par Bonsoir à tous,
J'arrive comme les carabiniers pour répondre à Roli64 et je confirme bien la présence de la cafétéria quand j'ai embarqué en 1972 sur le Vauclin.
Je me rappelle précisément que le chef de centre PMM, qui était également à bord, trouvait que la "cafet" était le summum du confort.
J'avoue que, s'agissant de ma première navigation à bord d'un navire de guerre, je ne voyais pas très bien en quoi cette organisation était luxueuse, mais c'était tout de même beaucoup mieux que le plateau de l'Armée de terre pendant les "trois jours" à Blois dans lequel la soupe se mélangeait allégrement avec les petits poids et la compote...
Vive la Marine !
Comme je l'ai dit précédemment, j'ai beaucoup aimé ces trois jours de mer mais j'avais été un peu refroidi à l'époque par une conversation avec un jeune matelot engagé qui me soutenait que la Marine profitait des marins et qu'il fallait donc profiter d'elle.
Pour moi qui était volontaire pour mon service dans la Marine, j'avais du mal à comprendre.
Mais on était en 1972.
Les tendances anti-militaristes étaient assez répandues et n'étaient sans doute pas sans conséquences à l'intérieur même de l'institution...
François Chabot
J'arrive comme les carabiniers pour répondre à Roli64 et je confirme bien la présence de la cafétéria quand j'ai embarqué en 1972 sur le Vauclin.
Je me rappelle précisément que le chef de centre PMM, qui était également à bord, trouvait que la "cafet" était le summum du confort.
J'avoue que, s'agissant de ma première navigation à bord d'un navire de guerre, je ne voyais pas très bien en quoi cette organisation était luxueuse, mais c'était tout de même beaucoup mieux que le plateau de l'Armée de terre pendant les "trois jours" à Blois dans lequel la soupe se mélangeait allégrement avec les petits poids et la compote...
Vive la Marine !
Comme je l'ai dit précédemment, j'ai beaucoup aimé ces trois jours de mer mais j'avais été un peu refroidi à l'époque par une conversation avec un jeune matelot engagé qui me soutenait que la Marine profitait des marins et qu'il fallait donc profiter d'elle.
Pour moi qui était volontaire pour mon service dans la Marine, j'avais du mal à comprendre.
Mais on était en 1972.
Les tendances anti-militaristes étaient assez répandues et n'étaient sans doute pas sans conséquences à l'intérieur même de l'institution...
François Chabot
