. Ma première photocopieuse couleurs, c'était fin des années 90 à l'Ile Longue (là, il y avait des sous )

Suite de mon msg 357. Compte tenu des passages très importants, le CSD (pas du tout fin celui-ci, même si là c'était une bonne idée) a décidé de mettre en place un cahier de pointage. Il a pensé que le flux important gênait le pacha qui avait son bureau en face du mien et avait l'habitude de travailler la porte ouverte. Le défilé s'est réduit.
Une petit anecdote du CSD : Il avait décidé que je devais filtrer tous ses appels (entrants et sortants). Un jour, j'appelle le MP du BM (le regretté Sportiche) pour qu'il vienne à la signature (3 parapheurs quand même). Il est arrivé à l'étage à 15h00. Le CSD l'a reçu à 17h00... Il en est ressorti bien après le dégagé.

Sur la Jeanne en 1986 c'était le début de l'informatisation des données sécurités et un de mes Q/M du bureau Prévention se servait de cet ordinateur (Disque Dur au Bureau Machine) pour sortir certaines consignes. Et la couleur, puisqu'il en est question et bien on pouvait imprimer en couleurs (ce qui ne nous servait à rien sauf a être béat devant cette nouvelle technologie). Par contre j'ai du visiter le Bureau Militaire mais sans plus je ne me rappelle même pas qui en était le Chef un PM peut être ni ou il était situé exactement.

A part l'épisode delepoulle je pense que les rapports om officiers sont moins clivant

En réponse à loulou (353) et Bebert (354) :

Ceci n'est pas militaire, mais ...

Quand mes parents voulurent se marier, ce ne fut pas possible. Ma mère était née dans un petit village où tout le monde se connaissait. L'État-Civil de ma mère indiquait qu'elle était déjà mariée ... à son père.
Allant déclarer la naissance de sa fille, son père rencontra d'abord accidentellement le maire. C'est tout naturellement qu'ils allèrent fêter cela au bistrot du coin où tous les "pochelots" passaient leur vie. Puis, plus tard, ils se rendirent à la mairie. Et le maire, éméché, s'embrouilla dans les écrits. Personne ne remarqua rien, jusqu'au moment où ma mère voulut se marier. Début du XX° siècle, pas de lourdeur administrative, sauf quand l’alcool s'en mêlait.
Un autre document, ou une rectification, et mes parents purent se marier. (je ne suis venu que 13 ans plus tard. 13, porte malheur ?)

A bord de l'Étourdi, il y avait un secrétaire militaire. Il y avait aussi un torpilleur et un détecteur. Torpédo était le vaguo, moi, le chauffeur. le secrétaire était ... le secrétaire.
A Dakar, uniquement, où nous sommes restés de longs jours, je prenais la voiture et me rendais au bureau de poste principal. Nous passions près d'une heure au soleil à siroter un pastaga (ou deux), puis allions chercher le courrier et poster les cartes postales des gars. Il y avait bien le système postal dont je ne me souviens plus de l'appellation qui faisait parvenir le courrier des gars, avec plus ou moins de réussite, pour arriver avant que nous ne soyons repartis. Dakar était le seul port où le courrier arrivait ainsi. Dans les autres pays du périple africain, ambassade, consulat ou agence, le faisait. Mais je n'avais jamais personne d'autre "à bon feeling".

Etant, avant de rentrer dans la Marine, dans la preparation d'un BEP Agent Administratif et d'un CAP d'Employé de bureau j'ai donc connu la fameuse gestener voila pour le hors sujet.
Je reviens dans le sujet, etant artilleur, mes superieurs ayant eu vent de mes antecedents scolaires et sachant taper à la machine à ecrire je fus donc designé "secetaire" du service artillerie de mon premier batiment la Galisonnières.
Bien sur ça a deçu, le mot est un peu faible,en particulier mon gradé direct, un SM2 qui devait effectuer toutes les taches ingrates à ma place etant sous la protection bienveillante de mon adjudant de compagnie le Maitre Bodilis (ancienne version avec sabre)
Je devais taper les notes internes au service et plein d'autres taches administratives.
J'ai donc connu la gestener et les stençyls, j'ai meme pratiqué une machine qui se trouvait au secretariat du commandant et dont je ne rappelle plus le nom qui marchait..à l'alcool à bruler, faut dire que j'aimais bien l'odeur donc j'y allais avec enthousiasme !
Voila pour ma sequence secretaire qui n'a pas ete reeditée sur les autres batiments que j'ai connu.

Photocopieuse ...
Pendant mon affectation au CIN St Mandrier, j'avais rédigé manuellement toute la teneur du cours que je donnais aux élèves du BS radio (texte et shémas). Ça faisait en gros un bonne soixantaine de pages que j'ai demandé à photocopier pour mon remplaçant. La division Transmissions ne disposant que d'une seule photocopieuse, je me suis pointé avec mon document, mais le major qui surveillait l'engin m'a dit que mon document était trop volumineux et que je devais ... fournir le papier !
Là, je l'ai joué "bête et discipliné" et j'ai rendu compte à mon chef qui, après un coup de téléphone un peu vif m'a dit ; "OK, vous pouvez y aller" !
Inutile de dire que le major "photocopieuse" m'a regardé de travers ...

Secrétariat sans secrétaire :
J'ai été affecté au CTM Sainte Assise en temps qu'officier en second en janvier 1995.
J'y ai trouvé une organisation un peu floue au niveau du secrétariat, mais le centre devant entrer en refonte quelque mois plus tard, j'ai attendu le redémarrage au début de 1998 pour réorganiser la fonction.

Spoiler:

Tu sais Noël que de nos jours tu aurais signé
Le Major Noël Cauquelin
Commandant en second
Ça s'arrose

Oui, mais c'était encore à l'époque des francs !

Message d'Alain Eguerre n° 363 : Ca fait bizarre de voir une coiffe bleue sur la casquette et c'était moins salissant.

C'est la qu'on voit qu'on a pris de l'âge c'est presque comme les avatars "Avant-Apres"

Noël tu aurais fait un meilleur secrétaire (de secrétariat) que moi. Pendant mes 15 premières années, je n’ai fait que du bureau militaire, une activité plus dynamique et réactive que l’on s’imagine. Je n’envisageais pas faire autre chose. Lorsque l’on montait un dossier de désertion, par exemple, il fallait trouver des photos pour joindre une à chaque exemplaire du dossier (il y avait plusieurs destinataires, gendarmerie, PPSD…). Or, le déserteur n’avait pas la courtoisie de nous laisser quelques photos avant de disparaître. Il fallait faire avec la seule qui se trouvait dans le livret matricule sans pour autant avoir le droit de s’en séparer. Comme nous avons vu plus haut, nous n’avions même pas de photocopieuse. Il fallait donc se débrouiller pour trouver quelqu’un capable de dupliquer ce cliché. Les dossiers de décès n’étaient pas non plus les plus faciles. Récupérer des PV de gendarmerie, des rapports médicaux éventuellement, n’était pas toujours aisé. Fallait jouer du téléphone, de la persuasion. Dans bien des situations, il fallait se bouger. Je plaignais mes voisins chargés d’un secrétariat central, qui, à mes yeux, ne me semblaient pas avoir un travail passionnant. Ils étaient toujours enquiquinés par le commandement parce qu’il y avait toujours un papier qu’on ne savait pas où il était. C’était évidemment toujours la faute du secrétaire. Lorsque qu’éclate la guerre du Golfe, je suis secrétaire du poste militaire au Yémen. Si peu "secrétaire" comme on a pu le voir, mais quand même un peu. Les Yéménites, prennent fait et cause pour leurs frères chiites irakiens. Les ennemis de l’Irak sont les ennemis du peuple yéménite. Le pays s’enflamme et pas seulement au figuré. L’ambassade de Grande Bretagne et celle de Turquie combattent un incendie, un missile est passé au ras du toit de celle des États-Unis, mon bureau (les vitres) est plastiqué… L’ambassadeur demande à chacun de préparer un bagage de 10 kg maximum, y comprise la réserve d’eau, paré à un départ précipité. L’aéroport est fermé, si nous devons évacuer, il faudra se rendre à Aden où la marine nous récupérera (si nous y arrivons). J’ai en souvenir l’ambassade américaine en Iran, qui, en 1979, avait été prise d’assaut, envahie, saccagée. Il est clair que si nous quittons l’ambassade c’est ce qui arrivera. J’ai pas mal de papiers, peut-être pas tous de grand intérêt, dans mes armoires mais aussi des documents secret défense dans mon coffre. Pas question que ça tombe entre des mains pas autorisées. Je prends un grand sac et je benne tout dedans, broyeur puis incinérateur. On ne va pas se laisser em...barrassé par la paperasse, n’est-ce pas ? Je garde quand même mon matériel, mes clés de chiffrement/déchiffrement de secours. En cas de chasse, je pourrais toujours les détruire sur le champ. Pour le reste, ce n’est pas le comportement d’un vrai secrétaire de secrétariat comme décrit par Noël. Bon, je suis maître principal secrétaire quand même. Je sais fort bien que je ne suis pas dans les clous, que pour détruire des documents secret défense, il y a une procédure. Mais, au diable les procédures , nous sommes dans l’urgence. Accessoirement, si d’aventure, on ne part pas, je régulariserais cela, plus tard. On sait ce que ça veut dire remettre à plus tard. De toutes façons qui viendra vérifier quoi que ce soit ici. On n’est jamais à l’abri de rien. Un jour, pas si beau que ça, arrive un colonel de Paris qui fait le tour de popotes pour voir si les consignes de sécurité sont bien appliquées dans les postes militaires. Voilà pas qu’il demande à voir mes secret défense. Heu, on ne va pas s’embêter avec ça, il fait beau, ça vous ne dirait pas plutôt que je vous emmène visiter le palais de l’ancien roi ? Nous sommes partis nous balader. Je lui ai quand même expliqué pourquoi il n’y avait rien à voir. Il l’a bien compris. Plus tard, le calme revenu, j’ai quand même rédigé mes PV de destruction, signé par moi-même et un témoin (mon patron) dans le souci de laisser une suite clean à mon remplaçant. Secrétaire un peu quand même.

Roger, tu fais référence à l'ambassade des US en 1979. Il y a un très film sur ce sujet. Il s'agit de "ARGO"

Oui Pascal. Il y avait eu prise d'otages (au Yémen nous avons eu à traiter quelques unes).
Secrétaire, un métier à risques.
La loi des séries.
Le secrétaire du Chéliff est viré, mis aux arrêts. Je le remplace au débotté.
Le secrétaire du Normand est viré, mis aux arrêts. Je le remplace au débotté.
En fin d’affectation à l’École des Fourriers, j’émets un desideratum Brest. Le gestionnaire répond qu’il n’y a aucun poste de PM à pourvoir cette année à Brest. Néanmoins tout peut arriver, accident, maladie, départ à la retraite. Alors il me laisse en stand-by jusqu’à la fin de l’été. En perm, à l’ile Tudy, je reçois une lettre d’un déménageur qui se propose d’effectuer mon déménagement sur Brest. Allo Rochefort. Oui, tu es désigné ... Brest, condoléances. ??? Tu ne connais pas le CV X, c’est le pacha en second, une figure. Non, bof, on verra bien. J’arrive à Brest. Je découvre que le PM chargé du bureau militaire n’est pas du tout en fin d’affectation. Le pacha en second vient de le virer. Ce brave homme, compétent (autant que j’ai pu en juger pendant que je prends la suite) mais peut-être un peu fragile, était terrorisé par le fameux CV (au point de faire des cries d’épilepsie quand la ligne avec le second sonnait). Célibataire, restant le soir sur la base, dépressif, prenant des médicaments, les copains, pour lui remonter le moral, lui offraient à boire. Tout ça ça ne fait pas bon ménage. Engrenage, mauvaise pente. Le CV lui a mis le couteau sur la gorge. Où il prend immédiatement sa retraite de PM ou il le traduit devant un conseil d’enquête, réduction de grade, retraite diminuée d’autant, le grand jeu… Bienvenu à Brest !

Justement avec un tel CSD est-ce que le secrétaire militaire pouvait faire valoir un avis? Cet homme certainement gros bosseur avait un puissant ego. Etait-ce toujours bien normal? Etait-ce toujours bien dans l'intérêt de la marine? "Où vais-je vous utiliser... J'arrive ici en permutant, je pensais que c'était poste pour poste... Vous pensez cela mais c'est moi qui décide... Décidez donc (ai-je pensé, car il fallait mieux se taire), j'ai attendu (le problème était sûrement complexe: EPP, BSI, Service intérieur, Sport, j'ai pensé à tout, s'il me met mécano ou cuistot, peut-être a-t-il même ce pouvoir, il ne va pas être déçu)... Je vais vous mettre où était celui avec qui vous avez permuté..." Au final du "blabla" mais comme ça tu sais qui décide, là je me suis dit "je ne suis pas à l'aube d'être cyno"...