Qui se souvient encore de Jacques FARAUD?
y en a t-il parmi vous qui ont embarqué sur le Robert Giraud?
Et Alice pour la dernière kapok avant de rentrer!
La rue Colbert avec La Taverne et Le nouvel Hôtel!
Le Cdt de la marine s'appelait PEVERELLI en 63/64
Souvenirs souvenirs n'est-ce pas Gégé, Veloma tonga soa. :sleep:

Oui, jojo, manao ahoana.
Souvenirs ...
Mais, j'avais découvert Diégo en 66, tu étais aussi là avec nous, et ce choc à provoqué bien des choses en moi, avec Tahiti.
Je n'ai jamais oublié ...
Le résultat est là.
Hi ! Hi !, je vois que tu as perdu ta moustache.
Je te maile.

Que de souvenirs ...
J' ai fait campagne a Diego de 1967 a 1969 ...
J' étais affecté a l' unité Marine ...
J' ai pas mal de photos de cette époque, la qualité n' est pas très bonne, mais il y a plein de souvenirs.
Si vous êtes intéressé, je peux vous envoyer un CD.
Bien cordialement a tous ...

Michel DUGOURD

Peux tu nous donner un aperçu sur le site Tangomajuscule.

"tangomajuscule"

Tu avais sans doute à l'U.M, le QM CS DUCHAUSSOY ??
J' étais sur le Cdt Rivière et mon pote Kermabon Hervé sur le Bory.
Pour les photos par de problème.
@+

Que de souvenirs, que de soirées insouciantes, tu es cruel de faire resurgir le passé !!!!!

Bonjour.

Voici une vidéo du Commandant Bory qui quitte définitivement Diégo en 1972.

https://www.youtube.com/watch?v=GEMkk1bPgdY

Je suis preneur de vidéos de Diégo, et de ce bâtiment pour mettre sur mon site : http://lecartahu.ift.cx

J' étais sur le Bory à Diégo de 66 à fin 68 ... ( une autre vie ... ).

MERCI ET SALUT

Rien a dire, très émouvant lorsque l'on a connu cela.

Bebert56 ,
J'ai eu un cipal Duchaussoy au pool sport du GEM, dans les années 80 et Kermabon son nom me dit aussi quelque chose.
Peut être à l'école des fuses en temps qu'instructeur, mais je ne me rappelle pas si c'était au Be ou au CFOM.

Très belle vidéo ce départ du Commandant Bory en 1972.
Ceci me rappelle le départ définitif de la Marine Française, le 11 février 1975.
Le Commandant Bourdais quittait Diégo.

Voici une lettre écrite par le maître LeCouvray Jean Paul.

L' adieu du CDT Bourdais à Diégo Suarez.

Au matin du 11 février l'AE CDT Bourdais doubla une dernière fois Cap Diégo, le pain de sucre endormi dans son mystère langoureux, puis Ramena et Orangea, laissant Diégo Suarez à son charme exotique ...
Ce jour là, ceux qui avaient aimé la belle rade ensoleillée, sentirent qu' ils vivaient la vraie fin de leur campagne.
Mais Diégo, depuis longtemps, était entré dans la légende ! ...

D' aucun souriront d'un si grand enthousiasme, pour si peu d' extraordinaire.
Le touriste, avide de grandiose et d' incontestable beauté, dédaignerait sans doute les rues quelque peu défoncées, les quartiers de plus en plus envahis par la tôle ondulée et l' activité bien modeste de la cité.
Pourtant, il y a peu de temps encore, flottait à la tombée de la nuit quelque senteur d' un autre âge, vestige d'un parfum rare en voie de disparition, émanant de l' ancien temps des colonies ...
C' est en vain que l' on voudrait revenir au passé et l' humanité ''en progrès'' ne nous le pardonnerait pas.
Madagascar a fait son choix pour l' avenir.
Il n' est cependant, pas interdit de trouver le charme d' un pays dans ce qu' il a été.
Certes, le sol des cases était souvent de terre battue ; parfois seul une bougie plantée dans un coquillage diffusait le peu de lumière qu' il nous faillait ...
Car c' est bien cela : il y avait l' essentiel et le temps que les moderne passe du superflu, nous le passions à vivre.
Le carcan du conditionnement occidental s' était envolé au gré du vent tropical qui souffle où il veut, et laisse aller la nature partout où elle peut se glisser.

Il y avait, bien sûr, les itinéraires diaboliques dont les points particuliers étaient d' inévitables bars ; il y avait les sacrifices à Vénus, ce à Bacchus ... mais il était possible d' échapper à l' atmosphère alourdie de la Diégo du soir: plus loin le pain de sucre dormais sous quelque sortilège, les grands cocotiers de Ramena abritaient le sommeil de son monde de pécheurs ... et la rade rassemblait tous ces mystère !

Et si l' équilibre venait à se rompre, loin du milieu familial, si nous manquions de quelque conseil maternel, ou si simplement nous voulions étancher une soif du juste, nous passions chez Alice.
Tous ceux qui l' on connue savent ce qu' elle représente pour l' enfant qui subsiste, à jamais, en chacun d' entre nous.

Vivre des moments forts, suivis de longs calmes plats, c' est la rançon de la mer !
Il n' y a que l' intensité qui compte, comme le dit ce refrain de la Grande Île :

" Ne m' aimez pas comme de l'argent ; On l' échange pour du riz.
Aimez-moi comme un petit crabe ; On le mange jusqu' au pattes.''

Adieu donc Antsirane !

'' Toi dont le corps sentait le thé, les coquillages aux nuits d' été.
Toi dont la svelte nudité ensoleillait les plages d' un domaine enchanté.
Je songe à ce petit village.
Tu chantais des chansons sauvages, tout de candeur et de beauté ...
Isolés dans l' appareillage, regardons s' éloigner le rivage que nous n' aurions pas dû quitter ".

Bonjour à tous,
je suis un ancien quartier maître 2ième classe MECAE ayant fait une campagne à Diégo Suarez à la S.L.M. ANDRAKAKA Section Liaison Madagascar l' aéroport militaire de la Marine Nationale Française situé au dessus de Cap Diégo.
J' ai passé les meilleurs moments de ma vie pendant cette période même si cela s' est terminé tragiquement.
Je suis marié (ramatousé), avec celle que j' ai connu à Diégo Suarez, mais cela été toute une aventure qui dure encore plus de 33 ans plus tard, je m' en expliquerais à ceux que cela intéresse.
Je serais heureux de reprendre contact avec des anciens que j' ai connu à l' époque fin 1972 / fin 1974 et pourquoi pas partager un poulet coco que fait divinement ma ramatou.
A suivre pour plus d' infos, fraternellement.
Patrick Colomb

Nous sommes à l'écoute de toutes tes aventures COLOMB PATRICK
Ce forum est fait pour cela :!:
Les photos, si tu as, sont les bienvenus ;)

72/73, Diego Suarez port d'attache provisoire du Rapide Le BOURGUIGNON en croisière noire
Escale de rêves Les Seychelles, les Comores, Nossi Bé, Juan de la Nova, La réunion, l'île Maurice, Tananarive.
Que de belles virées !!!!!
Que de beaux souvenirs !!! :drunken: :(

Pour les mêmes raisons que l'escale à Nosi Be, en 1989, la Boudeuse fit escale à Diégo, pas seule il y avait du monde : Marne, La Grandière, La Rieuse, Le Henry également, si ma mémoire ne me lâche pas !
Revoir tout l' EM ALINDIEN au " Nouvel Hôtel " ou chez " Pauline ", tout le monde en tenue bien sûr comme au bon vieux temps, il y avait des larmes en fin de soirée !
Les souvenirs de ceux qui avaient été en affectation là bas, (aviso ou autres)
en avaient gros sur la patate avec les filles sur les genoux !
J'ai enfin pu découvrir "en vrai " les paroles de la très célèbre et indémodable chanson !
Ça faisait tout drôle de marcher dans les pas de nos " Anciens ", qui avaient tous vécu là bas, des tranches de vies gravées à jamais dans leur mémoire !

* Plus tard, en 2000, le VAR me permis d'y refaire escale deux fois dans l'année !
Re - fêtes, re- souvenirs émus, même si rares étaient devenus ceux qui avaient servi là bas !
Quelques célébrités Bretonnes du monde de la nuit avaient à l'époque les clés d'établissements qu'ils dirigeaient, un du pays Lorientais, un autre de Brest, partis là bas pour "se faire oublier" dirai- je pudiquement !
Une élection de "miss Var" le dernier soir d'escale et un bidel qui mouille son maillot pour que la dernière heure traditionnellement 00H00 le dernier, soir se transforma en 03H00 !
Le seul qui ne respecta pas l'engagement du Bidel fut un second maître qui du s'expliquer "en tête à tête" le lendemain !
Mauvaise pioche !
Quand un Bidel s'engage pour tous, il n' y a pas d'écrits, mais ensuite faut pas se plaindre des " paré à virer " !
Que de souvenirs, on a envie de revivre ça !!

Que de souvenirs Argouac'h.
D'y penser une fois encore, me pique les yeux ...
Peut être étions nous ensemble sur la piste de danse du Nouvel Hôtel ce soir là : Diégo, du 2 au 4 juin 1989, avant d'aller de l'autre côté à Nossibé du 5 au 8, et à nouveau six mois plus tard, du 19 au 23 janvier 1990 (Alindien).
Si le paradis existe, et je le crois, cela doit ressembler un peu à cette grande île.

Adieu Diégo nous n'irons plus
Le soir venu à Tanambo
Pour déguster une anisette
Avec cent sous de cacahuètes!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

SOUVENIRS ... SOUVENIRS ... QUAND TU NOUS TIENS ...
Madagascar était une île paradisiaque dans les années 1958/60, après ça, cela a commencé à dégénérer par rapport aux créoles qui se sentaient supérieurs aux malgaches.
Les attentats auprès des matafs, ont commencés dans le retour à bord dans le Bousac.
Mais les bons souvenirs sont restés, des nuits et des journées inoubliables, farniente dans la case, bien accompagné, avec chants et guitare par des saltimbanques improvisés, et en brousse reçu comme des pachas, toujours gais et souriants, vraiment rien à dire de plus, sinon que c' était FORMIDABLE ...

j ai toujours entendu dire du bien de diego par les ancien

Bonjour à tous.
Que de souvenirs ... j' y étais 2ans 1/2 de 69 à 71, mes plus belles années.
J' espère y retourner un jour.

alain

J' ai été 2 ans à Diégo sur le LCT 9061 de 69 à 71; c' est une des plus belles sinon la plus belle époque de ma carrière de marin.
De relire les posts et revoir les noms, ( le Saigonnais, Tanambo, Ramena, Joffreville, la "bande à Mathilde", la Taverne, les ramatou, etc), çà me refait rêver.
C' est vrai que ce n' était que du bonheur.
On allait aux Comores environ une fois par mois transporter les légionnaires (Anjouan, Mohéli, lMayotte ).
On n' avait aucun problème avec la population à l' époque.

Bonjour,
Comme toi, je me trouvais à Madagascar "Diégo Suarez° de 69 à 71 sur le LCT 9061 à côté du Bory.
J' étais commis aux vivres.
On a dû se rencontrer à Diégo.
C'est sûr que j'aimerais bien y retourner.
Ce qui est dommage, c'est que je n'ai aucune photo de cette belle époque.
Comment pourrais tu envoyer des photos ?