bonjour a tous les anciens
pour pierre André
je suis partant pour faire un rassemblement des anciens de diego et de joffreville etc
sur Brest !! ou ailleurs
idée a creuser
je pense que beaucoup reconnaitront la cascade ? pas très loin de joffreville prise en 1975 par moi même
cordialement
Yvon B

et pour changer un peu
une photo de 1975 A DIEGO
que sont elle devenue ?

A Yvon



Que sont-elles devenues?????????? Hé bien probablement d'honorables mamies, souhaitons le.

A moins qu'elles n'aient quitté cette terre car l'espérance de vie dans la grande île n'est pas la nôtre.

Bonnes nouvelles en cascade



Une bonne nouvelle pour Yvon, la grande cascade est toujours au même endroit.

Intarrissable.

Comme le sujet Diégo.

Alain

quand tu es passé cela s'appeller la Farandole , il y avait de trés bonne glace . L'ancien patron vazaha est rentré en France .

Daniel

merci jean leon que la cascade est bien toujours a sa place
encore une histoire d eau !!
tu as parfaitement raison l espérance de vie a mada doit frôler les cinquante ans !!
du a une mortalité infantile très élevé (paludisme )et autres
la situation s arrange un peu mais il reste énormément a faire
petite photos cette fois de morondava ville sympa et touristique
l allée des baobab site classe je crois !!
amicalement
yvon
photo Busserolles yvon 2006

Bonjour à tous,

1 - Quand la Marine Nationale française était à Diégo, l'état major était en contact permanent avec Météo France. Durant la saison chaude, et tout particulièrement du 15 décembre au 15 avril, des dispositions particulières étaient prises pour réduire les dégats en cas de cyclone. La position des cyclones, la direction et la vitesse de leur déplacement, étaient suivis attentivement. L'état major déterminait des phases:

- La phase trois, correspondait pratiquement à toute la période de la saison chaude, c'est à dire que nous étions à plus de 24 heures de l'arrivée du cyclone. Durant toute la saison chaude, les bâtiments échoués dans le bassin de radoub, devaient pouvoir flotter en moins de 24 heures. Nous ne pouvions pas entreprendre des travaux de coque de grande ampleur.

- Phase deux: Le cyclone était à moins de 250 milles nautiques de Diégo. Les instructions étaient d'obturer toutes les ouvertures de coque pour pouvoir mettre le bassin en eau, et faire flotter les navires échoués, le moment voulu. Deux fois par jour le point de la situation était fait au chantier.

- phase un: Nous mettions le bassin en eau, nous sortions le bateau porte, nous faisions rentrer le maximun de bateaux et embarcations de toutes sortes dans le bassin, et nous remmettions le bateau porte en place. Après cela nous faisions descendre le niveau d'eau au maximum sans échouer les bateaux. Après avoir arrimé, tous les matériels, et en particulier, les grues, fermé toutes les portes et ouvertures des bureaux et ateliers, tous les personnels étaient invités à rentrer chez eux. Une équipe d'intervention était de permanance dans le bureau du chef de chantier transformé en poste central de sécurité.

2 - Après 1975, ni la SECREN, ni l'état major de la Marine Malagasy, n'avait d'information sur la situation des cyclones. Aucune précaution sérieuse ne pouvait être prise.

Je vais vous conter sommairement ce qui s'était passé un dimanche matin de janvier 1981.

Toute la nuit précédente, nous avions entendu le vent souffler intensément. Au levé du jour, le calme étant revenu. Innocemment j'avais entrepris d'aller en voiture chercher le pain à la boulangerie de la rue Colbert. En fait, la ville de Diégo-Suarez était dans l'oeil d'un cyclone et personne le savait. Au moment de sortir de la boulangerie, et le vent avait repris avec une intensité extraordinaire, après avoir changé de direction, il venait de la rade. Je tentais de rentrer rapidement chez moi pour rejoindre ma famille, par la rue Lafayette et la rue Lavigerie. Arrivé, près de chez Alice, il était impossible de passer. La rue était bloquée par des arbres tombés en travers de la chaussée. La rue de la source était encombrée de la même manière. J'avais donc décidé de revenir place Foch, pour me diriger Bd de Sakaramy. Tout le boulevard était emcombré d'arbres tombés et de branches cassées. Par le bd Etienne, j'avais réussi à atteindre le bd Militaire au niveau du cercle mixte. Heureusement, les arbres qui bordent ce boulevard militaire sont des flamboyants qui avaient bien résistés. Il n'y avait aucun arbre déraciné, mais seulement des branches cassées sur la chaussée. En contournant les obstacles, de gauche à droite, et en déplaçant d'autres branches, au bout d'une heure, j'avais enfin réussi à atteindre mon domicile où j'ai retrouvé ma famille complètement paniquée par les bruits effrayant provoqués par le vent et les arbres qui étaient tombés autour de la maison.

Ci joint trois photos prises à mon domicile, en bordure de la rue Lavigerie, lorsque le calme était revenu.







3 - Après m'être restauré, je m'étais rendu dans l'arsenal, à la SECREN et sur les quais de la base navale. Compte tenu de la direction des vents, il n'y avait pas trop de dégats à la SECREN, dont les installations sont abritées dans la baie des amis. Dans la darse du port militaire, les grosses unités n'avaient pas eu de dégat, mais toutes les embarcations de la DP avaient coulées, et une grue routière montée sur un ras de 20 par 5, était au fond de l'eau.

Dès le lendemain, la SECREN avait entrepris de remettre en état la grue flottante que la Marine Française avait déclassée en 1975, et qu'elle avait laissé sur place. Après avoir obturé environ 10% des tubes de la chaudière qui étaient percés, nous avons pu la remettre en service (détimbrée), et l'utiliser pour sortir les matériels de l'eau.



4 - Ce cyclone a été finalement sans conséquence pour moi, car heurement que ma voiture n'était pas restée sous son abri, car celui ci avait été sinistré par un arbre tombé sur le toit. J'ai souhaité vous conter cet évènement pour montrer que les habitants de ce beau pays sont très vulnérables.

5 - Après cet évènement, j'ai mieux compris pourquoi, le Directeur Général de la SECREN, avait décidé de faire couper tous les arbres qui se trouvaient dans la propriété de la Glacière qu'occupait précédemment le Directeur de la DCAN. Il nous avait dit que la tradition africaine veut qu'en brousse le village est toujours implanté dans une clairière, à une distance suffisante des arbres pour qu'ils ne tombent pas sur les cazha. Ce n'est pas l'habitude des européens.
6 - En ce qui concerne l'ex Hôtel Marine, ce n'est pas ce cyclone qui a emporté le toit, mais un autre encore plus violent en 1984 (ou 1985). J'ai la conviction que si le toit de ce bel immeuble, qui avait subi d'autres cyclones sans dommage, est parti, c'est parce qu'un volet et fenêtre n'étaient pas bien fermés, et que le vent s'est engouffré pour soulever le toit et sa charpente. Nous ne le saurons jamais.

Alain

Bonsoir à tous,

Cette fois ci c'est mon tour après jean Léon , Michel501,claude Minery et les autres !!!!
Samedi matin se serai à Nossi bé et lundi j'aurai le plaisir de boire un verre avec Daniel
Bigot à l'endroit de son choix à Diégo. Merci à lui pour ses conseils, réservations et renseignements
concernant son territoire.
On peux considérer qu'il est le consul d'ACB dans le nordmada !
une photo retrouvée qui dira peut être quelque chose au matelot d'honneur Dusek ?
Patrick Gillet pharmacien de la rue Colbert avec un capitaine du 3ème REI en 1972

A Alain Eguerre



Super

Nous attendrons les photos avec curiosité

Et si tu passes courant décembre par Tana, j'y serais

Bonsoir Alain Eguerre,
Juste une petite remarque, tu as mis la photo est à l'envers (voir le brevet para, les décorations et les fourragères) !

Merci a Jean Claude Baud qui m'a gentiment remis à l'endroit la photo. ,Comme me l'a conseillé
Jean Léon il faudra que j'installe Paint mais à mon retour fin janvier !
Véloma

Bonjour à tous

Grace à notre consul ACB Daniel Bigot voici deux photos de la belle Frégate Floréal arrivant à Diégo

Spoiler:

bonjour la royale

je connais le cne mais pas moyen de mettre un nom je sais que c'est un officier sorti de rang ancien s/off car il a la M/M il faut que je fasse travaillé me neurones amitié légion charles

Bonjour,

D’après les journaux malgaches il semblerait que la réception fut bonne.

Amicalement.

Marc

affirmatif trés bonne ambiance avec ceux de la Floréal , il y a même eu un strip tease le samedi soir au Nouvel Hôtel , les Pichonettes étaient déchainées

A+ Daniel

Le Floréal en rade !



Merci à Daniel et Gérard de faire équipe pour la réalisation et mise en place des images du Floréal .

Je trouve qu'un bateau gris à quand même de la gueule et que ça manquait beaucoup à Diégo !

DANIEL,on pense a toi pour des photos!

merci Daniel pour ses 1eres photos, nous espérons bien sur que d'autres suivront, je sais nous sommes exigeants mais tu nous comprend aussi je pense :

Fait nous profiter Daniel!

bonjour à tous et toutes,

je n'ais pas trop de temps pour participer au forum, mais je jette toujours un petit coup d'oeil

je vous signale le prochain "faut pas rêver" de france 3 vendredi 25/11 à 20 h 35 consacré à Madagascar



bonne journée, bonne santé

bonnet patrick

A Patrick



Mais si, justement, il faut rêver

C'est bien pour cela que je m'envole en fin de mois pour la Grande Ile

Cap Diégo village - Avant - Après



A vous de noter les différences à un siècle de distance !





Editions DR "P. Ghigiasso" - Cap Diégo-Suarez village.



Photo (c) JP Lecouvey - Cap Diégo - Le village - 1er juin 2006.

a jean leon
pour moi très peu de différence de paysage
mis a part ces plots ou pieu au bord
pour sécher les poissons?
préparation dune épreuve de koh lanta ??
blague mis a part l a cpa si c est la cas est superbe !!
et ta photo de 2006 aussi !!
amicalement yvon B