Bonjour Eric B Sur l"EE TARTU a tu connu Eric GIBOINT un bosco qui était à bord de 1977 à 1978 et à la fin de son SN il est rentré dans la gendarmerie maritime ??
Salutations

Sympa toutes ces photos

A Pujol, Je n'ai pas connu Eric Giboint, j'ai embarqué en mai 78, peut être était il encore à bord, mais ce nom ne me dit rien.
Cordialement

Bonjour,
J ai connu Eric ,il faisait son service surleTartu
J ai eu lachance de le croiser au debut des années 90 quand j etais mail sur le bsr Chevreuil, il etait effectivement gendarme terrestre a Ajaccio.
J ai su qu il était parti en maritime, meme patron d une vedette en Corse en tantque Major.
Moi jetait chef mec sur une vedette des Douanes a Hyeres, mais helas je n ai plus de nouvelle.

Bonjour Maurice Avec Eric nous nous sommes connu à Hourtin puis nous étions ensemble sur le BO ORIGNY lui à permuté pour le Tartu et moi l'Ouragan Nous nous sommes retrouvé à Djibout et d'autre escales Eric et parti ensuite en GM Depuis le sn nous nous sommes retrouvé plusieurs fois Chaque années pour nouvel an nous prenions contact par internet Sa dernière affectation était Les Sables d'Olonnes Je pense que depuis il a pris la retraite et il est retourné à Viennes chez lui Depuis je n'ais plus de nouvelles C'est un super ami le temps du service national nos routes se sont croisées et nous avons fait des bringues et des virées inoubliables Une soirée à Djibout à mal tournée nous avons faillis y laisser la peau heureusement que la légion nous a sortie de cette m.... c'est une aventure qui nous lie à vie Nous avons raconté bien plus tard cette connerie à nos épouses Salutations et si tu as des nouvelles d'Eric

Bonjour les anciens.

Les 36 noeuds*/** ; nous les avons atteints quelques jours après que j'ai pu prendre ces deux clichés.
Cette fois, ce n'était pas au large du Brusc, mais entre la Tour Fondue et les Iles.
Je pense, qu'au Brusc ; c'était la direction des constructions navales qui avait imposé une marche à 33 kn et qu'il n'était pas question, dans le cadre des essais, de dépasser cette vitesse.
Par contre, je soupçonne notre pacha d'avoir voulu faire de l'esbrouffe, quelques jours plus tard.
Et là, nous avons bien failli pulvériser autre chose que notre propre record.
Voilà comment.
Ainsi, nous étions à pleine vitesse, entre les îles et la côte ; c'était dans l'après-midi et la mer était très calme.
Avec quelques autres DSM, nous nous trouvions sur la plage AR, contemplant l'énorme sillage que nous laissions, derrière nous.
Or, sur babord, nous avons vu un pointu qui venait de Porquerolles et qui semblait vouloir accoster à la Tour Fondue.
Ce qui nous a intrigués ; c'est qu'il ne semblait pas décidé à changer de route, et donc,
Il n'y avait qu'un homme, à bord, raide comme un passe-lacet, à la barre franche.
Pas un instant il n'a bougé ; une statue...
A la fin, il était tellement proche que, dans ma tête, je garde comme une photo très précise de lui.
Un homme dans la soixantaine, casquette de pêcheur en tête, rayé marine, pantalon bleu délavé, jambes écartées, à cheval sur la barre franche...
Nous nous sommes précipités, à tribord, pour voir ce qui allait advenir, tant la collision nous paraissait inévitable.
Et bien ; il est passé à ras notre étrave.
Nous, de même ; nous n'avons pas changé notre route d'un degré.
Sans doute, notre Pacha ne s'attendait-il pas, à un tel culot.
Nous nous sommes précipités à tribord, plein de crainte, quant à la suite des évènements.
Et bien, je peux vous dire que la barcasse a bougrement dansé, quand notre moustache l'a ratrappée.
Quant au moko ; il est tombé, cul par dessus tête, au fond de son bateau.
Mais il s'est rapidement remis debout (je ne me souviens pas s'il a revissé sa casquette), et a renfourché sa barre, comme si de rien n'était
Et chacun a continué sa route, comme si de rien n'était.
En voilà, encore un, qui devait aimer la Royale...
Hélas, ce jour-là ; je n'avais pas mon kodak en main.
Pour le reste, je confirme : les vibrations, la chaleur du pont, le sillage impressionant, le bruit...
Cordialement.

Xavier

* Nous sommes loin, cependant, des 42 kn de la classe "Fantasque".
** Quelques années plus tard, un autre EE (dont j'ai oublié le nom), passait, au même endroit, et, approximativement, à la même vitesse.
Sa vague d'étrave rejoignit la côte et provoqua la noyade d'un baigneur.

Belle anecdote ami Xavier

Ou notre pêcheur était inconscient ou alors..il en avait  
Cela me rappelle les tirs canons à Saint-Elme où, malgré x coups de sirène, des pointus ne voulaient pas sortir du champ de tir.
Aux premiers obus tirés, les pointus battaient des records de vitesse

Anectode sympa 36 noeuds effectivement chaud chaud en tout : pensif1:

Jean-leon

Toujours appréciées les photos de l'EE Tartu.

Merci pour le partage camarade MIASM

Bonjour Jean-Claude.
Comme le dit Jean-Léon* ; les photos du "Tartu" sont toujours les bienvenues.
Merci.
Cordialement.

Xavier


* Bonjour Jean-Léon.

PS : Jean-Claude >>> Petite remarque >>> Il va te falloir revoir ta légende, car le "Tartu" n'est pas un ER, mais un EE.

lol j'avais pas fait gaffe petite erreur

Sans doute avais-tu ton poste au mortier ASM ?
Personnellement, j'avais ma bannette, au poste 2.
Et puis, nous aurions pu, déjà, nous croiser à Hourtin ; moi, j'y étais en juin 63.

Ami Xavier, j'ai fait glisser tes propos au bon endroit...
Non, je n'étais pas au "mortier" ASM qui était en fait un lance-roquettes. Je n'étais pas ASM à l'époque mais armurier chargé de l'entretien des canons et armes portatives (il y avait de quoi faire, nous étions d'ailleurs 7) Ma bannette était au poste 6, tout à l'arrière.
Impossible de se croiser à Hourtin ayant fait mes écoles, arpètes et Jean Bart sur Toulon

Je n'ai pas souvenir de ce t-shirt du Tartu ami Alain lors de mon affectation en 65/67. Par contre, la tape de bouche est en bonne place dans la coursive centrale de ma chaumière

Sympa Alain

Le Tartu  à Madagascar en 1972 - Pour Xavier.

Ayant débarqué du Tartu en 1967, je ne pouvais pas être du voyage malgache de 1972.
Voici la belle "tournée" de 1972: Source Net-Marine.
1972 : Dakar, Libreville, Mombasa, Port Soudan, Djibouti, Les Comores, Nossy Hara, Diego Suarez, Tamatave, Nossy Bé, Majunga, Tuléar, Lomé, Cadix, Ajaccio, Nice, Marseille, Augusta, Patras, Porto Vecchio.
Lors de mon affectation j'avais néanmoins fait escale à: Cadix, Nice, Augusta, Patras et Porto Vecchio. Ce n'est déjà pas si mal

Jean-Léon

Je salue tous les anciens du TARTU, et je me permets de vous faire découvrir le document concernant la promotion de mon père en 1943 ,ainsi que l'insigne du bateau de l'époque.

Bonjour les anciens du "Tartu".
J'avais gardé mon sac et, entre autres, mon bachi avec le fameux ruban, et la fourragère.
Hélas, au fil des années, frères et sœurs, enfants, et petits enfants m'ont dépouillé de tous mes trésors.
Ne me reste que ma quille…
Dommage !
Si ! Il me reste une photo du "Tartu", prise au cours d'une escale, à Ajaccio ; la croix de guerre flotte, allègrement, au pavillon de proue…
Amitiés.
Xavier



PS : édité, parce que manquait le mot "ruban"...

Bonjour les amis…

Pas de coupée ; me voici, donc, sur cette espèce de pont, en bois, qui relie le bord de la cale sèche, à mon nouveau navire.
Vraiment, j'ai grande hâte de le découvrir…
Pas de coupée ?
Alors, dois-je saluer, ou pas ?
Un rapide coup d'œil, à la poupe, me permet de constater que, même au fond de la cale, le pavillon national flotte mollement.
Saluons, donc ; je salue…
Le planton et le sacco m'accueillent ; ils sont sympas, tous les deux.
Par la suite, le second, deviendra un ami (mais c'est une autre histoire).
Les premières formalités sont vites expédiées.
C'est amusant, parce que je n'ai aucun souvenir de ce qui s'est passé, dans les mêmes circonstances, quand j'ai embarqué, à bord du "Normand".
J'obéis, aux instructions, et je me rends au BM (bureau des mouvements), où je rencontre le QM1, secrétaire.
Bien sympa, lui aussi (ça commence pas mal).
Il m'indique que je logerais au poste n° 2 (le même que sur le "Normand").
Il me dit que j'ai toute la journée pour ma familiariser avec le bord, et que, demain, je devrais me mettre aux ordres du 1° Maître Torpilleur XXXXX (j'ai oublié son nom).
Je me rends, donc, au poste n° 2, où je rencontre le chef de poste.
C'est un QM1, et il m'indique une bannette, à ras le sol ; ce sera la mienne.
Et bien, moi qui m'attendais à retrouver un bon vieux hamac ; en voilà, une surprise…
Je m'y étends ; histoire de juger de mon environnement de sommeil.
Le moins que l'on puisse dire ; c'est que c'est un peu exigu.
En fait, j'aurais le matelas, de celui qui loge, juste, en dessus de moi ; mettons, à 50 cm, en dessus de mon nez.
Heureusement, je dors, à plat ventre…
Ca m'embête, un peu, d'être au rez-de-chaussée ; mais, finalement, en cas de tempête, je ne risquerai pas de tomber de bien haut.
Nous partagerons le poste, à 18 ; les 2 tables, aussi (là, elles sont fixées, à demeure).
Il y a une armoire, pour moi, tout seul.
Midi ; c'est l'heure du déjeuner.
Je demande comment cela se passe.
Réponse, du chef de poste ; à la cafétéria.
Je le suis, et là ; je tombe, littéralement, sur le c..
Pour une cafétéria, c'en est une ; et elle n'a rien à envier, à celles que j'ai connues, à Paris, quand mes déplacements professionnels m'y conduisaient.
Ouf ! Là, au moins ; je suis dans le bain.
Le repas expédié (il me semble qu'il était bon), et comme rien ne presse, je m'accorde une petite sieste ; histoire de goûter au moelleux de ma couche.
Allons ! Place à la visite du bord, en commençant, par les œuvres mortes.
Finalement, je me retrouve, un peu, comme chez moi.
Effectivement, en 1960, à Brest ; j'avais visité un autre EE, le "Casabianca".
Ma première impression est que, ici, par rapport au "Normand", nous changeons, carrément, de dimension.
Le tonnage (3.700t), la longueur (130m), l'artillerie (3x2 127 - 3x2 57) ; mazette !
Pour le reste de l'armement, c'est kif-kif, ou presque ; moins de TLT (torpilles), cependant.
Passons par la vaste passerelle et cherchons un emplacement qui remplacera mes ailerons TB et BB, du "Normand".
Par jour de tempête (et même, sans cela) ; j'aime bien aller me poster, dans les hauts, pour jouir de cette situation élevée (et puis, cela me change de mon PC ASM, confiné et tout noir).
Ca y est ; j'ai trouvé…
Terminons par le PC ASM ; ce sera, comme avant, le centre de ma vie, à la mer.
En fait, il n'est pas tellement plus grand que je ne l'imaginais, et il est, en gros, aménagé, comme sur les ER.
Voilà, donc, mon DUBV (sonar) ; vais-je l'armer, moi-même, comme avant ?





Donc, rien de bien nouveau ; je ne serai pas dépaysé.
Restera donc, à faire connaissance, avec la nouvelle équipe, et avec mon nouvel Officier ASM.
Ce sera chose faite, dans les jours, à venir ; mais, pour le moment, nous n'en sommes pas encore, là.
Je passe donc, dans les entrailles du navire.
Mais, quand je dis entrailles ; c'est bien de cela dont il s'agit.
C'est un b..... monstre.
Si sur les ponts, c'était un peu, le cas ; ici …
Ca grouille, dans tous les coins ; hommes, outils, pots de peinture, chalumeaux avec leurs bouteilles, etc...
Voilà qu'arrive le moment des couleurs ; je ne vais pas manquer cela.
Et puis, c'est de nouveau la cafet ; pas mal, pas mal…
Retour, à mon poste, où je vais pouvoir ranger mon sac, et les affaires qu'il contient, dans mon armoire personnelle.
Une bonne douche, ne sera pas de trop ; pas mal, pas mal, les douches.
Et dodo ; la lettre journalière, à ma fiancée, attendra demain…

Cordialement.

Xavier

Xavier super souvenirs et bien raconté
effectivement la cafétéria des EE plus grande que ER
Comme déjà dit ( j’ai fait l’inverse d’un EE D633 ( qui rentrait en IPR vers un ER F765 qui allait naviguer que tu connais )
Jamais bien l’ambiance de EE mais j’ai trouvé plus cool sur ER il est vrai que nous sommes parties environ 4 mois
À te lire

Un oublie j’ai effectué en tant PMM la période 1 semaine à bord du ... TARTU et j’ai apprécié vraiment bien