par Retour à la 6F.
A Agadir jusqu'au milieu de l'année 1950 il n'y avait qu'un seul petit hangar à la BAN et il était utilisé par les trois Catalina de la 22S.
De ce fait les douze Bloch 175 de la flottille 6F étaient tous parqués sur les terre-pleins ; et les équipes de piste, moteur, cellule, électriciens et radios faisaient toutes les visites en plein air.
L'ambiance était bonne entre spécialités et chacun s'efforçait d'aider l'autre en cas de besoin d'un outil ou d'un coup de main.
Les mécanos avaient le plus de soucis avec les moteurs Gnome et Rhône, ils n'étaient pas gâtés...
Les armuriers étaient souvent à la tâche à cause des missions tirs canons ou roquettes qui avaient lieu presque chaque jour.
En tant que radio j'ai souvent été sur la piste avec les autres, pour régler ou dépanner sur place les VHF qui se trouvaient sous la verrière entre le pilote et le radio...
A Agadir jusqu'au milieu de l'année 1950 il n'y avait qu'un seul petit hangar à la BAN et il était utilisé par les trois Catalina de la 22S.
De ce fait les douze Bloch 175 de la flottille 6F étaient tous parqués sur les terre-pleins ; et les équipes de piste, moteur, cellule, électriciens et radios faisaient toutes les visites en plein air.
L'ambiance était bonne entre spécialités et chacun s'efforçait d'aider l'autre en cas de besoin d'un outil ou d'un coup de main.
Les mécanos avaient le plus de soucis avec les moteurs Gnome et Rhône, ils n'étaient pas gâtés...
Les armuriers étaient souvent à la tâche à cause des missions tirs canons ou roquettes qui avaient lieu presque chaque jour.
En tant que radio j'ai souvent été sur la piste avec les autres, pour régler ou dépanner sur place les VHF qui se trouvaient sous la verrière entre le pilote et le radio...
Les photos qui suivent montrent ces équipes au boulot...
De dos en blouson US le Mt Radio Toulgoat, on voit des bandes d'obus qui pendent d'une barre de l'escabeau.
De dos en blouson US le Mt Radio Toulgoat, on voit des bandes d'obus qui pendent d'une barre de l'escabeau.
- Spoiler:
Celui là, comme beaucoup d'autres n'a pas de radar dans le nez.
Le Bloch était mis queue haute pour régler les mitrailleuses et les canons dans l'axe avec la convergence requise pour la mission.
Les roquettes étaient armées juste avant décollage
Après un vol d'essai Le mécano X, JC Laffrat au milieu, à droite le pilote SM Roger Vazeilles
