@MashproExploitation lamentable mais nécessaire .... Sorti de cette possibilité la ville n'offrait pas grand chose pour le prix. Sinon il fallait aller à Cholon, mais une taxi girl chinoise pouvait te bouffer un mois de solde tranquille pour un malheureux coup ... Les plus marioles qui connaissaient des AFAT c'était déjà le cran au dessus, mais ils se comptaient sur les doigts, pour en connaître il fallait être sur Saigon même, et elles choisissaient entre les officiers les Sous off et les autres .... Quant à nouer des rapports avec les européennes de la colonie de Saigon ... Milieu plutôt fermé ... C'était une autre affaire, à moins d'avoir des relations amicales ou familiales nouées en Métropole ... Je n'ai connu qu'un copain qui était dans ce cas, il était de Dinan et sa famille connaissait un négociant de Saigon, avec un autre copain il nous a fait inviter un jour à un cocktail, mais à part le côté sympathique des gens, ça s'est arrêté là, ce n'était pas une pépinière de jeunes filles en fleur ...
Alors Comme dit Albert, ne pas jouer les vierges effarouchées, l'armée payait le gite et la prophylaxie et les filles gagnaient courageusement le prix de leurs "prestations"; toute peine mérite salaire
Si tu veux en savoir davantage et même plus, vas faire un tour sur les site des Paras paras.forumsactifs.net/t8188-le-parc-aux-buffles
Il existe cependant une exception dans la clientèle ...La clientèle de ce "parc de plaisir" se compose principalement de militaires toutes armes confondues.
De temps en temps des civils, essentiellement européens, viennent chercher leur défoulement sexuel moyennant paiement.
On trouve des marins, des aviateurs, des biffins, des tabors marocains, des tirailleurs sénégalais, des commandos.
Bref, toute l'armée française se retrouve dans un curieux mélange dans cette cour magique.
Toutes les armes sauf une.
Il n'y a pas de légionnaire. En effet, la Légion Etrangère possède ses propres B.M.C.
Chaque unité de la légion incorpore des femmes qui suivent le régiment pendant son séjour en Indochine.
Un bateau , a transporté quelquefois, au Tonkin, des unités de la Légion Etrangère.
Chaque homme avait une femme qui prenait place à bord du bateau.
Pour cent hommes il embarquait cent femmes.
Ainsi chaque légionnaire possédait "sa" femme, ce qui lui permettait de développer une affection, une tendresse, et un équilibre psychologique.
Donc, la Légion Etrangère ne fréquente pas le Parc aux Buffles.