par Il m’est revenu aux oreilles que certains qui fréquentent « masqués » notre forum, me faisaient reproche d’avoir évoqué la participation de quelques-uns de nos anciens dans les services secrets. Tout d’abord ces copains sont « retirés des affaires » depuis de nombreuses années, sinon il n’aurait pas été question d’en parler ici ou ailleurs.
Lorsque dans certains médias aujourd’hui on peut lire les « pleurnicheries » de gens qui ont voulu être fusilier marin, ou même commando, et qui se plaignent des « traitements inadmissibles » qu’ils auraient subi de la part de leurs supérieurs, il faut se poser quelques questions. Tout d’abord soyons tous conscients que lorsqu’on a choisi d’appartenir à ces unités d’élite, il faut s’attendre à subir un entraînement qui doit aider à supporter les pires conditions qu’il soit possible de rencontrer si on doit un jour combattre un ennemi impitoyable, qui ne fera pas de sentiments. Il est donc bon de rappeler que nous avons de glorieux anciens qui ont combattu avec abnégation pour notre Patrie et qui en ont souvent gardé de profondes traces morales et physiques ; ce sont des exemples qu’il faut citer. Lorsqu’il est fait appel à eux pour des missions particulières, c’est qu’on a jugé dans certains « cercles » qu’ils en avaient les capacités. Les décorations prestigieuses qu’ils arborent à la suite de leur comportement au combat ont autrement plus de valeur que celles obtenues à la suite de périodes de réserve et qui souvent ont été «quémandées».
Voilà pourquoi j’ai voulu vous les faire connaître.
Lorsque dans certains médias aujourd’hui on peut lire les « pleurnicheries » de gens qui ont voulu être fusilier marin, ou même commando, et qui se plaignent des « traitements inadmissibles » qu’ils auraient subi de la part de leurs supérieurs, il faut se poser quelques questions. Tout d’abord soyons tous conscients que lorsqu’on a choisi d’appartenir à ces unités d’élite, il faut s’attendre à subir un entraînement qui doit aider à supporter les pires conditions qu’il soit possible de rencontrer si on doit un jour combattre un ennemi impitoyable, qui ne fera pas de sentiments. Il est donc bon de rappeler que nous avons de glorieux anciens qui ont combattu avec abnégation pour notre Patrie et qui en ont souvent gardé de profondes traces morales et physiques ; ce sont des exemples qu’il faut citer. Lorsqu’il est fait appel à eux pour des missions particulières, c’est qu’on a jugé dans certains « cercles » qu’ils en avaient les capacités. Les décorations prestigieuses qu’ils arborent à la suite de leur comportement au combat ont autrement plus de valeur que celles obtenues à la suite de périodes de réserve et qui souvent ont été «quémandées».
Voilà pourquoi j’ai voulu vous les faire connaître.
