j'a trouvé une autre solution :bien saisinner les avions sur le pont ........et utiliser la poussée des réacteurs..............

ça ,déjà fait.

AH BON................SANS DECONNER????

Oui avec des corsairs sur , soit le BB,soit le LF(pour aide à la manoeuvre dans un cas difficile).Trou de mémoire !!!!

et avec les clem/foch (crus et sem saisines sur Bd et Tb) pour les manoeuvresd'accostages et de désacostage du quai à djibouti entre autre

Oui j'étais présent à bord je crois l'Arromanche ou LaFayette à BÖNE pour rentrer dans le port il y a une passe à 90° Nous avions mis les avions en aide dans les années 57/58

Belle bete quand meme .

Salut les mocos NORBERT et JEAN-LOUIS,
Merci pour vos photos et actualités des eaux toulonnaises...
" Belle bête ", oui mais que je préfèrerais voir naviguer plutôt que des changements de quais ou mouvement au bassin...!!!

Salut Tinto,
Bon OK on navigue et même on ravitaille !!!!

Spoiler:

:bonjour: Salut Le Piaf,
Toujours de belles photos...En quel honneur cet orchestre...?
Amicalement.

qu'en est-il ?
Le ministre parle d'un autre porte avion style CDG, qui va être en construction vers le Havre.

Ravitaillement du CDG par la Somme en océan indien, 2002.
L'orchestre du PA a joué pour saluer le PR et occuper le temps
pas de vol durant le RAM.

Hou la, construire un bateau au Havre? (surtout un PA) Il n'y a plus de construction ni même de réparation navale depuis bien longtemps ici. Les dernières constructions au milieu des années 80 étaient des paquebots à voiles et des chimiquiers aux dimensions relativement modestes. Quand aux réalisations militaires, il faut remonter bien avant guerre ou des sous-marins et des contre-torpilleurs étaient fabriqués (chantiers Augustin Normand). A part St Nazaire ou Brest, je ne vois pas ou le PA qui nous fait tant défaut pourrait prendre forme.

Je crois savoir que les américains -peu économes en carburant- étaient les précurseurs de ce système d'aide à la manoeuvre et qu'ils en usaient et abusaient pour en mettre plein la vue aux marines moins "argentées".

n'empèche que quand j'ai vu le montage du CDG ( selon photo d'ici ) j'ai remarquer une grande couronne dentée.
et je me demande si le problème ne viendrait pas de la denture.
A mon humble avis, la couronne atteint les 2,5 mètres de diamètre.

Si les informations que j'ai eues sont avérées, à mon humble avis, la période d'indisponibilité de 4 à 6 mois comme prévue risque fort d'être dépassée. En effet l'avarie telle qu'elle a été décrite dans les journaux (accouplements turbines-pignons GV) semble ne pas refleter exactement la vérité et est notablement plus grave. Je ne veux pas dire ce dont il s'agit de façon à n'alimenter aucune "rumeur". L'information m'ayant été communiquée par un non mécanicien, je la prend avec beaucoup de précautions et de prudence. J'éspère avoir d'autres précisions pour verifier la véracité des faits. Les mécaniciens devineront probablement ce dont il peut s'agir, mais surtout pas de polémique ni de rumeur. Il n'y en a pas besoin, et les journaleux s'en chargent.....
J'éspère en tous cas que notre P.A ne sera jamais affublé du sobriquet de "rat des quai" ou "Reine des quai" tel que "La Galiss" l'avait été il y a déjà bien longtemps.
A mon avis la roue du réducteur doit largement dépasser les 3m de diametre.

Ne dérivons pas de nouveau.
Je remet le sujet sous surveillance.

Quand on a subi une grave opération , on a une convalescence plus ou moins longue , laissons dons notre Charlezs se reposer et se remettre de ses avaries . je suis que nos ingénieurs trouveront la clé du problème . Bon vent et bonne mer Charles

Même si la prose de James vous choque, je me sens plus de son bord que de celui de ceux qui ne veulent rien voir, ni rien entendre, ni rien dire, les fameux trois petits singes.
Or, je suis sûr que James est aussi fier que moi d'avoir porté le pompon rouge et est tout comme moi furieux de ne pouvoir fournir de réponse sérieuse aux "mange-merde" de tous poils qui se gaussent des ennuis de notre PAN
En pleine période de recrutement, la grande muette devrait mieux communiquer, car les ragots se reproduisent plus vite que la vérité et trouvent asile dans beaucoup d'oreilles complaisantes.
Je n'ai fait que trois ans, pas toujours marrants, mais suis resté aussi susceptible que si j'avais fait carrière.

Belles photos de Jean-Louis montrant bien la masse imposante de la bête.
Après les photos, la prose ; que de talents cachés

Laissons faire la chose à nos ingénieurs.
Je pense qu'ils ont assez de pression de l'autorité pour ne pas en rajouter d'autres même si l'on doit déplorer ce très facheux contre-temps.

Après avoir longtemps cherché à approfondir la manière dont étaient organisés les circuits de propulsion des navires utilisant des chaufferies nucléaires, tel le PAN « Charles de Gaulle », j’ai fini par recueillir un certain nombre d’éléments (pressions, températures) tout au long du circuit secondaire. J’ai dessiné le schéma qui figure ci-après, de manière à vous transmettre ces informations. J’espère que la taille du schéma imposé par le forum sera suffisamment lisible.

(1) Le Circuit primaire parcouru par le fluide caloporteur (jouant également le rôle de modérateur) qui passe dans le coeur du réacteur et enlève la chaleur engendrée par fission et par le rayonnement des produits de fission accumulés dans les éléments de combustible. L’énergie thermique véhiculée dans le circuit primaire est transférée au circuit secondaire,
dans le générateur de vapeur.

(2) le Circuit secondaire parcouru par de l'eau qui, mise en contact avec le circuit primaire dans le générateur de vapeur, se transforme en vapeur saturée sèche. Cette vapeur est d'abord détendue dans le corps HP d'une turbine à vapeur. Lorsque la fraction de liquide sous forme de gouttelettes atteint 13 % (le titre de la vapeur saturée humide étant alors x = 0,87), cette fraction est séparée de la vapeur saturée sèche, la vapeur restante étant resurchauffée avant d'être détendue dans les corps BP de la turbine.

La présence des deux circuits résulte de considérations de sûreté. En effet, l’eau traversant le coeur est radioactive car :

• des produits de fission y migrent à travers les gainages ;

• des produits dissous dans l’eau (sous l’effet de la corrosion métallique) s’activent par capture neutronique. Pour limiter au maximum le passage de produits radioactifs vers le monde extérieur, on a voulu isoler l’eau radioactive en l’emprisonnant dans le circuit primaire.

Le fluide moteur (de la vapeur d’eau) utilisé pour la propulsion du bâtiment n’est pas en contact (direct) avec les éléments de combustibles et n’est donc pas radioactif.

Le circuit primaire comporte quatre éléments principaux :

1 - le Cœur du réacteur composé de crayons de combustible UO2 enrichi à environ 3 %, encapsulé dans une gaine en zirconium et contenu dans la Cuve capable de résister aux
conditions thermodynamiques de l’eau (155 bar, 300°C). La cuve est en acier ; elle a une épaisseur de 20 cm et est tapissée intérieurement d’un revêtement en acier inoxydable (protection contre la corrosion) ;

2 - le Pressuriseur qui maintient le fluide caloporteur en phase liquide à 300°C. Comme l’eau du circuit primaire joue également le rôle de modérateur, elle doit être maintenue en phase liquide. La pression de saturation à cette température étant de 76 bar, le pressuriseur maintient le circuit primaire à une pression de 155 bar.

3 - les Pompes primaires qui font circuler l’eau et permettent de compenser les pertes de charge du circuit ;

4 - le Générateur de vapeur qui est l’échangeur de chaleur entre le circuit primaire et le circuit secondaire. C’est la source chaude du cycle de Rankine. Il produit de la vapeur saturée sèche à 70 bar, 285°C (non surchauffée comme dans les centrales à combustibles fossiles), qui sert de fluide moteur utilisé pour la propulsion, mais également pour la production d’électricité dans les turboalternateurs, ainsi que pour faire fonctionner les catapultes. La mauvaise qualité (la faible exergie) de cette vapeur conduit à un mauvais rendement thermodynamique du cycle à vapeur et à la nécessité de séparer les phases liquide et vapeur dans un système appelé Sécheur/Surchauffeur (SS).

bonsoir à tous,
Quelques photos (2002) pour rappeller que notre fleuron a navigué et naviguera de nouveau.

au mouillage en océan Indien

Spoiler:

Je suis choqué par les propos répétitifs de James et ses qualificatifs employés ( rat des quais, tas de ferraille) concernant notre PA. Celui- ci est un navire de notre flotte et quelles que soient les vicissitudes qu'il subit, il ne mérite pas une tel mépris. Des camarades servent à bord et en tout premier lieu, il nous appartient de les soutenir. Il y a assez de dénigreurs de NOTRE marine pour que certains d'entre nous me viennent pas hurler avec les loups. A moins que cela ne dénote d'une rancoeur inassouvie envers une arme à laquelle nous demeurons tous attachés.
Je ne voulais plus intervenir sur ce post, le ton de certains étant vraiment déplaisant mais là trop c'est trop.
Administrateurs, vous devriez refermer ce sujet où la bile déversée ne nous fait pas honneur.