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Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Bill la secu a bord c'était pratiquement pour tout le monde au poste de combat et aux entraînements CES à terre. Le 3eme tiers c'était le tiers du Corps de débarquement 
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
Matelot, bailly bout de bois et ERIC THIEBAUT aiment ce message
BEBERT 49- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 54
Joel, je me renseignerai.
C'est assez marrant de voir que finalement la Marine revient en quelque sorte sur ce qui existait avant, à savoir les SecNav (ex Emsec) et les Marpo à terre, donc sédentaires (ex marins des ports).
C'est assez marrant de voir que finalement la Marine revient en quelque sorte sur ce qui existait avant, à savoir les SecNav (ex Emsec) et les Marpo à terre, donc sédentaires (ex marins des ports).
"C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases"
( Les tontons flingueurs )
Matelot, Jean-Marie41, bailly bout de bois, PAUGAM herve, ERIC THIEBAUT et JACQUES SOUVAY ou BILL aiment ce message
Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Bien vu Bebert. Effectivement sans que ce soit "médiatisé" il y a eu des loupés quand la Marine a supprimé ma spé et les Marins des ports marins pompiers la Marine s'est dit banco après tout la sécu c'est la secu on va faire une même spé avec une meme insigne de spé (le fameux casque)et on va créer les certificats Sesit (secu à terre) et Sesim (secu à bord) et puis la Marine trouvait ça trop lourd pour la gestion donc un marin pompier servira à bord comme à terre à bord il apprendra le compartimentage et à terre on apprendra entrr autre la desincarceration. Et puis comme nos têtes pensantes changent les idées changent et enfin une tête bien pensante à revu les choses et on revient au début avec diminution du personnel plus de brigade sécurité comme celle dont j'ai été le patron çipal sur le Colbert (nous étions 42 à la brigade et j'avais 3 adjoints) Maintenant à bord le PC Secu existe toujours et le patron n'est plus patron de brigade mais chef du bureau prévention beaucoup de tele surveillance notamment sur les FREMM et dispatching d'anciennes tâche de la secu vers les services Elect et Mach
Dernière édition par Joël Chandelier le Lun 11 Déc 2023 - 13:07, édité 1 fois
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
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BEBERT 49- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 54
Oui, deux spécialités (pour ne pas dire métiers) différentes, la mutualité a ses limites on le voit ici.
"C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases"
( Les tontons flingueurs )
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JACQUES SOUVAY ou BILL- QM 1
- Age : 76
Oui Joël, mais j'ai toujours fait partie de la sécu, je participais à tous les exercices et entrainements et ce sur la Casa comme sur le Duperré. A bord de la JDA je n'en ai fait partie que quand j'étais au service ravitaillement .
Bon vent.
Bon vent.
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Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Sur ta photo Bebert la tenue dite (toujours) de "Pompier lourd" est toujours la même. Seul le casque a changé 2 fois depuis pour arriver au casque F2bebert a écrit:En période de réserve sur le De Grasse dans les années 2004
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
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jacques95- QM 1
- Age : 79
À mon cours de sécu en 63 nous avons utilisé le FENZY mais aucune course en vue. Les instructeurs étaient clean, aucun problème.
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PAUGAM herve- QM 1
- Age : 80
Savez vous que , même dans la Marine , on embauche aussi des gars pour avoir des idées , et on leur donne des étoiles 
!!!
Voilà qui me rappelle un fameux sketch de notre cher Coluche
!!!Voilà qui me rappelle un fameux sketch de notre cher Coluche
Etre dur de la feuille n'empêche pas pour autant d'être mou de la branche ... et réciproquement
(Pierre Dac)
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Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Bien dit Hervé heureusement il y a quand même des étoilés qui ont de bonnes idées. En tous les cas cette reforme j'ai l'impression qu'elle a pris du retard 
Et je viens de voir sur un site de recrutement Marine Nationale ceci "Les marins-pompiers sont divisés en deux spécialités qui correspondent à l'environnement dans lequel ils évoluent : les marins-pompiers de la flotte et les marins-pompiers – sécurité navire. Les marins-pompiers de la flotte ont vocation à être affecté dans une unité de la Marine à terre. Les marins-pompier – sécurité navire quant à eux seront affectés sur des bâtiments partant en mission sur toutes les mers du monde". Je comprends mieux l'appellation Sec Nav c'est une spécification. Le Marin Pompier (car il continue à être dénommé ainsi) Sec Nav fait 2 formations la 1ère au PEM (Pôle Écoles Méditerranée) puis à l'EMPM (Ecole des Marins Pompiers de Marseille) certainement dans leur centre d’entraînement aux techniques d’incendie et de survie (CETIS) Alors que le Marin Pompier de la Flotte (celui qui sert dans les BAN ou les Cie de Marins pompiers hors Marseille, le Marin Pompier de Marseille étant un métier totalement différent avec sa formation également différente)) ne passe pas par le PEM il va direct à l'EMPM. Voilà donc toute la différence et le Bataillon des Marins Pompiers de Marseille devient le pilote des sécuritards. Ouf! j'ai enfin compris cette réforme l'insigne de spé reste la même à terre comme à la mer 
J'ai aussi découvert ça pour ceux qui prennent la spé de Marins Pompier de la Flotte ils suivent ces cours là au PEM à savoir l’école des systèmes, technologies et logistique navals (ESTLN) qui forme à la conduite des systèmes de propulsion et de production d’énergie des navires. Elle garantit également la capacité dans la lutte contre les sinistres. Le texte exact
"Avec un niveau bac, vous vous engagez en tant qu’officier marinier, pour une durée de 6ou 10 ans. Vous suivrez une formation initiale militaire et maritime à l’École de maistrance pendant 4 mois, puis intégrerez l’École des Systèmes, Technologies et Logistique Navals
(ESTLN) pour suivre une formation métier de 6 mois. Une formation complémentaire de 8 semaines à l’EMPM complétera votre cursus et fera de vous un chef d’équipe".
J'ai aussi découvert ça pour ceux qui prennent la spé de Marins Pompier de la Flotte ils suivent ces cours là au PEM à savoir l’école des systèmes, technologies et logistique navals (ESTLN) qui forme à la conduite des systèmes de propulsion et de production d’énergie des navires. Elle garantit également la capacité dans la lutte contre les sinistres. Le texte exact "Avec un niveau bac, vous vous engagez en tant qu’officier marinier, pour une durée de 6ou 10 ans. Vous suivrez une formation initiale militaire et maritime à l’École de maistrance pendant 4 mois, puis intégrerez l’École des Systèmes, Technologies et Logistique Navals
(ESTLN) pour suivre une formation métier de 6 mois. Une formation complémentaire de 8 semaines à l’EMPM complétera votre cursus et fera de vous un chef d’équipe".
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
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armorique- MAJOR
- Age : 78
Encore un changement d'appellation de spécialité; leur mission sera toujours la même.
Combien d'heures de dépenser dans ces réflexions ?
Combien d'heures de dépenser dans ces réflexions ?
Mousse sois Vaillant et Loyal
Joël Chandelier, Matelot, cuny, Jean-Marie41, PAUGAM herve, jacques95, ERIC THIEBAUT et JACQUES SOUVAY ou BILL aiment ce message
Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Oui et pour les Maistranciers (donc les futur cadre) une formation nouvelle formule de ce qu'était la formation trés poussée d'Electromécanicien de sécurité 5 mois au BAT et 9 mois au BS en comptant le cours de Technicien de Radioprotection. De nos jours formation NRBC suffit et ça: École des systèmes, technologies et logistique navals (ESTLN) qui forme à la conduite des systèmes de propulsion et de production d’énergie des navires
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
Matelot, alain EGUERRE, Jean-Marie41, bailly bout de bois, PAUGAM herve, jacques95, ERIC THIEBAUT et JACQUES SOUVAY ou BILL aiment ce message
PAUGAM herve- QM 1
- Age : 80
Niveau bac (pour traverser la Loire ) 
Etre dur de la feuille n'empêche pas pour autant d'être mou de la branche ... et réciproquement
(Pierre Dac)
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JACQUES SOUVAY ou BILL- QM 1
- Age : 76
Je croyais que la Loire se traversait à pieds, sans se mouiller les chevilles ?
bON VENT.
bON VENT.
Matelot, Jean-Marie41 et ERIC THIEBAUT aiment ce message
Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Hervé a écrit:Niveau bac (pour traverser la Loire )
pas compris mais pour rentrer à Maistrance qui se fait maintenant sur dossier CIRFA il faut avoir son bac. Peut être as tu voulu faire de l'humour avec les bacs de traversés 
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
Matelot, Jean-Marie41, bailly bout de bois, PAUGAM herve, ERIC THIEBAUT, JACQUES SOUVAY ou BILL, Jacques DUVET et QUIQUEMELLE aiment ce message
PAUGAM herve- QM 1
- Age : 80
Je voulais simplement faire , ou essayer de faire , une équivalence entre la qualité du bac actuel , par rapport à celui d'antan !
Je serais d'avis de le comparer , celui existant de nos jours ,, à notre Certificat d' Etudes Primaires , en le faisant passer à nos bacheliers , ... juste pour voir
Pour ma part , je n'ai pas le Bac , mais mon CEP , et 3 équivalences Bac !
Maintenant , allez savoir si le Bac est vraiment indispensable , sauf sur papier
Je serais d'avis de le comparer , celui existant de nos jours ,, à notre Certificat d' Etudes Primaires , en le faisant passer à nos bacheliers , ... juste pour voir
Pour ma part , je n'ai pas le Bac , mais mon CEP , et 3 équivalences Bac !
Maintenant , allez savoir si le Bac est vraiment indispensable , sauf sur papier
Etre dur de la feuille n'empêche pas pour autant d'être mou de la branche ... et réciproquement
(Pierre Dac)
Matelot, cuny, Jean-Marie41, bailly bout de bois, ERIC THIEBAUT, JACQUES SOUVAY ou BILL et Bureaumachine busset aiment ce message
Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
On s'éloigne de la secu pour entrer dans les niveaux de recrutement dans la Marine qui vont d'un niveau de 3eme (école des mousses ou ecole des matelots) jusqu'à un diplôme parfois License ou Master pour l'entrée à l'école Navale. Pas question pour moi d'entrer dans ce débat mais pour prendre la spé de securitard aujourd'hui à la sortie de Maistrance il faut y être entré avant c'est l'évidence même et les conditions d'admission c'est d'avoir le Bac quelque qui soit (Général, Pro ou Tech) c'est ainsi de nos jours. Moi je suis rentré à Maistrance sur concours avec un BEPC . Fin du hors sujet
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
Matelot, bailly bout de bois, VENDEEN69, ERIC THIEBAUT, Bureaumachine busset et QUIQUEMELLE aiment ce message
VENDEEN69- ADMINISTRATEUR
- Age : 75
Enfin, merci JoëlFin du hors sujet
''Chaque époque a ses certitudes et le présent est parfois prétentieux quand il juge le passé'' (Nicolas Beuglet)
Joël Chandelier, Matelot, Jean-Marie41, ERIC THIEBAUT, JACQUES SOUVAY ou BILL et QUIQUEMELLE aiment ce message
QUIQUEMELLE- MATELOT
- Age : 68
D'expérience, la frontière, en terme d'activité pure, entre le sécuritar et le pompier, marin ou sapeur, est très faible. Je vous propose de compléter les messages, relatifs à la spécialité de sécuritar, édités précédemment et auxquels j'adhère totalement. Il me semble intéressant de préciser quelques critères sur les différents casques et les appareils respiratoires filtrants ou isolants à circuit ouvert ou fermé. Je commence par les casques. Voici ceux que j'ai connus depuis 1974:
- celui en acier.
- celui en acier.
- Spoiler:
- Il ne nous protégeait que contre les chutes de matériaux. Pour le reste, notamment les risques liés à l'électricité, il était peu protecteur.
- celui que j'ai porté, à la même époque dans la Marine était plus efficace.
Fabriqué en bakélite, il était équipé de lunettes de protection. Il était complété par le port de la cagoule; à cette époque inconnue des sapeurs-pompiers civils. Ainsi, nous étions protégés contre les chutes de matériaux, les risques d'électrocution et ceux liés à la chaleur. De surcroit, le poids plus léger que le casque acier était un atout; notamment lors des interventions de longue durée.
A partir de 1986, notre tenue de feu a connu une avancée majeure avec l'arrivée du casque F1. D'abord décliné en matière chromée, il a été produit plus tard avec un code couleur: le rouge pour les hommes du rang, le jaune pour les sous-officiers et le blanc pour les officiers.
Ces couleurs permettent d'identifier le niveau et la fonction de chaque intervenant sur une intervention conséquente impliquant plusieurs engins. Lors de son arrivée, un chef de groupe doit pouvoir identifier rapidement chaque chef d'agrès. Ce casque nettement plus protecteur que ses prédécesseurs est construit avec une matière qui résiste aux plus fortes températures. Lors d'un feu d'appartement, lors de l'attaque par l'intérieur, le tuyau d'alimentation a éclaté; privant le porte lance d'eau. Avec le conducteur de l'engin pompe, nous avons remplacé le tuyau défaillant en quelques instants. Le porte lance est sorti du lieu incendié avec son casque déformé mais indemne. Avec l'un des autres casques, il aurait été gravement brulé. Il a été protégé également par sa cagoule devenue obligatoire et son ARI sur lequel je reviendrai plus loin. Le casque F1 est équipé de deux visières. La première, transparente sert à la protection contre les projection d'éclats de parebrise lors des désincarcérations.
La seconde, plus importante, est destinée à la protection complète du visage; notamment contre le rayonnement. Elle est dorée à l'or fin.
La protection respiratoire a toujours été une priorité. Sur la photographie suivante datée de 1986...
Nous distinguons trois équipements différents. Trois sapeurs-pompiers, dont l'auteur de ces lignes, portent le casque acier, en fin de vie opérationnelle, avec un Appareil Respiratoire Isolant à circuit ouvert de la marque Commeinhes Remco en bi bouteilles; doté d'un masque panoramique. Un sapeur-pompier s'équipe d'un ARI à circuit fermé de la marque FENZY. Lui aussi porte un casque acier. Un cinquième sapeur-pompier, vu de dos, est équipé d'un casque F1; en essai à cette époque. Il est équipé d'un ARI à circuit ouvert identique aux deux premiers décrits mais à un détail prés. Les deux premiers, dont moi-même, sont dotés de masques de type araignée. Il s'agit du mode de fixation sur la tête réalisé à l'aide de sangles en matière souple non synthétique. Nous n'avions pas encore les cagoules. Les cheveux se prenaient dedans. Le masque du collègue doté du casque F1 s'adaptait directement sur les deux ergots du casque à l'aide de deux attaches spécifiques.
Pour des raisons de sécurité, une intervention est obligatoirement réalisée en binômes.
Lors de leur équipement, à bord de l'engin de secours, les deux membres de ce binôme s'aident mutuellement. Cependant, le porteur doit s'assurer de la mise en place correcte de son masque. Avec cet équipement, il devait contrôler le bon positionnement des points d'attache au niveau des ergots. Vers la fin des années 1990, ce dispositif a évolué avec un système à filet et à "serre tête" plus sécurisant.
Ces ARI sont équipés de lignes guide; autrefois appelées lignes de vie. Elles nous aident à nous diriger dans les lieux enfumés où la visibilité est réduite à l'extrême et où le cheminement est toujours dangereux. En cas d'incident, elle aide à retrouver le sapeur-pompier en difficulté. Ils sont dotés également de détecteurs d'immobilité. Lors d'une inaction du sapeur-pompier supérieure à une temporisation, un appareil commence à émettre un léger bip sonore. Si le sapeur-pompier ne se met pas en mouvement, une alarme sonore importante s'active. Le chef d'agrès doit entreprendre le sauvetage de son collègue en difficulté. Les ARI ont tous une autonomie limitée à environ une demi heure pour les circuits ouverts et variable, en fonction du type, de deux à quatre heures pour les circuits fermés. Un sapeur-pompier est désigné pour gérer la présence des porteurs d'ARI en intervention. A cet effet, il dispose d'un tableau. Celui-ci comprend autant de points d'attaches que d'ARI en dotation dans l'engin de secours. Chaque appareil est identifié par une étiquette avec un numéro. Lors du départ de chaque porteur, il a l'obligation de noter le numéro et l'identité du porteur. A l'issue des délais évoqués, si le porteur n'est pas sorti, il averti son chef d'agrès qui prend les dispositions pour se rendre auprès du porteur impliqué et, au besoin, le secourir. A la fin des années 1980; nous avons enfin été dotés des cagoules de protection.
Depuis le début des années 2000, les agents chargés de la lutte contre l'incendie sont totalement protégés par une série d'EPI. Fabriqués, pour la partie vestimentaire, en kermel viscose, ils se répartissent sur au moins deux couches. Sans parler des sous vêtements obligatoirement en coton, nous portons en première couche une chemise et un pantalon F1 et en seconde couche une veste et un surpantalon de feu imperespirants. C'est à dire que tout en étant étanches à l'eau venant de l'extérieur, ils laissent passer la sueur.
Maintenant, j'aborde succinctement le casque F2.
Il est utilisé par les sapeurs-pompiers soit pour les opérations de sauvetage déblaiement, lors d'un effondrement d'immeuble, ou pour l'extinction des feux de végétaux. Normalement, dans ce cadre le sapeur-pompier porte sa tenue de feu complète. Cependant, lors des opérations de surveillance consécutives à l'extinction, il lui est recommandé, comme nous le voyons sur cette photographie, de l'alléger. Il nous reste à traiter certaines interventions spécifiques; celles liées aux risques chimiques ou à la radioactivité. Je précise que la radioactivité, pendant vingt ans a été ma spécialité. J'ai la qualification "RAD 2"; c'est à dire celle d'équipier de la CMIR. Dans ce cadre, j'ai été amené à utiliser des Appareils Respiratoires Filtrants.
Je précise que ces appareils ne sont pas des masques à gaz. Le manuel de radioprotection, édité en 1992 par le Ministère de l'Intérieur, nous donne la définition suivante: "L'appareil respiratoire filtrant est conçu pour protéger les voies respiratoires contre certains gaz radioactifs comme l'iode ou les poussières radioactives. Tous les gaz ne sont pas arrêtés par le filtre de charbon actif. Par exemple, le tritium (voir la table de Mendeleïev) peut pénétrer. La protection, si dans la plupart des cas est suffisante, n'est pas totale". J'ajoute que ce type d'appareil ne filtre pas le monoxyde de carbone omniprésent sur un feu. Voici la raison pour laquelle il est à proscrire dans la lutte contre l'incendie.
Le niveau de recrutement a été évoqué. Comme pour toutes les spécialités, il existe dans les activités de secours une hiérarchie avec des exécutants et des encadrants. Chacun est recruté avec ses propres prérequis. Le sapeur est sensé connaître un minimum de notions de bases comme, par exemple, en anatomie ou sur certaines règles de mathématiques ou de composition française. Les officiers, recrutés sur concours externes ou internes avec le grade de lieutenant ou de capitaine sont tenus de disposer d'un bagage qui leur permettra d'assimiler rapidement les formations qui leur sont imposées destinées à encadrer, soit au niveau de chef de groupe pour les lieutenants ou celui de chef de colonne pour les capitaines, les interventions sur lesquelles ils sont engagés. Les agents, venus de la base, qui disposent d'unités de valeurs reconnues et d'une solide expérience peuvent faire valider leurs acquis de l'expérience. Lorsque j'ai été reçu à mon concours de Major, en 2001, j'ai été intégré au groupe des lieutenants avec une validation de l'Ecole Nationale Supérieure des Officiers de Sapeurs-Pompiers. Je ne me permets surtout pas de juger les dispositions prises par la Marine ainsi que les avis des uns et des autres. Mais en terme de recrutement d'un futur cadre qu'elles missions d'encadrement lui seront-ils confiés? De quel Bac devra t-il être titulaire? Un bac scientifique ne me choque pas. Dans le cadre d'une intervention conséquente en milieu fermé, par exemple un navire, il sera amené à raisonner sur des notions tels que les volumes, la nature des risques comme les produits dangereux et leurs effets. Naturellement ses formations devront comporter une partie théorique et une autre pratique réparties sur les proportions de 40 et 60 % en appliquant un adage que j'ai appris dans mon activité que que la théorie doit être pratique et la pratique encore plus pratique.
Je conclus en écrivant que j'admire le cursus de Joël. Parti de rien, par son travail, il est arrivé à un niveau qui mérite le respect. Avec les dispositions règlementaires actuelles, par la validation des acquis de l'expérience il obtiendrait un grade équivalent chez les sapeurs-pompiers professionnels à celui de lieutenant.
Dernière édition par QUIQUEMELLE le Mer 13 Déc 2023 - 15:28, édité 2 fois (Raison : Orthographe et rajout d'une photographie d'appareil respiratoire filtrant.)
La mer, la mer, toujours recommencée...
Paul Valéry (Le cimetière marin).
Joël Chandelier, Matelot, cuny, mataf57, bailly bout de bois, PAUGAM herve, CPM73 et aiment ce message
PAUGAM herve- QM 1
- Age : 80
Très intéressant et instructif , Michel
Etre dur de la feuille n'empêche pas pour autant d'être mou de la branche ... et réciproquement
(Pierre Dac)
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Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
MichelSuperbe exposé que j'ai lu avec grande attention et intérêt. Je pense que toutes les techniques d'intervention que tu décris sont également mises en œuvres par les Marins Pompiers du Bataillon de Marseille qui est une spécialité à part entière par rapport aux Marins Pompiers Securité du Navire (les fameux SECNAV).
- Spoiler:
- Avant de préciser quelques différences à bord des bâtiments je pense que le fait d'avoir écrit qu'il fallait maintenant un Bac a été mal perçu, quiproquo du au fait que c'est pour entrer à l'Ecole de Maistrance ( à St Mandrier ) qu'il faut avoir un Bac de ce fait si quelqu'un a choisi préalablement au CIRFA (car ça passe par eux au départ) la spécialité de Marins Pompier Sécurité du Navire il fera sa 1ère formation initiale professionnelles base ou embarqué en tant que détenteur du Bac ce n'est donc pas la spé qui veut que l'individu soit bachelier mais en aval son entrée à Maistrance. J'ai relaté ou avait lieu les formations professionnelles.
Il existe quand même (toujours en passant par le CIRFA) pour les non Bac la possibilité de choisir la spécialité de Matelot de Marin pompier de la flotte sur un 1er contrat de 4 ans et avoir 17 ans et un niveau minimum de 3ème
Conditions pour postuler
Niveau 3ème: accès par la filière Matelot de la flotte (contrat initial de 4 ans renouvelable jusqu'à 9 ans)
Être de nationalité française âgé de 17 à moins de 30 ans
Être physiquement et médicalement apte et savoir nager
Avoir accompli sa Journée Défense et Citoyenneté (JDC - ex JAPD)
Être prêt à vivre au sein d'un équipage
Le parcours de recrutement
Candidature en ligne ou en CIRFA
Rencontre avec un conseiller
Entretien de motivation
Tests d’aptitude physique et psychologique ; examens médicaux
Entrée en école des matelots - A Toulon (Var), Cherbourg (Manche) ou Lorient (Morbihan)
Formation métier de 5 semaines
Première affectation
Pour les bacheliers Marin pompier Securité du Navire (qui se rapproche de mon ancienne spé d'EMSEC)
Le parcours de recrutement
Candidature en ligne ou en CIRFA et rencontre avec un conseiller pour entretien de motivation
Tests d’aptitude physique et psychologique ; examens médicaux et tests d’anglais
Intégration à l'École de maistrance pour 4 mois à Saint-Mandrier (Var)
Formation métier : de 6 à 10 mois
Première affectation
Voilà donc la discussion sur, être bachelier ou pas, pour faire Marin Pompier de la Flotte
En ce qui concerne quelques différences entre les propos de Michel Sapeur Pompier et la Sécurité à bord des navires de la Marine Nationale. Aprés la déconvenue de l'ARI (Appareil respiratoire isolant) Fenzy ORM 55 à débit constant et circuit fermée régénérateur d'Oxygène et autonomie de ce fait assurée de 01h00, il fallait trouver un ARI qui permettent de respirer avec débit à la demande, avec des bouteilles cette fois ci d'air comprimé et donc rechargeable à bord (fini le casse tête des Mtre chargé sécu partant en campagne et ne pouvant s'approvisionner en bouteilles d'oxygéne surtout en cas d'incendie en mer) mais avec une autonomie relativement intéressante, je ne vais pas rentrer dans les calculs de pression, volume, débit sachant qu'en plein effort on réclame beaucoup plus d'air qu'au repos (en effort intense jusqu'a 60l/mn). Bref il fallait un appareil de faible encombrement pour le passage des trous d’hommes et les endroits exigus des bâtiments de la flottes le Triplair (car 3 blles d'un litre d'air comprimée à 300 bars) a été choisi j'étais affecté à EMM/MAT/ST à cette époque en relation avec la CEPSECU de Toulon et éventuellement de l'Ecole Sécurité de Querqueville. Cet appareil de catégorie "isolant" pourra être utilisé en cas de retombées radioactives à l'extérieur. Michel parle d'un masque Filtrant à cartouche cela existe à bord mais sera utilisé non pas forcement en risque contamination nucléaire sauf cartouche spéciale NRBC mais contamination chimique dans l'air. Un autre appareil a été conçu pour le personnel travaillant dans les fonds du navire pour pouvoir évacuer dans la fumée c'est le Biocel (ou MSA) un appareil respiratoire isolant,producteur d’oxygène, à circuit fermé. Il permet en cas de sinistre, la traversée ou l’attente de secours dans des zones à atmosphère irrespirable. En aucun cas,ces appareils ne doivent être utilisés pour une intervention. L’autonomie de l’appareil dépend de l’ef-fort fourni par le porteur et de son flux respiratoire
Pour les cartouches de protection chimique ou bactériologique je ne suis pas assez calè pour donner ce qui existe ou pas à bord mais les BAT Marins pompiers reçoivent des notions et les BS une formation trés complète sur ce sujet précis alors que de mon temps le chimique et le bactériologique était "survolé" par contre le Nucléaire au BS EMSEC était vu pendant 3 mois (cours de radioprotection programme INSTN Saclay (Institut National de sécurité nucléaire) avec délivrance.....ou pas d'un diplôme spécifique), personnellement je n'ai pas eu besoin de cette formation lors de mon BS EMSEC 68/69 j'avais déjà fait le 1er cours INSTN (avec un diplôme à la clé, à l'EMES en 1965)
Dernier point différent Sapeur pompier et à bord la couleur des casques. A bord un seul type de casque et pour la reconnaissance des différents rôles le port d'un brassard sauf quand on est équipé ainsi (là il l'est partiellement)
Encore merci à tous les lecteurs intéressé par la sécurité à bord hélas il me manque encore des précisions sur la sécurité de nos jours
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
Matelot, mataf57, ERIC THIEBAUT, Christian Suné, JACQUES SOUVAY ou BILL, JJMM et QUIQUEMELLE aiment ce message
QUIQUEMELLE- MATELOT
- Age : 68
J'apporte une précision. Chez les sapeurs-pompiers civils, "l'intervention sur feux de navires est devenue une spécialité". Les Marins-Pompiers de Marseille sont les référents en la matière. Des sapeurs-pompiers du Calvados et des Yvelines y ont été formés. J'ai connu les premiers titulaires formés en la matière. C'était dans les Yvelines. Certains en tiraient un certain orgueil: "j'ai été formé chez les marins-pompiers". A cette époque, je ne parlais pas de mon passé dans la Marine; notamment chez les marins-pompiers. Alors ces propos me faisaient sourire. Dernièrement certains ont découvert, au fil de conversations, ce passé. Ils m'ont dit: "Tu as été Marin-Pompier???" A Marseille???" "Non! A Rochefort sur Mer"...
La mer, la mer, toujours recommencée...
Paul Valéry (Le cimetière marin).
Joël Chandelier, cuny, mataf57, Jean-Marie41, ERIC THIEBAUT, Christian Suné, JACQUES SOUVAY ou BILL et JJMM aiment ce message
BEBERT 49- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 54
Je rebondis rapidement (car pas réservé qu'aux sécuritars) sur le "masque à gaz" en voyant la photo de Michel, tenue NRBC, lors de l'exercice "Typhon" qui s'est déroulé il y a deux semaine à Toulon, j'ai aperçu des marins ayant capelé des appareil respiratoire contre ces substances, plus rien à voir avec le M51 que nous avions encore dans les années 90.
Sur le Triomphant nous en avions des caisses venant de la pyro.
A la DP nous en avions un d'attribué, mais enfermé dans une armoire sous clé, quand aux cartouches...jamais vu.
Et donc pour en revenir à Typhon, les gars avaient des masques à visière panoramique de couleur noir. Là aussi il y a de l'innovation, heureusement.
Lors des multiples transferts de matières radioactives (SNA et PA) auquel j'ai participé, en charge de la sureté, notamment une fois que la zone est blanchie, binômé avec les gendarmes maritimes, avant de voir arriver les gendarmes du nucléaire qui escorte le convoi de Cadarache à la base, étant aux premières loges, pas loin de la piscine et du chargement, j'ai pu observer les marins en charge du contrôle et des mesures, équipés de combinaisons verte particulaire (fermant en diagonale et certainement en matière spéciale épaisse) et bien sur d'appareils de mesures. Quelle spécialité ont ils ? Je sais que leurs quartiers sont en face des marins pompiers.
Sur le Triomphant nous en avions des caisses venant de la pyro.
A la DP nous en avions un d'attribué, mais enfermé dans une armoire sous clé, quand aux cartouches...jamais vu.
Et donc pour en revenir à Typhon, les gars avaient des masques à visière panoramique de couleur noir. Là aussi il y a de l'innovation, heureusement.
Lors des multiples transferts de matières radioactives (SNA et PA) auquel j'ai participé, en charge de la sureté, notamment une fois que la zone est blanchie, binômé avec les gendarmes maritimes, avant de voir arriver les gendarmes du nucléaire qui escorte le convoi de Cadarache à la base, étant aux premières loges, pas loin de la piscine et du chargement, j'ai pu observer les marins en charge du contrôle et des mesures, équipés de combinaisons verte particulaire (fermant en diagonale et certainement en matière spéciale épaisse) et bien sur d'appareils de mesures. Quelle spécialité ont ils ? Je sais que leurs quartiers sont en face des marins pompiers.
"C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases"
( Les tontons flingueurs )
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Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Je ne connais pas la base des SNA à Toulon mais je presume qu'elle est dotée d'un SSR (Service de Surveillance Radiologique) comme c'est sûrement le cas à l'île Longue. Le personnel qui "arme" ces SSR sont des personnels hors spé ayant une qualification soit d'Atomicien soit de Radioprotectionistes.
Je connais le SSR pour y avoir été affecté au bassin du Homet en 1969 à la 1ere SSR créée lors des essais du 1er SNLE le Redoutable. Je ne vais pas rentré dans mon rôle et mon équipement a l'époque mais c'est sur Bebert que de nos jours la protection individuelle est très sophistiquée pour chargement ou déchargement de combustible ou de vidange des eaux primaires ou secondaires. On est loin du masque ANP 51
Je connais le SSR pour y avoir été affecté au bassin du Homet en 1969 à la 1ere SSR créée lors des essais du 1er SNLE le Redoutable. Je ne vais pas rentré dans mon rôle et mon équipement a l'époque mais c'est sur Bebert que de nos jours la protection individuelle est très sophistiquée pour chargement ou déchargement de combustible ou de vidange des eaux primaires ou secondaires. On est loin du masque ANP 51
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
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cuny- MAJOR
- Age : 76
Pour Bebert 49 : le masque que tu nous montre est le masque ANP 51
Lors des experimentations Nucléaires au pacifique , chaque homme en était doté .
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Joël Chandelier- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
Salut Major
Et oui cette fameuse combinaison anti poussières que le personnel appelait tenue SMSR. Cette tenue ne servait strictement à rien sauf à vider les stocks de Regane et Im aguel des essais du Sahara (j'y étais en février 1965) ou tout simplement à montrer qu'on était au Centre d'expérimentation du Pacifique (la fameuse photo du Général De Gaule avec son ministre Peyrfite (orthographe non vérifié) à la passerelle du De Grasse le 2 juillet 1966 (j'étais déjà affecté au CEP a cette epoque) Si retombées il devait y avoir c'était personne dehors, quand a l'effet de souffle ou l'effet thermique ou l'irradiation gamma suffisait comme c'était le cas d'être au moins à 10 nautiques pour ne rien risquer. Quand au port du masque ANP 51 je ne ferai pas de commentaires car pour moi en matière de protection maximale seul un ARI en atmosphère extérieure était le meilleur moyen de protection respiratoire et une bonne tenue étanche Opanol. Oui quelle grosse erreur d'avoir fait croire aux bienfaits de cette combinaison dite "SMSR". J'ai fait quelques conférences d'information à Muru en 71 et 72 pour des volontaires désignés d'office à eux au moins j'ai pu expliqué ce qu'était les dangers d'une explosion nucléaire et la manière de s'en protéger à bord (irradiation externe, contamination externe et le danger au plus fort la contamination interne). Ça aussi c'était mon boulot de securitard je ne suis donc pas hors sujet
Et oui cette fameuse combinaison anti poussières que le personnel appelait tenue SMSR. Cette tenue ne servait strictement à rien sauf à vider les stocks de Regane et Im aguel des essais du Sahara (j'y étais en février 1965) ou tout simplement à montrer qu'on était au Centre d'expérimentation du Pacifique (la fameuse photo du Général De Gaule avec son ministre Peyrfite (orthographe non vérifié) à la passerelle du De Grasse le 2 juillet 1966 (j'étais déjà affecté au CEP a cette epoque) Si retombées il devait y avoir c'était personne dehors, quand a l'effet de souffle ou l'effet thermique ou l'irradiation gamma suffisait comme c'était le cas d'être au moins à 10 nautiques pour ne rien risquer. Quand au port du masque ANP 51 je ne ferai pas de commentaires car pour moi en matière de protection maximale seul un ARI en atmosphère extérieure était le meilleur moyen de protection respiratoire et une bonne tenue étanche Opanol. Oui quelle grosse erreur d'avoir fait croire aux bienfaits de cette combinaison dite "SMSR". J'ai fait quelques conférences d'information à Muru en 71 et 72 pour des volontaires désignés d'office à eux au moins j'ai pu expliqué ce qu'était les dangers d'une explosion nucléaire et la manière de s'en protéger à bord (irradiation externe, contamination externe et le danger au plus fort la contamination interne). Ça aussi c'était mon boulot de securitard je ne suis donc pas hors sujet
Dernière édition par Joël Chandelier le Jeu 14 Déc 2023 - 8:54, édité 3 fois
La "langue" est la meilleure et la pire des choses. [Ésope]
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