Le PLUTON , batiment soutien plongeurs démineurs en escale à Nice le 14 juillet 2010

Spoiler:

De bien belles photos.

INDICATIF INTERNATIONAL DU PLUTON F.Y.C.N.

Spoiler:

UN GRAND MERCI A L'OFFICIER EN SECOND, CDT PAR INTERIM ,DE M'AVOIR PERMIS DE PASSER CETTE APRES-MIDI A BORD
UN GRAND MERCI A TOUT LES MEMBRES DE L'EQUIPAGE , EN PARTICULIER LE CHEQA , LE "BEBE"CHEQA ,LE CAPITAINE D'ARMES,LE CHEF MACHINE
POUR LEUR ACCUEIL , LEUR DISPONIBILITE ET LEUR GENTILLESSE !
A TRES BIENTOT SUR LE CANAL 16

Edité par Franjacq

Merci de ne pas écrire en majuscule, sur un forum c'est égal à HURLER

Beau reportage, merci

Ne serait-ce pas les plaques "HONNEUR" "PATRIE" qui sont plage avant NORMALEMENT ?

Petite visite à bord , guidée par le Chef Maille.

Artice de Nice-Matin par le site Maville.com






L'Orion et Le Pluton, deux navires de la Marine nationale, ont neutralisé six engins explosifs dans les eaux roquebrunoises. Cinq autres le seront début 2011.


Deux navires militaires croisaient hier matin dans la baie de Menton.

Les deux bâtiments de la Marine nationale étaient en mission afin de « pacifier » les eaux mentonnaises.

Leur mission ? Faire « pétarader », selon l'expression consacrée de l'état-major, des mines datant de la dernière guerre mondiale !

« C'est un soulagement, s'est exprimé Émile Serrano, responsable de la police municipale de Roquebrune-Cap-Martin. Rétrospectivement, d'avoir eu cette épée de Damoclès sur la tête durant toutes ces années, ça fait froid dans le dos. N'importe quel plongeur inconscient aurait pu faire exploser ces engins. »

A circonstance exceptionnelle, mesures d'urgence : les municipalités roquebrunoise et mentonnaise ont pris un arrêté interdisant la baignade et les activités nautiques dans la bande des 300 mètres. Et L'Orion et Le Pluton, les deux bâtiments de la Marine dépêchés sur place, ont bouclé le périmètre.

Le chasseur de mines et le bâtiment-base de plongeurs démineurs, qui traîne derrière lui de nombreux semi-rigides, avaient quitté leur port d'attache de Toulon afin de neutraliser ces explosifs et écarter tout danger.

Encore cinq mines à « traiter »

En réalité, cela fait déjà plusieurs années qu'une légende locale de la plongée, Claude Verger (l'homme qui a mis à jour la plupart des sites du secteur), avait repéré des mines. L'une d'entre elles avait d'ailleurs été neutralisée en 2003.

En juillet dernier, nouvelle alerte donnée par le club Télémaque plongée de Roquebrune, qui avait découvert un engin lors d'une descente dans les eaux de Cabbé.

Le navire Le Capricorne, spécialement affrété sur place, l'avait sorti et entrepris des recherches plus approfondies. Cette opération montée par la préfecture maritime afin de sonder les fonds avait permis de trouver plusieurs autres engins explosifs.

C'est pour « nettoyer » ces eaux que L'Orion et Le Pluton sont arrivés en baie de Menton les 15 et 16 novembre. En deux jours, onze mines ont été détectées grâce aux radars des bâtiments. Ces explosifs étaient situés entre 35 et 100 m de profondeur.

Dans le plus grand secret, les opérations ont débuté la semaine passée. Quatre mines ont été traitées et deux autres hier. Soit les six mines jugées les plus dangereuses, puisque situées à de faibles profondeurs, donc accessibles aux plongeurs lambda.

Quel procédé ont employé les militaires ? L'Orion et Le Pluton ont tracté les engins au large - environ 3 à 4 milles - et les ont fait « pétarader » à de grandes profondeurs.

Après analyse, il a été démontré que ce matériel était de conception italienne et datait de la Seconde Guerre mondiale.

Plusieurs interrogations restent en suspens. En premier lieu, les spécialistes ont du mal à trouver une explication à ce nombre, très important, de mines qui dérivent au gré des courants. Une seule semble plausible : il s'agirait d'un véritable « champ » oublié ! Mais, chose étrange, ces engins ne sont en effet référencés sur aucun registre.

Autre souci, et non des moindres, il n'y a aucune raison pour que ces mines dérivantes s'arrêtent à la frontière entre Roquebrune et Menton.

Des recherches ont débuté hier près des côtes de la cité des citrons. De nombreux passants, tout d'abord étonnés, en ont profité pour saisir l'instant. Rare. Elles devraient se poursuivre ce matin.

Avant que la Marine nationale ne fasse revenir des navires en début d'année prochaine : il restera alors cinq mines à « pétarader » !
J.-f. Malatesta nicematin

Super article .. sur les engins de guerre de la dernière .
Un stockage de ce type d'engins dans un même lieu, n'est pas
anodin....Nous les,... un peu plus anciens de la plonge, avons eu a nos époques
les mêmes reflections...Mais aprés recherches, longues souvent,il est venu a
nos oreilles et a celles des autorités...que les pécheurs .;souvent em......dés
par la découverte de ces engins, préferaient les stocker dans des coins tranquilous
plutôt que de faire une déclarartion de découverte..

Nous avons eu la mauvaise surprise ,lors d'un exercice en baie de la CIOTAT (c'est vieux) 1967 par là
de ne pas retrouver nos propres mines ED.20 et ED.21 larqués par nos sous-marins deux jours avant.
Ce n'est qu'aprés avoir installé le théodolite sur la digue du phare du port de commerce..que le plongeur
chargé de la recherche voulant satisfaire un besoin naturel.... a découvert dans les 3mtres d'eau du port
nos belles mines peintes d'un beau jaune.....Là il s'agissait de pouvoir récuperer un peu de pognon,par les pêcheurs
pour la déstruction de leurs engins de pêche......

Petite précision :
c'est, bien sur, le chasseur de mines ORION sur la photo de l'article de Nice-Matin
remonter aux messages précedents pour le PLUTON (photos perso dans les messages 2 et 4 du 14 juillet dernier)
Sincères salutations

Le Pluton sur dock flottant aux chantiers de Fosselev à La Seyne sur Mer (photos du 18/05/2011)

Bonjour à tous,

Le "PLUTON" à quai à Toulon, ce Vendredi 11 Novembre 2011 à 11H11 Alpha, vu du "VN REBEL", navire plastron au profit de la Marine Nationale, sur lequel je suis embarqué comme Lieutenant depuis Avril 2011:

Sémaphoriquement vôtre,

@ + Sardinaux

Ré-activé

Bonjour,
J'ai passer 3 années sur ce bateau. Dès son armement. Je crois que c'était le 1er de la série et on a eu beaucoup de problèmes de conception dont certains assez rigolos. Genre : essais en mer, on se rend compte que les répétiteurs de gyro sur les pass. sont plus bas que le plat-bord et les alidades visent... la tôle.
Pour mouiller, l'ancre ne voulait jamais tomber etc...
Mais un bon bateau, j'y ai passer de bons moments.

Le Pluton à quai à Toulon récemment :

Le Pluton à couple de l' Archeron, à quai devant le GPD ( proche de l' épi des avisos ) :

Toujours aussi efficaces les GPD, j'ai eu l'honneur de travailler avec ceux du 2me quand j'étais embarqué sur le Pétunia!

Le Pluton (M622) est un bâtiment-base de plongeurs démineurs (BBPD) 23 juin 2023