Bonjour PILON et bravo pour ta mémoire ou la conservation de tes archives : dans ta promo j'ai connu CADET qui était QM1 sur la FOUDRE en Indochine en 54/55.

A l'EM de l'école, j'ai connu OE1 BODIOU à l'école des tims en avril 54.

Le maître QUEVEL sur la JEANNE D'ARC en 1958/60.

Je crois que le QM instructeur WERWAERDE est devenu par la suite OE .

Merci de ton petit mot.
Je n'ai jamais rencontré par suite les quatre personnes que tu cites.

Mais je sais que Werwarerde est retraité dans les plus hauts grades ; un gars qui a gazé.


Je sais aussi que L'OE BODIOU s'est retraité dans les Alpes de Hautes Provence (05) à la BRILLANE, il est mort il y a pas mal de temps.

Je viens de caler sur le site mon arrivée à Pont-Réan le14 février 50.

Amicalement.
André Pilon

Si mes souvenirs sont bons, CADET a embarqué sur le Sénégalais, il était Q/M2 en 1953.

1°) Roger Gineslay, j'ai eu des problèmes d'installation, maintenant ça va.
Le SM dont tu me parles devait s'appeller Grotoski ?
Avec moi ça allait, celui qui était ma bête noire se trouvait à droite.
Il y avait à l'époque un SM nomé Panigot, un brave type.
L'infirmier Bihl.
J'en parlerai plus tard.

Maintenant j'essaie de passer la photo de mon cour.

Bonsoir les tim !
Pour Lunel : nous avons dû faire un petit bout de chemin ensemble à l'école puisque j'ai fait le cours du 01/08 au 01/12/1961.
D'ailleurs nos matricules sont assez rapprochants.

Bonjour Cipal 83,en quelle année le Cap Brun ?

Ton matricule est celui de 2ieme génération je suppose, le 1er devait être un T quelque chose ?
Moi, j'étais au Cap Brun du 1/2/54 au 1/8/54.
A++

Encore un essai

Dernier essai d'envoie de la photos de la promotion J Y Le Tourmelin, aprés je m'engage à la Légion.

Pour Tragin,
J'ai fait le Cap Brun du 1/4/52 au 30/9/52. pui sle Touareg et l'Indo sur le Golo.
Ayant fait de nombreuse périodes mon matricule a été modifié ainsi que ma spé, je me suis retrouvé BE bosco alors que j'étais QM tim admisible. Lorsque j'ai demandé mon permis bateau je me suis retrouvé avec une carte mer, ils n'ont tenu compte que du BE bosco que je n'ai jamais passé.
Il ne faut pas chercher à comprendre, c'est commencer à désobeir.
A bientot
Amicalement
Guy

re une

Ca y est les copains, j'ai réussi, je ne sais pas comment sinnon que je l'ai laissée à 800 picsels.
Je suis le premier en bas à gauche.
Amicalement A+
Guy

Cipal 83,
j'ai connu GROTOWSKI en 1964, il était PM chef du Pc Trans le Marine Nouméa.
C'était une type très sympa pour les jeunes QM que nous étions, il tranchait avec les autres "anciens" qui nous faisaient un peu ch... à nous raconter toutes leurs guerres et nous dire que nous étions à l'époque du "Club Med"....
Je crois me souvenir qu'après Nouméa il a été affecté à Marine Paris en 1965, depuis je n'ai plus eu aucune information le concernant.
J'en garde un excellent souvenir.

Bizutage au Cap Brun, à l’école des timoniers.

A l’école des timoniers, pendant les six mois où j’y fis mon cours de BE, le mât de la passerelle du milieu du fort, et dont je ne me rappelles pas le nom fut un beau matin bien surchargé, croulant de « signaux ». Ah ! comme l’on s’est bien amusé ce soir-là et le lendemain matin : apprentis, permanents et instructeurs (qui ne participaient pas). Une sorte de bizutage, mais somme toute bien doux.
En 1950, l’école des radios est installée à Porquerolles, elle est comme celle des timoniers, une école TER et dépend de la même autorité ; nos deux écoles ont donc des « atomes crochus » et à ceux de là-bas qui viennent de cette île à Toulon pour diverses causes, corvée ou mouvements, il leur arrive de prendre subsistance au Cap Brun.
C’est ainsi qu’un soir, nous vîmes arriver une bonne quarantaine de « bleus » venant de Pont-Rean et destinés à Porquerolles, un cour de radios tout neuf en somme, qui vinrent « directo » de la gare, en camion, manger et dormir chez nous avant de pouvoir prendre la barcasse pour leur île le lendemain matin. On se mélangea bien vite à eux et surtout pour leur apprendre à gréer leurs hamacs ; ils sortaient de Pont-Réan et avaient, comme moi, deux ou trois mois plus tôt, dormi en couchette. En effet, je fis mon apprentissage du hamac, ici même au Cap Brun. Gréer son hamac, ce n’est pas inné surtout pour les terriens qui n’ont jamais ou presque, touché un « bout ».

Il y avait alors deux cours de timoniers, les anciens qui avaient quatre mois d’avance sur le mien, qui étaient une trentaine et originaires de l’école des mousses et qui nous avaient un peu bizutés lors notre arrivée le premier juin dernier et dont j’avais été victime. En effet, un Q/M de ronde (un faux QM, réglementairement galonné, qui n’était que l’apprenti O. m’avait surpris à causer avec mon voisin de hamac au lieu de dormir) ce qui n’était pas vrai bien sûr. Et quand, une nouvelle fois deux cornichons se mirent à parler tout près de là bien entendu le QM tomba encore sur moi, me fit lever et faire deux ou trois séries de pompe (ce fut dur), tout ça dans le noir ou presque. A l’autre bout de la salle, un autre QM de mes chaussettes s’en prenait au matelot D. qu n’avait pas plus parlé que moi. Et je peux vous dire que parmi les dix-huit autres qui faisaient semblant de dormir personne ne pipait, chacun se demandant si la foudre allait tomber sur son hamac.
Assurément, dans la pénombre il y avait tout le cours qui se bidonnait ; mais on ne les voyait pas.

Pour le bizutage des bleus, futurs radios, le meneur fut le même et ce soir-là, j’étais passé dans son camp.
Une demi-heure après l’extinction des feux, une quinzaine de voleurs pénétrèrent dans leur salle et dérobèrent en quelques secondes et à grandes brassées, un maximum de pantalons, de vareuses de travail ou de bleu de draps ainsi que quelques tricots rayés, que chacun avait disposés sur des bancs tout autour de la pièce avant de grimper dans son couchage. A l’école des timoniers, les hamacs étaient crochés à des barres métalliques fixées environ à deux mètres de hauteur d’où facilité d’évolution au-dessous. La razzia fut vite faite et chacun courut dans le noir, grimpa à la passerelle centrale, pour y déployer tout ce linge.
Au huit drisses (je crois qu’il y en avait huit), fut accroché tout ce linge du haut en bas, fixé par du fil à voile. Il n’y avait jamais tant eu de pavillons de hissés pendant les exercices de flottants.

Le lendemain matin, le mistral qui s’était levé pendant la nuit, soufflait et c’était vraiment spectaculaire dans le grand soleil matinal éblouissant cette mâture surchargée de pantalons, de vareuses et de tricots rayés et non pas de pavillons de signaux. Ceux qui rentrèrent de terre (pas les élèves), dirent qu’aux alentours c’était quasiment une curiosité et un amusement pour tout le quartier ; nous savons que les mâts du Cap Brun dominaient l’environnement et étaient un repère dans le paysage.

Nos pauvres bleus, futurs radios, en riaient aussi, mais d’un rire un peu forcé. A moitié à poil, en caleçon, certains étant torses nus, il n’avaient pas chaud dans le mistral matinal de cette fin d’été (nous savons qu’il est fort ce vent au Cap Brun). Et puis cela prit beaucoup de temps on ne pouvait généralement reconnaître tout ce linge mélangé qu’aux matricules. Tout fut bientôt remis dans l’ordre et nos visiteurs purent prendre, après avoir déjeuner, leurs camions pour les conduire au bateau de Porquerolles.

Je me souviens de trois noms parmi ces élèves radios : Salaün et Lepape, à qui j’avais appris à gréer les araignées de leur « bois de lit », et Lemercier, ex matelot d’équipage comme moi, à Pont-Réan ; s’ils me lisent, cela leur rappellera quelques bons vieux souvenirs, et qu’ils me fassent donc signe.
André PILON

Bonjour Maréchal,

Effectivement, d'après les dates nous aurions fait route ensemble 1 mois. Par contre je n'ai aucun souvenir de la présence de 2 ou plusieurs promos en même temps. Un seul souvenir majeur de cette époque est d'avoir monté la garde du fort la nuit en craignant (et c'est un euphémisme ) une attaque des forces putchistes d'Algérie. Attaque qui n'a jamais eu lieu heureusement.

Bonjour CI PAL 83

Sur la photo je revois les memes instructeurs que j'avais debut 1953.
quel est le nom du SM sur la droite c'était mon instructeur (nom polonais) celui sur la gauche était très souple au niveau discipline .Te rappelles tu du SM Infirmier ,il avait été prisonnier des japs d'après ce que l'on savait il avait été pendu par les pouces des doigts de pied pendant 48 heures.Jamais nous nel'avons vu sourire.
Cordialement Roger

Excuse moi CIPAL 83
je n'avais pas lu ton message avant la mise en place de la photo de ta promotion

OK c'est bien GROTOSKI et BIHL l'infirmier

Roger Geneslay

Le SM Panigot fut éffectivement prisonnier des japs. en 1945, il fut un des rares rescapés de la compagnie de débarquement de son bateau (je ne me rappelle plus du nom mais je l'ai dans mes archives) C'était un grand sportif, c'est ce qui l'a sauve. Nous sommes partie en Indo ensemble, détachement Agnes en mai 53. Je l'ai revu au Japon, il était sur le Dumont d'Urville. Il n'était pas rancunier avec les Japonaises.
Nous nous sommes retrouvés sur le Bois Belleau il était adjudant de la Cie. Trans. Je l'avais revu une fois en gare de Toulon et depuis nous sommes toujours en contact. Il habite à coté du fort Lamalgue mais ne se déplace plus, je crois qu'il a plus de 92 ans. J'en conserve un excelent souvenir car c'est un chis type.
En ce qui concerne le SM Infirmier Bihl, l'homme à la barbe rousse, la décapotable bleue et le cocker noir. lui aussi a fait parti du détachement Agnes et le Japon sur le Dumont je crois. Je l'ai revu chez ma belle soeur à Toulon, elle attendait son infirmier etr qui je me vois arriver: Bihl, il avait quitté la marine et s'était mis à son compte. J' ai vu son nom dans les avis de décés au début de l'année.
J' ai revu dernièrement un ancien tim, Célier il a du faire son cours vers 54, il était maistrancier, lui aussi un bon collègue.

Amicalement
A+ Guy

Une chose qui ne m'a jamais trop plu dans la marine c'est bien le cross.
Il faut dire qu'au Cap Brun on était servi.
Le matin aprés un frugal petit déjeuner 5café nois ultra clair une tartine de pain et une cuillère de confiture tenue de sport avec nos espadrilles en corde, on descendait du fort jusqu'à la route, au carrefour du chemin de magaud ondescendait jusqu'à la plage de Méjean qu'on trversait dans les éboulis jusqu'à la batterie basse et remonté au fort. Soit 5 kms. Aprés les cours d en fin d'aprés midi, mème motif. Pour ma part ca devenait dur. J'ai commencai par dire au SM Bihl que j'avais mal dans les p.... consigné sanitaire. Apres il y eut un ongle incarné, exempt de chaussures. Ca ne pouvait pas durer six moix. Je cherchais une excuse.
Un matin, avec quelques copains on réussit à s'eclipser, on se cahe sous une passerrelle, Mélpomène je crois? on voit les copains partir avec le capitaine d'armes, SM canonier Boniface. On se croyait tranquilles, on s'allume une cigarette, quand soudain le bidel nous tombe dessus, Direction l'armerie, il nous remet un Lebel (1.50m), sa baïonnette (6.cm.) tout l'arnachement avec des plaque de plomb dans les cartouchières, le sac à dos rempli d'outillagge (marteu pinces clés etc...) la totale quoi. Nous avions nos godillotd cloutés modèle 1929, lui des tennis. et en route, sans arret on en pouvait plus. en arrivant au fort, on s'est débarrassé, on était trempé, on n'a mème pas eut droit à une douche, directement aux cours mais sans de punition.
Je n'étais pas guerri, je cogitais.
Un matin dés le départ je prends la dernière place et je cours à ma cadence, le chien Scott m'accompagne, une brave bête il ne voulait pas me laisser seul et moi je ne voulais pas le fatiguer. Arrivé au chemin de magaud, tout le monde m'attendait en faisant des mouvements respiratoires. Le QM1 Guillox me dit "passe devant et ne t'arrette pas" ce que je fis. C'est ainsi que j'arrivais seul avec le chien au fort. Le temps passait et les autres n'arrivaient pas. L'officier de garde ne voyant pas le reszte de la troupe me renvoya voir ce qui se passait. Je les ai trouvé en train de fouiller les éboulis de Méjean pour voir si je n'étais pas tombé. Guilloux me dit de rester à coté de lui et mon remontames au fort au pas de marche.
Personne ne me dit rien mais aprés si je n'étais pas sport je n'avais aucune remontrance. J'avais gagné.
Quand j'ai fait le 800m. à Pont Réan je le courais en3'11", à la sortie du Cap Brun je le faisais en 2'30", j'avais quand mème fais des progrès
A+
Guy

En recherchant dans mes souvenirs, il me semble queles
3 passerelles étaient:Melpomène (tout en haut)
Isis (au milieu) et Cornelia (au dessus du carré des Officiers).
J-F COCHARD 1340T56

Salut PILON
Tu ne te souviens peu etre plus de moi,j'ai embarqué
sur l'Ile d'Oléron en Juillet 61 jusqu'a Mars 62 à
ma libération . J'arrivai de campagne en Polynésie
et toi tu était S/M Météo, moi Q/M2 Tim en fin de lien.
A + etbonne retraite
J-F COCHARD 1340T56

COCHARD Jean-François
soit le bienvenu à bord

afin que les membres de l'équipage puisse te reconnaître, il serait bon de passer par le BSI faire tes mouvements d'embarquement, tu en profiterais pour nous en dire plus sur toi et ta carrière.

La porte du BSI est ICI

POUR Cochard de PILON

Si, je me souviens bien de toi, et même que tu as tenu une station de carburant à la Valette par la suite, j'habitais alors à la Garde.

il y a environ deux mois que je suis inscrit à ce site qui est intéressant

HEUREUX DE TON PETIT CLIN D OEIL

à plus


A PILON

Passage pour le bat en 79/80 sur st mandrier;
Si quelqu'un pouvez me donner des renseignements, des photos des promos
Je me souviens d'un maitre principal qui avait tourné sur le film 'le crabe tambour"
Son nom m'echappe,avez vous des souvenirs?
LAVENU
QM 2

le nom du tim est WAGNER