La première fois, j’étais je ne sais plus où, mais absent.
La seconde fois, il n’y avait que 100 mètres à faire, aux Restanques du Thouars, à la Garde, je passais d’appartement en villa (enrichissement, embourgeoisement), on a tout porté à la main. Ah ! pour ça ce fut une grosse corvée. Donc pas de nœuds à faire.
La troisième fois, retour de la Garde au Pays natal après 38 ans d’absence. Il y en avait gros : un camion et sa remorque ! Et je peux te dire qu’il y en avait des cartons avec des nœuds ! Mais je n’ai pas regardé comment ils étaient faits ces fichus nœuds.
Et bien vois-tu, de ces « ficelles », pour te dire s’il y en avait, depuis 20 ans, je m’en sert pour « attacher » les tomates dans mon jardin, et il y en a encore. Donc, il va falloir que je l’étudie ce nœud.
Il m’a l’air drôlement serré
André Pilon